Undertale-•Hanté par ton démon• TOME 1

Chapitre 1: Début du délire

La musique d'Undertale que tu écoutes et la fatigue causée par les examens te remplissent d'INSPIRATION. Tu décides d'écrire une fanfiction. Tu serais pas un peu tarée sur les bords ?

Enfin ça y est. Tu as réussi, après tous ces combats, tous ces resets, tu avais réussi à l'avoir, ta putain de happy ending. A un certain prix en fait. Deux choses ne sont pas comme tu le souhaitais vraiment. Sans te déteste secrètement. En fait, pas secrètement du tout. Juste pas devant les autres. Mais il te fait confiance, tu lui as promis que tu ne reseterais plus jamais (reseterer ?) et en échange, il te promet d'essayer de te pardonner. Parce qu'il se souvient, et c'est le seul. Encore un glitch survenu à cause de tous les resets. La deuxième chose était bien pire. C'était ta véritable punition. Chara est là. Il te hante, il te suit constamment et tu es le seul à le voir ou entendre.

Dorénavant, tout le monde est heureux, humains comme monstres. Flowey n'est plus, il restera pour toujours sous sa forme Asriel, ce qui est mieux pour tout le monde. Toriel a réalisé son rêve de devenir institutrice, et Asgore celui d'être pardonner par celle qu'il aime et de retrouver son fils.

Tu souris.

Undyne et Alphys sont en couple, Papyrus vit avec Sans et toi seul. Pourquoi seul alors que Toriel t'avais proposé de vivre avec Asgore, Asriel et elle ? Parce que tu as peur. Tu as peur qu'on se rende compte que je suis toujours la hein ? Avoue, tu as peur qu'ils t'entendent parler « seul » quand je te mets à bout de nerfs ?!

Ton sourire se fane.

Et sinon tu ne devais pas aller parler à Gaster et Alphys de ta découverte ? Ou tu vas encore te dégonfler, comme quand je t'ai proposé d'ERASE ce monde ?

Tu déteste Chara, mais il a raison. Ta découverte est capitale. Mais expliquer comment tu as découvert ça sera très gênant et compliqué. Tu décides d'en parler a Sans, car lui seul comprendra.

Ta décision et la pression que Chara exerce sur toi te remplissent de DETERMINATION.