une fille bien étrange

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#Keiran#

Cette fille, Alice, je la trouves bien étrange... C'est vrai quoi, je ne lui ai rien fait. Je lui ai même sourri ! Je suis gentil non ? Peut-être qu'elle est jalouse de ma perfection ? C'est tout à fait probable, n'importe qui pourrai être jaloux de moi ! Et si elle n'est pas jalouse de l'être parfait que je suis, elle doit être un cas sociale qui n'a aucun sens de l'humour... Je ne vois pas d'autres explications. Franchement, comment quelqu'un pourrai me détester ? Je suis beau, je fait preuve de bonté envers les moins que rien, je suis drôle, enfin bref je ne vais pas faire une liste de toutes mes qualités, même si je le fairais avec plaisir, mais sinon cela nous prendrai la journée ! Mais le pire, c'est que, pour une fois, j'ai été gentil ! Oh et aussi pourquoi je me prends la tête avec cette Alice hein ?! Ce n'est pas de ma faute si elle a un prblème.

Je suis donc également partis pour rejoindre ma salle de classe. Je m'assis à ma place après avoir discuter avec quelques gens qui avaient l'air de beaucoup m'aprécier. Je pourrai d'ailleur facilement en faire des petits moutons. Mais je trouve qu'ils manquent d'interrets.

Je crois bien que tout le monde m'adore ici (ce qui ne m'étonne pas le moins du monde ) enfin sauf cette folle bien sûr...  Mais si ça se trouve, elle a un problème avec les mecs en général ? Et vu que je suis le mec le plus parfait qu'il puisse exister, et bah elle a un gros problème avec moi ! Ouais, ça doit être ça. Je suis trop intelligent en plus !

À la sortie des cours, je l'ai apperçue qui s'en allait toute seule. J'avais donc raison, c'était un cas sociale qui ne savait pas parler. Elle descendait en direction du centre alors je décidai de la suivre. Et de toute façon, je pouvait aussi très bien passé par là pour rentrer chez moi. Elle s'arrêta dans une librairie alors je m'assis sur un banc justeà côté. Elle ressortit après dix minutes, chargée de pusieurs livres.

Oh la pauvre, ses seuls amis sont ses livres. Et elle doit en acheter pleins sinon elle ne sait pas quoi faire de sa vie ? Comme ça doit être horrible ! C'est décidé, je vais faire une bonne action et aidé cette pauvre cas sociale à s'ouvrir au monde qui l'entour !

Je la suivi encore un moment puis je tournai sur une autre route pour ne pas faire un trop grand détour. Arrivé chez moi, je lançai mon sac devant le canapé, fis chauffé du pop-corn, me commandai une pizza et m'affalai sur mon canapé, heureux. Car j'avais un nouvel objectif, un nouveau défi : amadouer, dompté et dresser un cas sociale, alias Alice.

#Alice#

Après les cours, j'avais dû aller chercher des livres pour à la librairie. Amy et Eva était allées voir l'entraînement de basket de Mike et des jumeaux, alors j'étais toute seule. Mais bizarrement je ne me sentais pas si seule que ça... J'avais comme l'impression d'être suivie... Mais bon, ça doit sûrement être mon imagination... En tout cas je l'espère ! Je me dirigeai ensuite vers le café du port. Car comme il y a toujours pas mal de matchs importants en début d'année, les jumeaux ont entraînement tous les après-midi pendant une heure et vu que je dois de toute façon les attendres, et bien j'ai décidé de continuer de travailler un jour sur deux au café jusqu'aux vacances d'automne.

Le lendemain se passa sans événements particuliers appart que je me sentais observée... Mais encore une fois, je me dis que ça devait être mon imagination...

À la fin des cours, je montai à la sale de musique pour jouer du piano. Parfait, il n'y avait personne.

#Keiran#

Pour que je puisse apprivoiser le cas sociale, il fallait déjà que je sache à quel genre de cas j'avais à faire. Alors je décidai de l'observer pour povoir mieux la comprendre. Je fus alors étonné de voir qu'un groupe de gens l'avait déjà aprivoisée... Sur le moment, je ne su plus trop ce que je devais penser ou faire... je me sentais un peu... bizarre... je ne saurai pas trop explique mais... c'était étrange comme sentiment... ça m'a fait pensé au sentiment que je ressentais quand j'étais petit, lorsque ma boule de crème glacée tombait par terre avant que je ne puisse la manger... Mais je me dis qu'elle n'était pas une boule de crème glacée et qu'elle n'était pas non plus tombée par terre. Que après tout, elle restait un cas sociale et que si c'est moi qui l'aidais, elle n'aurai plus de problèmes sociaux. Car après tout, je suis la perfection ! Mon aide ne peut qu'être bénéfique non ? Et elle ne pourra que me remercier de lui faire l'honneur de lui apporter mon aide. De plus, aprivoiser un cas sociale sera une expérience interressante et très divertissante pour moi !

Je continuai donc de l'observer durant les pauses, ce qui n'était pas trop dur puisque ma classe principale était au même étage que la sienne. Mais, alors que ses cours étaient terminés (je m'étais informé de ses horaires en demandans à une fille de sa classe sous prétexte que je voulais savoir si il était possible de sortir avec elle un jour ), elle monta au dernier étage. Je n'avait aucune idée de ce qu'il s'y trouvait alors je la suivi. Elle s'arrêta en haut de l'escalier. Pensant qu'elle allait se retourner, j'essayai déjà de trouver une explication à ma présence ici. Mais elle ne se retourna pas. Ce fut un grand soulagement d'ailleur car je ne sais vraiment pas ce que j'aurrai pu lui dire appart que j'étais ici car  je voulais la prévenir qu'il ne fallait pas monter au dernier étage car des martiens s'y cahaient... C'était pas si mal en faite comme explication en fait ! Non ...?

 Je fus tiré de mes réflections par un son mélodieux... Du piano je crois... Alice avait disparu. Mais ce son, qui petit à petit se transformait en mélodie, venais du haut des escaliers. Alors je les gravis. La musique provenait de derrière la porte qui se trouvait juste à ma gauche. Je m'adossai au mur et m'y laissai glisser. Cette chanson, elle était si douce et en même tant si triste... C'était un mélange de mélancolie, de haine et de douleur... Ma gorge se serra et je sentit mon ventre se nouer. Des souvenirs de mon passé ressurgirent et l'envie de pleurer me pris d'assaut. Je pris ma tête entre mes mains.

<< Non... non ! Je ne pleurerai pas ! Je ne pleurerai plus ! Il ne faut pas ! Je me l'étais promis ! >>

Je me relevai et courru en bas des escaliers. Il ne  fallait plus que j'y pense, il fallait que cette musique s'arrête. Alors je fuis. Comme avant... comme toujours... Je n'ai pas changé. Mais je n'arrive pas à comprendre comment cette simple mélodie ait réussi à briser mon armure... la barrière que j'avais mis tant de temps à construire... 

Il ne fallait pas que je me laisse aller. Cela ne devait plus arriver. Plus jamais.

#NDA : J'ai un peu hésité a poster ce chapitre... alors dites moi ce que vous en pensez ! Et aussi ce que vous pensez de ces quelques chapitres que j'ai écrit d'une traite ! Et aussi, est ce que c'est mieux que j'écrive comme ça ou comme j'écrivait avant ?

Merci à vous tous ! et n'oubliez pas que les commentaires constructifs sont les bienvenus ! (bien que vos commentaires me touchent toujours beaucoup! )#

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