La fugue

Le rituel

Après le déjeuner, on c'est fait connaissance. Elle s'appelait Monica et elle avait 67 ans. Elle m'a dit que dans le passer, elle avait un Mari avec qui elle avait eu 2 enfant. Le soir de Noël, il avait été souper chez les parents de sont mari. Elle avait parti plus tôt pour les aider à faire le repas. Quand c'est enfant et son mari son partis la retrouver, ils ont fait un face à face avec un camion...Ils sont mort sur le coup... Les parents de son mari ont couper les ponts avec Monica. Ils croyaient qu'elle aurait dû les embarquer avec elle... Depuis ce jour, elle vit dans la forêt, seule mais heureuse.

-Joannie! Vien ici! J'ai attraper un gros poisson! Cria-t'elle.

-J'arrive! Dit-je en courant. Elle tenait un gros poisson bien vivant et elle lui coupa la tête. J'avoue que je n'ai pas vraiment aimer ce moment...Pauvre petit poisson...

-Tu vois! C'est comme ça qu'il faut faire! Dit-elle toute heureuse de sa prise.
-A ton tour maintenant!

-Non, je crois que je vais m'en passer... Dit-je.

Quelques heures plus tard, nous avons retourné au campement avec trois poissons. Elle m'expliquait que à trois heures pile, c'était la sieste pendant que les poissons se fessait cuire sur le foyer.
Elle prépara des couvertures pour moi devant le feux. Elle me demanda de me coucher. Ensuite, elle commença à tourner autour du feux en criant et en chantant. Sa semblait être un rituel pour poisson...! Elle cria de plus en plus fort. Les oiseaux s'envolait dans le ciel... Je commençais à croire qu'elle était devenu folle... J'essaya de m'enfuir mais elle me pris par les deux bras et elle m'attacha sur une chaise en bois... La j'avais vraiment peur. Qu'allait t'elle faire de moi?

Une fois sont rituel terminé, elle me regarda droit dans les yeux et elle me disa une phrase qui semblait amérindienne puis, elle se coucha dans ses couvertures.

Cette pauvre femme vulnérable était devenue folle... Je devait me sauver le plus vite possible. Comment faire? J'étais attaché très solidement à cette chaise. Je commença à me débattre sans succès.

30 minutes pénible s'avait écoulé et j'étais à bout de force. Mes jambes étaient presque détacher. Je puisa dans mes dernières réserves et je réussi à me détacher. J'étais si contente! Mais la partie n'était pas fini. Je devait m'échapper sans faire aucun bruit... Je me leva et je commença à marcher tranquillement sans faire de bruit...