conneries, 3 € le kilo

Voici ma vie, anecdotes inédites :

Les anecdotes ça fait pas de mal...

Ma prof indécise :

J'ai fait une rédaction en anglais sur la cérémonie de la dinde graciée. J'ai fait des erreurs autour de la cérémonie en elle-même, mais mon expression écrite était très bonne (j'ai eu 20 de moyenne au premier trimestre) bref, quand elle a vu ma copie, elle a dû se dire :

Il a un excellent niveau, je lui mettrais 20, mais il a fait des erreurs sur la cérémonie. Je vais lui mettre 19. Mais s'il n'a pas 20, quelles note je vais mettre aux autres ? Il a un niveau supérieur-mais il ne connaissait pas bien la cérémonie... 19 ou 20 ?

Et finalement, j'ai eu 19 - 20. Je me demande quelle note j'aurais sur mon bulletin... (Note du futur : Finalement j'ai eu 20)

Une vieille anecdote de sport :

Les pyramides humaines dynamiques, quelle belle occasion pour se casser la gueule...

Un bon exemple cette année était celle-ci :

Une personne fait un poirier et rabat ses jambes vers l'arrière, où une autre personnes retient ses jambes en une sorte d'angle droit. De l'autre côté, un autre gars à genoux tient le dos de la fille en demi-poirier. Ça fait une pyramide humaine peu élevée. Une quatrième personne prend de l'élan, court et SAUTE en tendant ses jambes en avant par-dessus la pyramide. Pas mal, hein ? Heureusement, je n'y ai pas participé. Je pense que j'étais encore en train de me reposer sur le côté. Avant de vous expliquer ce qui m'est arrivé, laissez-moi vous expliquer comment on perd connaissance en s'assommant :

Le cerveau, pour se protéger des chocs, flotte dans un liquide qui l'empêche de se cogner en cas de secousse. Par contre, en cas de secousse trop forte, le cerveau peut aller se cogner très fort contre la paroi crânienne, ce qui fait perdre connaissance. Intéressant, non ?

Bref, laissez-moi vous expliquer la pyramide dynamique à laquelle je participais. Deux personnes font un "siège" avec leurs mains. Une personne s'assied sur les mains serrées. Les deux d'en bas le soulèvent un peu, et à la une, à la deux, à la trois... le LANCENT en l'air. Le voltigeur propulsé doit atterrir sur ses pieds, les bras ouverts. Plus facile à dire qu'à faire. C'est comme tenter d'être super bien coiffé et super beau au saut du lit.

Bref, comme je suis le plus léger, je suis lancé en l'air. Je n'atterris pas très gracieusement. Je fais un plus gros effort la fois d'après, et là, j'atterris pile avec mon cul. Mais vachement fort. Je sais pas si j'ai eu sur le moment plus mal au cul ou plus mal à la tête. A la tête, je crois. J'ai eu un énorme choc et je suis resté sur le côté (bien content de l'être) pendant dix minutes avec la tête qui tournait un peu. Et ceux qui m'avaient lancé... Ils riaient, mais à un point ! Ils étaient morts... Parce que je suis tombé, mais vraiment juste sur mon cul, avec les bras et les jambes en l'air... Ah la la...

Bon ben bye bye bisous !