Le jour perdu

Chapitre 2

Jour 2

25 mai 2025

Le lendemain, mon cadran me réveilla comme si on m'avait envoyer une brique à la figure. Taz n'avait pas bouger de sous les draps, collé à ma poitrine. Tout semblait silencieux. Les seuls bruits qui enveloppait l'environnement étaient le bruit de ma respiration, celle de Taz et le bruit des pattes de chaise de la cuisine au premier étage. Est-ce que j'avais rêver? J'étais angoisser de sortir de mon lit pour la première fois de ma vie. Comme si chaque fibre de mon corps me dictait de ne pas bouger sans que je sache vraiment pourquoi. Les cris de cette nuit... ou de mon rêve... n'avaient pas pu me traumatiser à ce point?

Je fini par me lever en me disant que je devais aller à l'école, mais au moment où j'allais toucher le sol avec mon pied, la sonnerie de mon téléphone retentis et me fit pousser un petit cris de surprise. Mais qu'est-ce qui me stress à ce point bordel!? 

J'attrapa mon cellulaire, le coeur battant à la chamade et d'angoisse. Tout mes instinct était en alerte pour aucune raison apparent. 

-Allo? God Sake Caity... Ça va?... Quoi?! Une attaque de cannibale à l'école?!... Le prof de français aurait attaquer la directrice et l'aurais mordu?!...

J'étais sidérée, complètement abasourdis. Cet homme était si doux et si calme. Comment aurait-il été capable de réaliser un acte aussi barbare? On avait fermé l'école pour l'enquête. Caity disait que presque l'entièreté des policiers de la ville s'était mobilisé sur le terrain pour clouer l'homme au sol et faire des périmètres de sécurité. Plus elle parlait plus je commençais à avoir peur. Est-ce qu'il en avait d'autre. Le monde commençais à devenir fou? 

L'appel se termina sur un « À toute suite! ». Caity venait me rejoindre chez moi à la demande de son père qui ne voulait pas laisser sa fille seule chez lui alors qu'il était sur une affaire aussi déroutante.

-Si un prof de français peux devenir aussi maboule qui sais ce qui pourrais se passer si tu reste toute seule, avait dit M. Thomson, le père de Caity, avant de se rendre à l'hôpital où avait été placer la directrice de mon école. D'après les rapports des autres policiers, la femme présentait les mêmes symptômes que l'homme d'age mur avant de devenir cannibale. Elle grognait et ses yeux commençaient déjà à tourner au jaune comme si en une fraction de seconde elle avait contracter une jaunisse. Entendre tout ça m'avait foutu la chair de poule, mais une fine partie de moi était curieuse de savoir s'il en parlerait à la télévision. Je me dépêcha de monter à l'étage. Le bruit des escaliers en bois sous mes pieds nus avaient dû avertir mon père de ma présence, car il me salua sans même lever les yeux de son journal.

Il semblait très concentré, afin plus que d'habitude, sur son journal. Sur la page couverture de son journal, on pouvait lire en grosses lettres rouges : Un homme devenu fou mord une directrice d'école secondaire!. Les poils de ma nuque s'hérissèrent lorsque, la photo de mon professeur de français menotté par les policiers qui avaient l'air de peiner à le retenir. Il tentait de mordre le policier qui se trouvait le plus proche. Ses yeux était devenu vitreux et sa peau complètement grise. Il avait les dents couvertes de sang et de chair, tout comme ses vêtements. Mon dieu, on dirait un zombie! Pensais-je en mon fort intérieur. 

-C'est fou comment les gens sont devenu cingler, affirma mon père en laissant tomber son journal quelque instants pour me regarder. -Le père de Caity a appelé, il y a une heure environ.