Chapitre 3 LEMON

530 18 1
                                    

Bonne lecture

N'oubliez de voter et commenter
••••

Ce matin, je me lève seule. Personne n'est à mes côtés et les vêtements éparpillés au sol la veille ont disparu. Je ramasse mes vêtements et file sous la douche. Je repense à cette nuit ou plutôt a cet homme. Il était si mystérieux ce qui lui donner un côté extrêmement séduisant. Je revois son regard braqué sur moi le soir passé. Ce regard qui me fait froid dans le dos, ce regard noir qui pourrait en faire flipper plus d'un à mon avis.

Je me balade en peignoir dans la chambre lorsque mon téléphone vibre.

📩 Viens dans mon bureau. Faut qu'on parle.

À peine l'écran verrouillé, je me presse d'enfiler ma robe. Je récupère l'enveloppe déposée sur la console puis quitte la chambre.

Après avoir pris le taxi, je monte dans le bureau de Pascal. Je toque la boule au ventre. Généralement lorsque qu'une de ses "employées" est convoquée dans son bureau ce n'est pas bon signe. Ma respiration se coupe lorsque j'entends un "entrez" aussi froid que de la glace. Je fis ce qu'il m'ordonna puis attendit qu'il sorte un son de sa bouche.

-Trésor. Je dois te dire que je suis très fier de toi, m'avoue Pascal

Il me prends la main et me guide vers le sofa.

-Tellement que Cameron était content il t'a laissé 500€ en plus. Et 500€ que je veux récupérer trésor.

-Quoi ?! , m'exclamai-je. Mais pourquoi? C'est mon pourboire. Pascal laisse moi cet argent.

-Depuis quand tu décides ? Si je te dis un truc tu le fais.

-Mais pas cette fois-ci.

-Alors tu sais quoi faire.

Je place ma tête entre mes mains. Je sens les larmes montaient mais elles ne coulent pas. J'ai besoin de cet argent mais coucher avec lui est au-dessus de mes forces.

-Très bien. Garde-les alors. déclarai-je en me levant

🍋🍋

Je sors le billet violet en plus et lui tend alors que son visage s'est renfermé. Il me tire pour me coucher sur le canapé. Il s'allonge sur mon corps alors que je tente de le repousser.

-Pourquoi tu fais ça Elsa? Pourquoi tu me repousses? Je te plais pas?

-Lâche-moi

Il continue ses bisous dans le cou tout en malaxant mon sein droit à travers ma robe. Je me débats mais il est bien plus fort que moi.

-On a pas beaucoup de temps Elsa alors arrête immédiatement ton petit jeu.

Les larmes coulent à flots. Je sens sa main remontait le long de l'intérieur de ma cuisse. Il enlève sa chemise laissant apparaître sa bedaine ainsi que son pantalon. Il saisit ma main et me mène dans l'une des chambres du bordel. Il me jette sur le lit puis part chercher des cordes.

Je sais que je suis l'objet qui peut exaucé tous ces purs fantasmes et j'en fais une nouvelle fois les frais.

Il enlève ma robe et m'attache en étoile. Il fait le tour du lit tout en s'astiquant la queue alors que je pleure toutes les larmes de mon corps le suppliant de me détacher.

-Il fallait y penser avant trésor, ria Pascal en montant sur moi. Tu sais bien quel effet tu me fais mais tu en as joué. Pendant deux ans tu m'as repoussé alors que tout ce que je voulais c'était toi toute entière pas seulement pour un soir. Je t'aime Elsa. ajoute-t-il en m'embrassant à nouveau le cou

Je frémis de peur et de dégoût. Cet homme me fait peur. Ces paroles me font peur. Il me tétanise.

-Y aura jamais rien entre nous Pascal je ne t'aime pas. Si tu m'aimes vraiment, laisses moi partir alors.

-Non ! Non! Je ne veux pas te laisser partir sinon je ne te reverrais plus.

Il lèche le cou puis continue le long de mon corps en insistant sur ma poitrine. Au moment où sa tête arrive à mon entrejambe, je ferme instinctivement les cuisse enfin du mieux que je peux.

-Ouvres Elsa !

Je secoue la tête.

-Ouvre avant que je m'énerve !

Je secoue à nouveau la tête.

-OUVRE LES CUISSES !

Je secoue la tête les yeux fermés. Je le sens se lever. Je rouvre les yeux et les vois revenir avec la ceinture de son pantalon. Il abat sa bande de cuir sur mon ventre m'arrachant un hurlement de douleur. Il répète cette opération plusieurs fois. Mon ventre doit être sûrement marqué par ses coups. Il la balance parterre puis rentre sa virilité en moi.

Il est encore plus violent que d'habitude et que Cameron hier. Aujourd'hui il rentre en moi jusqu'au fond me faisant hurler de douleur. Il serre mon cou en me criant des mots salaces. Il décide de me détacher au bout d'une bonne demi-heure. Je pensais que c'était terminé mais il me balance par terre me saisissant par les cheveux. Ma tête heurte le mur. Il empoigne mes cheveux et met sa verge de force dans ma bouche. Il appuie sur ma tête pour qu'elle aille le plus loin. Je manque de m'étouffer et de m'évanouir à plusieurs reprises. Son liquide coule dans ma bouche mais je refuse de l'avaler. Il me met une gifle en m'ordonnant de le faire alors je le fis par peur de m'en prendre une autre. Il m'attrape le bras pour me relever mais j'ai du mal à rester debout, mes jambes menacent de flancher à tout moment. Il plaque mon buste sur le bureau en maintenant ma tête d'une main alors que l'autre dirige sa bite vers mon arrière-train.

-Je t'en pris Pascal ne fait pas ça, murmurais-je d'une voix à peine audible

Il s'enfonce en moi poussant un long soupir alors que je m'égosille à crier. Des larmes perlent sur mes joues, ma vue de trouble. Il m'ordonne de me taire mais la douleur est trop présente alors je ne peux m'en empêcher. J'entends des pas dans le couloir alors j'essaye de crier mais Pascal plaque sa main sur ma bouche sans cesser ses vas et viens. Mon espoir de m'en aller s'évapore quand les bruits de pas s'éloignent. Pascal me serre le cou pour me coller au mur.

-Tu n'aurais jamais du faire ça trésor, souria Pascal

Il m'attache de nouveau au lit. Je suis trop faible pour lutter. Mon ventre me brûle, ma tête me fait terriblement mal sans parler de mes appareils génitales. Je suis sûre que je ne peux même pas rester debout plus de dix secondes. Il récupère sa ceinture et recommence à me donner des coups. Pour faire étouffer mes cris, il me bâillonne. Je crois que mon humiliation a atteint un stade maximum. Il m'a tout fait, m'a pris dans tous les sens. La différence entre lui et moi c'est qu'il n'est pas fatigué. Alors il me détache, enlève mon bâillon et m'embrasse. Je ne réponds pas à son baiser ce qui l'énerve fortement. Il m'appuie la tête sur le mur en me cambrant, écarte mes pieds et me pénètre encore une fois.

La porte s'ouvre sur un homme que je ne saurais pas décrire. Je le vois flou mais je sens qu'il tire Pascal en arrière pour le ruer de coups par la suite. J'essaye de me tenir au mur mais je m'écroule au sol à bout de force.

Impossible loveOù les histoires vivent. Découvrez maintenant