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J A S M I N E

Jafar - Vas-y Jasmine, essaie de te lever.

Moi - Non ! S'ils apprennent que je me suis fais ça.. ils vont.. ils vont..

- T'interner dans une hôpital psychiatrique ? C'est déjà fait !

Moi - Non ! À l'isoloir !

Jafar - Jasmine, je peux pas te laisser comme ça tu perds beaucoup de sang.

La scène est désastreuse. Je n'aurai pas dû les écouter.. prendre de couteau dans la salle commune et venir le tailler les veines mais quel idée de merde putain. Mais l'idée d'être envoyée dans ce trou à rat pendant une semaine, sans pouvoir voir Jafar.. me fait littéralement perdre connaissance.

Je n'étais pas totalement évanouie, mais je n'étais pas assez forte pour empêcher Jafar de me soulever pour me porter et m'emmener au secteur médical. Sur la route, nous avons évidemment attirer l'attention de Assia et Ismael qui nous ont suivis et aider à nous frayer un chemin.

Jafar - S'il vous plaît !

Infirmière - Oh... Posez la ici !

- T'es dans la merde.

Il me dépose sur un brancard mais je n'ai aucune envie de le lâché. Il va me laisser avec eux et je vais plus jamais pouvoir le revoir et..

Moi - Non.. Jafar..

Jafar - C'est bon t'inquiète. Je suis là. Ils vont s'occuper de toi.

Un autre homme s'empresse de pousser mon brancard jusqu'à la salle dédiée aux urgences. J'attrape la main de Jafar, mon seul repère. Mais la foule d'infirmière qui s'agite autour de nous fait que je lâche sa main, au même moment où je sens une aiguille planter ma cuisse.

- Et c'est CIAO !

J A F A R

Infirmière - Vous êtes de sa famille ?

Jafar - Je suis son psychologue.

Infirmière - Ah.. je vois. Pouvez-vous me dire comment elle s'est fait ça au juste ?

Jafar - C'était un accident. Ce n'est pas une tentative de suicide.

Infirmière - Ce n'est pas ce que j'ai dis.. mais comment ça pourrait être un accident ?

Je n'ai aucune raison à la couvrir. Je ne comprend même pas ce qu'il s'est passé. Un bon psychologue ne ferait jamais ça.

Jafar - Elle a glissé, sur un objet tranchant, dans sa chambre.

Infirmière - Dans sa chambre.. alors que les objets tranchants sont écarter des patients. Connaissez-vous les règles du règlement intérieur en tant que psychologue ?

Ismael - Ça va c'est pas de sa faute. Il vous dit que c'est certainement un accident. On l'a retrouvé comme ça quand elle a appelé pour de l'aide. Si elle avait voulu se suicider, elle l'aurait fait en silence.

Je jette un coup d'œil à Ismael et le remercie intérieurement de m'épauler dans cette situation plus que désastreuse.

Infirmière - Hm.. ça doit être ça. Je laisses les gardes se charger d'élucider le déroulement des faits et je vais aller m'occuper de votre.. patiente. Merci.

Pas de Jasmine pour Jafar Où les histoires vivent. Découvrez maintenant