Epilogue

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La dernière chose qu'il met dite avant de partir c'est : « Ne crois pas qu'un jour mon cœur puisse t'oublie, il peut cesser de battre mais pas de t'aimer. »

Cette seule phrase que j'ai en tête depuis maintenant deux semaines, deux semaines qu'il est parti.

Enfaite si vous voulais plus comprendre il n'est pas mort. Il est juste dans un état critique. Il a tout simplement fait un arrêt cardiaque. Nous étions tous les deux à l'hôpital pour des examens, il se s'entait très bien et on ne sait pas pourquoi son cœur a arrêté de battre instantanément. Heureusement que nous étions à l'hôpital sinon je pense qu'il serait déjà plus là. Ils l'ont réanimé, il allait bien. Il pouvait parler normalement. Mais le soir même dans la nuit il est tombé dans le coma. Et c'est avant de s'endormir qu'il m'a dit cette phrase qui résonne dans ma tête sans cesse.

Je vais tous les jours le voir, et tous les jours son état s'aggrave de plus en plus.

Ils m'ont déjà proposé d'arrêter les machines qui le tien en vie. Mais imaginez-vous l'homme que vous aimez depuis votre plus jeune âge puisse partir. Cela est tout simplement impossible pour moi, c'est beaucoup trop dur.

Chaque jour qui passe il me manque encore plus, ses baiser, ses câlin, ses mot doux, ses beaux yeux, ses brague à deux balles. Il me manque.

Nous avons fêté nos soixante-deux années vécus ensemble. Soixante-deux années parfaites.

A chaque fois que le téléphone sonne j'espère que ce soit l'hôpital qui me dise « Votre mari c'est réveiller ».

Je me demande comment je ferais pour vivre sans lui. Sans cet homme qui m'a appris comment ont vie. Cet homme c'est ma vie.

Je sais qu'il y aura toujours mon fils qui me rappellera son père : Alexander Jeremy Bieber. Jeremy qui est le père de Justin qui n'a jamais pu voir son petit-fils.

Je repense à notre mariage où sur l'alliance il y a gravé "Let me love you".

Je repense à notre maison où il a peint au-dessus de notre lit "Let me love you".

Partout où il pouvait il écrit c'est quatre petit mots

En laissant couler mes larmes, je repense à la façon qu'on avait de se regarder, cette façon passionner.

Nous nous somme aimer jusqu'au dernier souffle.

*Mon téléphone sonne*

? : Madame Bieber ?

Moi : Oui ?

? : Bonjour je suis le médecin qui s'occuper de votre mari.

Moi : Qui s'occuper ?

Médecin : Toute mes condoléance madame si vous pouvez venir pour signer des papiers, on vous expliquera tout.

Je raccrochai.

S'allier mon mari est parti de l'autre coter.

Je n'avais plus la force de pleurer. Juste la force de repenser a lui. A ses yeux. A ses lèvres sur ma peau. A son sourire.


Alexander, mon fils.

Je suis désoler, tellement désoler.

Je viens de passer la pire semaine de ma vie.

Je ne pouvais pas rester dans ce monde en passant que ton père n'était plus là.

La seule chose qui me tenait en vie c'étais toi.

Mais en repensant, tu as ta femme, tu à ton enfant.

Mon chéri tu as tout !

Tu n'as plus besoin de moi.

Mon fils.

Tu sais que je t'ais aimer. Je t'aime. Et je t'aimerais toute ma vie.

Ne pense pas que je suis parti en passant que tu n'as rien fait pour me retenir.

Mon chéri, je suis parti. Mais je suis peut-être parti mais sache que je serais toujours là. Et ne t'inquiète pas je ne suis pas loin.

Je me souviens très bien quand tu étais adolescent tu disais que j'étais envahissante, que c'était mon pire défaut. Mais maintenant mon défaut c'est transformer en qualité mon fils car je serais là tout le temps là te surveiller.

« Ne crois pas qu'un jour mon cœur puisse t'oublier, il peut cesser de battre mais pas de t'aimer. »

Je t'aime.

Ta maman.

Let Me Love You. [J.B]. TERMINÉOù les histoires vivent. Découvrez maintenant