Dans la grotte

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À peine avions-nous passé l'entrée, que l'eau retrouva sa place initiale, nous bloquant ainsi la sortie ne nous laissant qu'un mur d'eau

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À peine avions-nous passé l'entrée, que l'eau retrouva sa place initiale, nous bloquant ainsi la sortie ne nous laissant qu'un mur d'eau. Stévia, dont on avait presque oublié l'existence, s'était mise à faire de drôle de bruits avec sa bouche et ses dents nous offrant une symphonie répugnante. Et soudain,  elle glissa sur une flaque et heurta sa tête contre le sol. Au moment même où son crâne entra en contact avec le sol dans un gros bruit, une femme qui ne m'étais pas entièrement étrangère, je ne s'aurai expliquer comment, apparue. Elle était plutôt jolie avec ses cheveux bleue nuit et sa mèche violette. Sa chevelure ondulée lui arrivait jusqu'aux genoux. Elle avait les yeux violet et sa peau était comme la mienne. Elle portait une robe bleue ciel qui s'arrêtait à ses tibias, serrée à la taille par une grosse ceinture violette foncée. Elle était pied nus. Une chose attira mon regard, en fait plutôt deux, deux magnifiques colliers identiques en tout point sauf que l'un était bleu et l'autre rouge. Ils étaient en forme de goutte, tout comme la petite pierre en leur milieu.

Mais, une chose me frappa, elle avait une cicatrice sur la gorge, au niveau de ses cordes vocales

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Mais, une chose me frappa, elle avait une cicatrice sur la gorge, au niveau de ses cordes vocales. La femme nous regardait. Elle nous salua d'un simple signe de tête et sans dire un mot, elle nous fit signe de la suivre, ce que nous fîmes sans trop poser de questions, quand Dean se décida enfin à me lâcher et quand Stévia se releva. Nous avions suivis la sirène là, travers jusqu'à une immense porte en verre avec une queue de sirène sur les deux battant de celle-ci. Elle ouvrit la porte et, à l'intérieur, il y avait une immense salle avec au milieu de celle-ci un bassin éclairer par le tube du volcan. Le bassin n'était pas vide, trois sirène. L'une d'entre elles avait les cheveux rouges, courts, presque à rat, avec des yeux gris et une peau pale qui ne faisait pas vraiment contraste avec sont corset blanc mais qui mettait en valeur sa queue verte, elle discutait avec l'autre sirène qui avait un carré. Ses cheveux blonds étaient ramenés sur le côté grâce à une barrette en forme de coquillage rose, elle portait un top noir avec un symbole en blanc qui se mariait à la perfection avec sa queue noire. Ses yeux rouges foncés étaient vraiment beaux. La troisième personne ne peut pas vraiment être considérée comme une sirène. C'était un homme donc disons plutôt que c'était un triton. Il avait les yeux bridés et de longs cheveux noirs ramenés en queue de cheval. Son torse nu laissait apparaître son importante musculature. Il avait une queue bleue turquoise. Sur la gauche, dans une fontaine, se trouvait un étrange mélange entre un oiseau et un triton avec ses cheveux bruns coiffés en crête. Ses yeux vert lui donnait un regard hypnotique.

Son bec blanc et noir s'harmonisait avec son plumage blanc et sa queue bleue azur

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Son bec blanc et noir s'harmonisait avec son plumage blanc et sa queue bleue azur. Il portait un débardeur jaune, uni. Bon, son corps était un corps qu'on pouvait qualifier  de « corps de lâche ». Il discutait avec une jeune fille qui devait avoir dix ans ou peut-être onze ans. Ses yeux verts émeraudes ressortaient car elle avait la peau très pâle et tout comme l'homme avec qui elle parlait, elle avait des ailes à la place des bras et sa bouche me rappelais la forme d'un bec. Elle avait de long cheveux noirs ébènes, laissés à l'air libre. Ils tombaient en cascade, dans son dos, sur sa longue robe turquoise. La petite fille tenait la main d'une femme au cheveux noirs, mi-longs. La femme, qui devait être sa mère avait les yeux gris et portait une jupe arrivant à ses genoux, marron, et un chemisier blanc. De l'autre côté de la salle se trouvait un groupe de jeunes. Il y avait trois filles, cinq garçons, plutôt beaux et trois de ces créatures ailées. Parmi ces créatures il y avait un garçon et deux filles. À travers la pièce emplis de point d'eau, des enfants couraient. Les nombreuses sculptures de poissons, de sirènes et de créatures mi-homme, mi-poissons, mi-oiseaux rendaient la pièce magnifique. Alors que j'admirais mon merveilleux environnement, une femme au cheveux blanc, malgré son apparente trentaine, s'avança vers nous, en nous regardant avec ses yeux oranges. Elle devait être reine car elle portait un couronne de coquillages sur ses cheveux lâchés avec quelques tresses d'un côté et j'avais raison car elle s'était présentée en tant que tel. Elle était vêtue d'un t-shirt fuchsia avec une jupe fendue des deux côtés, arrivant à ses pieds. Elle nous avait conduit derrière un rideau, au fond de la salle. Derrière celui-ci, se trouvait un couloir, faiblement éclairé par des pierres lumineuses, menant à une double porte où était dessiné une queue de sirène et un symbole que j'avais reconnu tout de suite, c'était le même que sur la porte du Millénaire chez les loup-garous.

MétamorphoseOù les histoires vivent. Découvrez maintenant