Chapitre 7

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-Kaitlyn! Réveil toi.

-Deux minutes maman, j'arrive.

Attends, je viens de rebrancher mon cerveau... Ce ne peut pas être ma mère et un loup ne parle pas. J'ouvre un il et je vois ma grand-mère avec Antoine. C'est normal? Et le loup il est où?

-Kaitlyn pourquoi es-tu partie?

-Je suis un monstre Abigaëlle, je peux te faire du mal. Tu devrais ne pas t'approcher.

Elle commence à s'approcher. Non mais elle croit qu'on est dans un film? Je lui dit que je suis dangereuse et elle s'approche... Non mais tout ça commence à bien m'énerver, toute ma vie part en l'air. Je perds ma mère qui est aussi ma meilleure amie, je tombe dans un village complétement bizarre avec des gens invisible à part des gens que je n'ai pas envie de voir. Ma grand-mère me cache des choses que je devrais savoir puisque ça concerne ma famille mais le pire du pire je suis pas humaine. Normale. Bref, je crois qu'on a compris.

-Je dois partir Abigëlle.

-Laisse-moi tout t'expliquer avant et après tu décideras de partir ou non. Rentrons à Helgan, on sera plus à l'aise pour discuter.

-C'est trop loin, il faut que je parte Abigaëlle.

-Tu pourras récupéré ta voiture.

C'est vraiment une proposition à bien réfléchir. Avoir ma voiture serait un vrai avantage et je pourrais partir plus loin. Bon, je vais aller avec eux, avoir mes réponses et récupéré ma voiture. Je hoche juste la tête et monte avec eux en voiture. Je me rendors bercer par la voiture.

Trois heures plus tard.

J'ai l'impression de perdre beaucoup de temps en ce moment à ne rien faire. Je n'ai aucunement avancer dans mes études et cette nuit j'ai même envisager d'arrêter mes études. De toute façon, au point où j'en suis, mes études n'est pas vraiment ma priorité alors que c'est pour mon avenir. Je suis tombée tellement bas. Mais le présent est tellement plus important. Je ne pourrais jamais avancer sans connaître ma propre histoire. Sans me connaître moi-même. On est arrivé depuis 10 minutes devant chez Abigaëlle et tout le monde est sorti mais je suis bloqué dans cette voiture et il me regarde tous à attendre que je sorte. Je suis juste paralysée. J'ai peur de ce que je vais apprendre et je sais que je ne pourrais pas avancer sans savoir l'histoire de ma famille mais si je décidais de ne rien savoir, ça ne changerais rien. Je n'avancerais pas mais je ne reculerais pas non plus. Il faudra juste que je m'éloigne des gens car je peux leur faire du mal et ce n'est pas un problème car je n'ai jamais été une personne sociale. Mais ce qui m'a fait sortir de cette voiture, c'est ce gars dont je ne connais pas le prénom mais qui m'a fait revenir sur terre quand j'ai failli tué Aiden et qui m'a caché de lui quand j'ai failli le frapper. D'ailleurs ça fait beaucoup de «failli» pour une seul personne. Donc pour revenir à nos moutons, il m'a ouvert la portière (mais quel gentleman!) et il m'a dit juste un mot «vient» en me tendant la main. Et je me suis empresser de lui tendre la mienne pour qu'il m'emmène avec lui. C'EST VRAIMENT RIDICULE! Je ne comprends toujours pas pourquoi je réagi à tout ses gestes, à tout ses mots. Il m'énerve. Tout m'énerve mais n'empèche que je l'ai suivie à l'intérieur en gardant ma main dans la sienne. Je n'allais tout de même pas la retirer alors qu'il me faisait énormément d'effet. 'Si c'est ce qu'aurait fait toute personne normale' Ouais bah je suis pas une personne normale. Et il faut ABSOLUMENT que j'arrête de me parler à moi-même.

Ce garçon dont je ne connais toujours pas le nom, m'emmena jusqu'au canapé ou il y avait Abigaëlle et Antoine juste en face dans les fauteuils et il a voulu bien-sur retirer sa main mais je l'ai suffisament dit, je suis une chochotte alors je lui ai attrapé son bras et je lui ai chuchoter un petit «reste s'il-te-plaît». Je ne voulais pas le regarder pour voir son visage de pitié car il devait surement penser que j'étais faible pour demander du réconfort à un inconnu.

Ce qu'il fit m'étonna car il me prit en sac à patate et alla dans la cuisine pour faire un sandwich je crois puisqu'il m'a garder sur son épaule ce qui m'empêcher de bien voir. Il a les épaules assez carré pour ne pas à avoir me tenir avec sa main alors il pouvait utilisé ses deux mains. Je me demandais quand même pourquoi il avait agi comme ça même si cela ne me dérangeait pas trop puisque j'avais une vue imprenable sur son fessier bien dessiner. Il retourna au frigot, pris quelque chose, retourna au salon pour me déposer sur ses jambes. Je me suis mise à rougir car de loin on aurait pu penser qu'il y avait un lien entre nous alors que, je dois me répéter, mais je ne connais toujours pas son prénom. D'ailleurs, ma grand-mère et Antoine qui été toujours dans les fauteuils en face de nous et qui avait assisté à ce qui s'était passer depuis le départ donc depuis que je lui avais demandé de rester, nous regardait bizarrement. Abigaëlle commença à parler.

-Kaitlyn, il faut que...

Elle fut interrompu par un grognement. Il ne venait pas d'Antoine ni de moi alors je me retourna vers bah le garçon qu'on va appelé euh le géant puisque ça lui va bien. Donc je me retourna surprise et quelque peu gêner par cette proximiter car je voulais d'accord qu'il reste car il me rassure mais je ne pensais pas être aussi proche. Normalement entre gens normaux qui ne se connaissent pas, il y a une distance à respecter pour ne pas envahir l'espace personnel de l'autre mais apparement lui il s'en fichait et il empiétait BEAUCOUP sur mon espace.

Malgré que je sois entrain de me plaindre, j'aimais énomément son contact et je pense qu'assisse contre lui tout pouvais m'arriver, j'encaisserais tout puisqu'il serait là pour me protéger. Comme je l'ai dit un peu plus tôt et il n'y a pas si longtemps, C'EST VRAIMENT RIDICULE! On ne se connait pas. J'en ai marre de le répéter mais c'est pour que mon coeur comprenne car il n'arrête pas de me dire de me coller à lui et d'enfouir ma tête dans son torse.

Bon là, j'ai beaucoup trop divaguer et je me demande toujours pourquoi il a grogner. D'ailleurs, j'ai l'impression qu'il passe sa vie à grogner. La première fois qu'on s'est rencontrer il a grogner, c'est la première chose qu'il m'ait «dîtes».

Donc je le regarda surprise qu'il interrompe ma grand-mère de cette façon et en plus de ça au moment où j'allais enfin savoir ce qui se passait. Tout ceci me frustrer.

-Il se passe quoi?

-Mange.

OK, il est allé dans la cuisine pour me préparer à manger. Je trouverais cela vraiment adorable si il ne me donnait pas à chaque fois qu'il me parle des ordres. C'est énervant. Tout comme c'est grognement. Il n'est pas un animal ni quelqu'un de supérieur à moi.

-Parle mieux quand tu t'adresse à moi. Je ne suis pas ton chien.

Il fronça les sourcils. Je ne vais pas me laisser faire. Je suis une personne timide mais quand on m'agresse, je sors les griffes.

-Mange s'il-te-plaît.

On a bien vu que ça lui déplaisais de faire ça mais je ne lui laissais pas le choix.

Je pris le sandwich, le mangea et ensuite il me tendis une bouteille d'eau. Je compris le message et bu. Maintenant, je pense qu'il me laissera éouter ce que Abigaëlle a à me raconter. Je fis un signe de tête à celle-ci et écouta avec attetion ce qui allait changer ma vie.

Sans illusionOù les histoires vivent. Découvrez maintenant