Découverte

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Mon père : Marie-Pier ! Tu aurais tout de même pu lui offrir quelque chose de plus convenable.

La peste, sans le moindre remord : Je pensais que ça lui ferait plaisir de savoir que sa belle-mère pensait tout de même à elle.

Mon père : Tu pensais vraiment qu'un sac d'hygiène était la meilleure idée de cadeau pour lui faire plaisir !?!

La peste, en montant le ton : Girard ! Ne crie pas comme sa devant la famille et les enfants. De plus, je suis désolé si TA FILLE n'est pas contente que sa belle-mère pense à sa vie hygiénique. Dit toi que je suis tout de même plus là pour elle que sa mère l'est été pour toi !

Un silence plomba la salle. J'étais sans mot. Girard était, donc, mon vrai père. Mon père tourna lentement la tête pour voir ma réaction à la nouvelle. Malgré mes absences fréquentes tout au long de la soirée, je couru, à nouveau, vers ma chambre. Tant de questions me tourna dans la tête. Pourquoi ne pas me l'avoir dit plus tôt ? Qu'était-il arrivé pour que je sois rendu seule avec mon père ? Et surtout, qui était ma mère ?

— 26 décembre, matin —

Je n'avais toujours pas reparler à mon père de la nouvelle de hier soir. Je n'avais même pas eu le courage de sortir de ma chambre pour dire au revoir aux invités. J'alla dans la cuisine et m'empressa de commencer à nettoyer la cuisine. 

Une voix derrière moi : Laisse, je m'en occupe. 

Je savais que c'était mon père. J'ai sauté sur l'occasion que nous étions seul pour commencer l'interrogatoire.

Moi : Est-ce que c'est vrai ce que Marie-Pier à lancer hier soir ?

Mon père, en s'approchant de moi : Oui.

Moi : Pourquoi tu ne me l'as pas dit plus tôt ?

Mon père : Parce que je pensais que c'était plus simple a digéré pour toi que tes vrais parents n'avaient pas l'argent de te garder plutôt que d'appendre que ta mère m'avait donner la charge de t'éduquer puisque elle ne voulait pas de toi.

Moi : Qui est-elle ? Du moins, est-ce que je sais c'est qui ?

Mon père, sur le bord des larmes : Non, tu ne la connais pas et même si tu la connaissais, je refuse de te perdre.

On s'arrêta quelques minutes.

Moi, en me jetant dans ses bras : Tu ne me perdra jamais papa. 

On resta ainsi plusieurs minutes jusqu'à temps que Marie-Pier brise le silence.

La peste : Je suis désolé de brisé se moment magique, mais Aurore, je suis désolé pour le cadeau de hier soir et de tout ce qui s'en est suivi. Puis, j'ai mit tes cadeaux de côté. Tu me le diras lorsque tu vas vouloir les voir, j'ai hâte que tu les vois. Et je te rassure, il n'y pas autre chose que tu ne devrais pas aimé.

J'étais presque flatté parce qu'elle venait de dire. 

Mon père : Qui veut un chocolat chaud ?

Félix, Camélia, Maxime et Sophie descendirent en vitesse lorsqu'ils entendirent ses paroles.

Tout le monde : MOI !!

Malgré ma soirée un peu ratée, je ne regrette aucunement mon Noël. Non seulement, j'ai appris que mon père était mon père biologique, mais j'ai su que Marie-Pier pouvait être gentille avec moi et qu'elle avait un coeur. 

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⏰ Dernière mise à jour : Jan 18, 2017 ⏰

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