Collège vamnicht

Chapitre 8 : je pige plus rien

-Je t'aime, tu veux être ma petite amie?
-Whaaaaatt!!!!!!
Qu'est-ce qu'il vient de dire là. J'en peux plus sa m'est jamais arrivé car tous le monde sait que j'ai un cœur de pierre. Je vais lui répondre quand notre prof d'histoire nous dit d'entrer dans la salle donc je ferme ma gueule et je rentre. On est à côté se que j'avais oubliée comme une conne, il vient, il s'assoit à côté de moi et me dit :
-Je sais que tu voulais répondre, répond moi.
-De quoi, tu sais très bien se qui s'est passé pour que j'ai un cœur de pierre et tu viens me dire que tu m'aimes, sa n'a pas de sens pour moi!
-Je sais et alors j'ai ma chance parmi les autres!
-Tu sais que j'ai un grand et qu'il peut te déglingué d'une seule main!
-Bien sûr que je sais et alors j'ai pas peur! Je t'aime De puis qu'on est tous petit !
-Quoi?! Et tu me le dis comme ça sans problème je t'aime !!!
Le prof : Je vous dérange pas !!
-Vous voyez pas que je lui dit que je l'aime et elle me dit même pas su elle aussi ou pas!!!!!!!
-Oh mais ma petite tu pourrais lui dire non, je le connais bien se petit et il n'a jamais aimé quelqu'un et encore plus à ce point .
-Moi aussi je le connais Hein pas la peine de me l'introduire, genre c'est la
première fois que je le vois!OK!!
-Bah alors répond lui?!
-Oui,répond moi!
Les autres de la classe : OUI RÉPOND LUI !!!!!!!!!!
-Je te répond alors puisque tous le monde, le veut! Je te hais et tu le sais très bien avant je te détestais pas mais maintenant c'est mort je te hais!! C'est bon , tu est content, tu as ta réponse.!!!!!
-Non , mais n'importe quoi je sais que tu m'aimes et je te lâcherais pas tant que t'as pas dit " je t'aime Rayan, je t'aime"
-T'as fumé ou quoi? Jamais je te le dirais comme sa!
-Viens, on va parlé en privé
Et il m'emmène de force dehors( vous avez compris hors de la classe) mais celui la ne se contente pas du couloir, il m'emmène dans la cour puis dans un coin et il me plaque contre le mur ces deux mains des deux côtés de ma tête de façon à que je le regarde droit dans les yeux. Je suis pas une trouillarde moi, je le regarde dans ces yeux marrons pétillant, il me dit:
-J'ai envie de t'embrasser !
Sur le coup je lui est dit :
-Pourquoi tu ne le fais pas alors ?
-J'attendais ta permission
-Maintenant tu la, tu vas faire quoi?
Il se rapproche et se rapproche jusqu'à que je sente son souffle puis je le pousse.
-T'allais vraiment le faire?mdrr!!!
Il est embarrassé pour qu'il le soit moins je me rapproche de lui et je lui chuchote à l'oreille :
-Tu sais que je te hais pas Hein, j'ai juste besoin d'un peu de temps.

Vous savez les gens, on a toujours été comme sa lui et moi. C'est loin d'être une scène d'amour pour nous c'est assez normal. Bon reprenons l'histoire.

-Wsh Sarya! Je te veux!
Je l'ignore et je vais dans les toilettes pour me voir dans le miroir, je vois que j'ai aucune imperfection pourtant je met pas du tous de maquillage tous sa j'aime pas sa. Là je vois une ombre derrière moi, je vous rappelle qu'on est sorti de classe pendant le cours alors y a que moi et lui, je me retourne et je le vois, il pleure, je veux me rapproché de lui mais il m'arrête, il se rapproche et me dit:
-Pardon de t'infligé cette douleur*plusieurs larme qui coule*surtout si je t'aime, je suis désolé ma chérie!
Il se rapproche, je recule, il se rapproche je recule et me cogne cotre le lavabo à ce moment il en a profité pour m'attraper avec l'une de ces mains ma tête pour la penché sur le côté et la mettre sur son épaule et de l'autre retiré le tee-shirt noir en emmenant ma brettelé de soutif jusqu'à mon épaule, dévoilant tous mon cou et mon épaule. Il rapproche sa tête de mon épaule, il me sent comme un animal sur sa proie sur le moment je ne peux rien faire ni le pousser ni lui parlé mais lui ne s'arrête pas continu de me sentir de l'épaule jusqu'au haut de mon cou, il enlève les quelques mèches de cheveux qu'ils étaient restés entre temps il me dit: - Tu sent tellement bon, ma femme.
Il sort des crocs qui grossissent et grandissent de sa bouche pour venir me touché puis s'enfoncer de plus en plus profond dans ma chair. Je ne sent plus rien, j'ai perdu tous mes sens et plus rien le noir.