Twins: L'histoire d'Aurore

Noël

Vidéo (spécial Noël) : Ariana Grande - Last Christmas (Audio)

— 10 Janvier, matin —

Je me leva, ce matin, avec qu'une seule idée en tête; les vacances me manquent déjà. Mon temps des fêtes a commencé dans la plus grande des joies. 

— 25 décembre, matin —

Mon père me réveilla avec un grand sourire illuminant son visage. Il était à côté de mon lit et avait mis  des musiques de Noël dans le salon tel que « Last Christmas » interpréter par ARIANA GRANDE ! Mon père, malgré que peut présent, s'est comment me rendre le sourire. Je l'appelle mon père, car il est le plus présent pour moi que ma « mère ». Le moment de plaisir s'arrêta quand on sonna à la porte. Mon père répondit et Marie-machin-chose, plus couramment appelé ma « mère », se tenait devant la porte avec les cadeaux de Noël. 

La peste, enroulant mon père de ses bras : Chérie ? Peux-tu descendre les cadeaux aux sous-sol avant que les enfants se réveillent ?

Mon père : Bien sûr, je vais faire cela à l'instant.

Moi : Laisse papa, je m'en occupe.

La peste, en me regardant comme si elle était la reine : Non, je préfère que ce soit ton père qui s'en occupe.

« Si ça peut faire plaisir à la majesté... », me dis-je en roulant les yeux.

J'alla dans ma chambre, prit mes écouteurs et commença à rêver de Shawn Mendes me chantant l'une de ses chansons que pour moi. 

— 25 décembre, soir —

Je pris la robe rouge à dentelle que j'avais acheter spécialement pour l'occasion. Je me batailla avec mes cheveux et les mis en chignon, je mis une fleur dans celui-ci et ferma look avec des ballerines noirs que Maya m'avait prêté pour que je puisse impressionner toute ma famille.

Avant que les invités arrivent, Marie-Pier avait décidé de nous donné des rôles et comme toujours, elle avait décider que j'allais être la serveuse. La famille arriva tous avec des habits tous plus beaux les uns que les autres. Quand toute la famille fut présente, la fête pu commencer. On parla de tout et de rien passant par les vieux souvenirs de grand-maman aux efforts scolaire de ma petite soeur, Camélia.

Environ une heure passa avant que se soit l'heure de manger. J'alla dans la salle de bain pour me laver les mains avant de devoir servir les plats quand je vis une empreinte de bisou sur ma joue. Ça devait être grand-maman Cécile qui l'avait mit la lorsqu'elle était arrivé. J'étais tout de même légèrement furieuse que personne est eu la gentillesse de me le dire. Le pire était que le bisou était presque permanent. Je fini par réussir à l'enlever. Je sortit de la salle de bain puisque ma famille se plaignait de leurs faims. Je servit tout les plats avant de me rendre compte que la peste n'avait pas prévu de place pour que je puisse déguster le festin. Je dut, donc, manger seule dans la cuisine. 

Félix, l'un de mes petits frères, vint dans la cuisine, près de 50 minutes plus tard, pour m'annoncer de servir le dessert. Je lui demanda de prendre l'un des plats pour m'aider. Arriver à quelques mètre de la table, Félix échappa le plat. Mes parents se retournèrent et, dans une grande furie, mon père me chicana de l'incident. Dans de grandes larmes, je couru vers la salle de bain. Je n'avais même pas eu la force de me batailler contre lui.

Je sortis 20 minutes plus tard et la famille ouvrait déjà les cadeaux. Mon père me regarda avec des yeux coupables. Sans aucun doute, il regrettait d'avoir agit de la sorte avec moi. Quand la peste me vit approchée, elle s'empressa de me donner un cadeau. Je n'avais jamais vu Marie-Pier agir de la sorte avec moi. J'ouvrit le cadeau et quand je vit ce qu'elle m'avait offert, j'ai vite comprit son empressement. Elle m'avait donner, en cadeau, un sac d'hygiène. Il y avait une brosse à dent, de la pâte à dent, un déodorant, des serviettes sanitaires, des tampons, etc... 

Quand mon père vit le cadeau il était furieux.