Chapitre 17

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Bon pour rattraper mon retard, je publie un autre chapitre !


Point de vue omniscient :

Lundi matin, ses yeux fatigués par le manque de sommeil  étaient déjà ouverts lorsque son réveil retentit. Elle tendit son bras, et courba son index sur la touche arrêt de cette machine.

Kaliyah ouvra son étagère, qui était considéré comme une pharmacie. Elle prit deux aspirines dont le cachet s'était vider petit à petit. Elle les avala d'une traite, tout en espérant  que son maux de tête allait disparaître.

Car voilà, deux jours qu'elle n'arrivait pas à trouver le sommeil. Elle passait seulement ses nuits, en se tournant dans tout les sens dans ses draps. Désespéré de chercher le sommeil, elle finissait par fixer d'un regard vide le plafond de sa chambre.

Lorsqu'elle eut pris sa douche et finis de s'habiller, elle reçut un message d' Iwu, qui lui demanda de venir les rejoindre au café près de l'Université.

Dès qu'elle eut franchit le seuil du restaurant, elle aperçut ses deux amies assissent à une table. De loin, Kaliyah pouvait entendre des bribes de leur conversation.

Kaliyah prit place à côté de Yori.

Ses deux amies arrêtèrent leurs commérages et commencèrent à la fixer. Iwu qui se permit même de la regarder de haut en bas, comme ci elle était une intrus qui avait osé s'introduire à leur table.

- Es-tu bien Kaliyah ? Lui demanda Yori en pointant du doigt l'intéressé.

-Bah oui. Répondit-elle en touchant instinctivement son visage.

-Comment je m'appelle ? Lui demanda Iwu, en fixant du même regard qu'un inspecteur devant un susceptible coupable.

-Bah Iwu. Répondit Kaliyah.

-Attends...Dit Yori en posant la paume de sa main sur le front de son amie.

Yori fronça les sourcils car elle voyait quelque chose d'anormal chez son amie, mais ne sentait pourtant rien. Iwu qui s'était levée , revint avec une boisson chaude qu'elle déposa devant Kaliyah, mais celle-ci refusa.

-Kaliyah t'es sûre que tu vas bien ? Lui demanda Yori d'un ton inquiet.

-Évidement, pourquoi tu me demandes ça ?

-Kaliyah, sans parler de ton accoutrement qui est plutôt classique voir banal et aucune trace de maquillage sur ton visage, dit Iwu en plissant son front.

-Et ses grosses poches de cernes ainsi que le blanc de tes yeux qui est pratiquement devenu rouge, reprit-elle.

-Ah c'est ce maudit maux -tête sans doute dû à la fatigue, répondit Kaliyah en affichant un sourire crispé.

-Euh ta température est tout a fait stable et je ne vois pour quelle raison tu serais fatiguée, étant donné que nous ne sommes pas en période d'examen, dit Yori.

-Et tu n'es pas allé travailler, parce que ton ''amie'', enfin celle qui travaille avec toi m'a demandé de tes nouvelles lorsque je l'ai croisé au centre commercial hier après-midi. Termina Iwu.

-Et puis même si tu passes la soirée à travailler dans cet endroit glauque ou même en période d'examen, tu restes toujours la même enfin tu ne déborde pas d'euphorie enfin tu es même une personne plutôt froide, enfin pratiquement hautaine....dit Yori.

-En gros ce que veut dire notre chère Yori, est que là tu n'affiches aucune expression joyeuse voire vivante, tu es comme morte, dit Iwu.

-Ah.

Somnifères   d' AmourOù les histoires vivent. Découvrez maintenant