Soleil sans orage, d'amour éphémère.
Le ciel bleu est ouvert.
Malgré certains nuage gris, j'écris mes pensées sur feuille blanche.
Laisse vagabondé l'imagination qui s'y déverse.
Commence une jolie danse.
Sur ma feuille blanche....
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C O M M E D E S E N F A N T S(Deuxième partie)
Laisse ton coeur s'emballé comme un cheval fou. Même si tu es à bout de souffle. Je serai te calmer, ma main posée sur ton coeur, nous finirons cette amour jusqu'au lendemain. Le soleil brille de nouveau sur nos paupières qui peinent à s'ouvrir après une nuit agitée. Allongé contre son corps chaud, enveloppé dans nos draps, il finit par se réveiller. Après quelque chamaillerie et quelque baiser, on décide enfin de se lever. Une nouvelle journée commence, on s'habille en vitesse et on part pour de nouvelles aventures, à peine la matinée commencée. Dehors le soleil commence à montrer ses premières chaleurs d'été. Et devant nous une grande plage de sable fin à perte de vue. Une plage comme je n'en n'ai jamais vu, et je reste émerveiller par une telle beauté. Main dans la main, nous nous promenons dans l'eau, qui commence avec les rayons du soleil à être plus chaude. Au fil de notre chemin notre âme d'enfant revient au galop. Nous partons à perdre haleine à se poursuive comme deux chevaux au galop. J'entend ton rire au loin derrière moi, et toi qui essaies de m'attraper mais au final, je finis toujours par gagner. Essouffler, on finit par s'allonger sur le sable qui devient presque brûlant. Et toi et moi, on regarde cette mer turquoise, qui s'étant au loin par un soleil de plomb. Alors on décide de se mettre à l'ombre sous un arbre imposant en continuant à regarder la mer. Tout à l'air calme. Pas un nuage dans le ciel. Et pas un bruit dans le ciel. Le ciel est d'un bleu éclatant. Et ton sourire l'est autant. Nous sommes heureux ici et jamais je ne voudrai partir. Restons ici autant que nous le voulons, et promets moi que nous partirons jamais d'ici. La chaleur devient insoutenable, alors nous décidons de continuer notre chemin. Nous quittons l'île pour revenir en ville, et cette fois le bruit reprend les lieux. On entend les klaxons des voitures pressées. Des marchands vendent leurs marchandises à même le sol. d Difficile de se frayer un chemin parmi cette foule immense. La ville est toujours en fête, et en regardant autour de moi. Des enfants jouent pied nu à même le sol dans cette cour abandonnée et si immense. J'entend leurs rires qui résonnent et cette envie de les rejoindre. Nous jouons quelques heures, avant de repartir, sans oublier de graver leurs sourires. Dans ma mémoire, pour ne jamais oublier ses moments mémorables.
