Jour 1 : Cauchemar

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Salut tout le monde ! Tout d'abord je voulais dire que mes chapitre ne sont pas long pour une journée, (vous comprendrez en lisant), mais je n'ai pas toujours l'occasion d'écrire donc je suis plutôt speed, voilà. Je voulais dire aussi que je ne veux pas forcément publier ce mini roman, mais ça me ferais extrêmement plaisirs qu'il y ais beaucoup de lecteurs. Puis vraiment désolé pour les fautes j'espère que vous me pardonnerais. N'hésitez vraiment à partagez vos avis.
PS : j'ai un petit bug donc le résumé est ici, bonne lecture :

Depuis que le virus Z s'est abattu sur la terre, le monde n'est plus que désespoir et désert.
Dans ce monde où les Zombies se battent pour un bout de chair humaine, Jack et Juliette survivent au beau milieu de l'apocalypse Z. La seul mission de Jack est de sauver Juliette de son malheur...








Ce matin là, je me réveille comme tout les matins, j'ai froid, j'ai un léger mal de gorge. En revanche, la radio ne passe pas ses musiques du matin, pour réveiller les flemmards, comme moi. C'est à ce moment là que je me rend compte que je suis dans un terrible cauchemar. Je tente de me relever quand quelque chose me coupe :
"Plus de vingt morts, hier soir, et cette nuit, par une attaque cannibale, dans une des prisons de Manhattan. La prison Manhattan Détention Complex. Des témoins expliquent avoir vu des individus "étranges", s'introduire dans l'espace des prisonniers. Les portes de sécurité on été forcées, tous les prisonniers, encore en vie, sont à présent en liberté dans toute la ville. Nous pensons que c'est aussi le cas des cannibales. Barricadez vos portes et vos fenêtres, quittez la ville, cachez vous dans des endroits sûrs, faites tous ce que vous pouvez pour survivre!"

Seulement, mon mal de gorge revient. Et si tout ce que j'entend là n'est pas un rêve... Toute cette crainte, tout ces frisons. J'ai très peur, je me lève trop vite et je retombe sur le sol. Je prend un pantalon sale sous mon lit, l'enfile, me relève, et cours dans le salon du tout petit appart' de ma mère.
Je la trouve allongée, sur le canapé, avec la bouteille à la main. Comme d'habitude, ça ne m'étonne pas.
Sans déjeuner ni prévenir, je sors aussi vite que je peux de cette baraque répugnante.
Je claque la porte, mais, je sens que j'ai oublié quelque chose... Merde, les clés. Bon, pas grave. Je ne pense pas rentrer de si tôt.

La décision de ma vie, l'ascenseur ou les escaliers. Oui... l'ascenseur. De toute manière ce n'est pas moi qui vais sauver le monde. Je rentre dans ce truc, c'est là que je trouve une œuvre d'art... Franchement, ils ne peuvent pas mettre leur chewing-gum autre part que sur la barre?

Je pourrais m'en vouloir d'avoir laissée ma mère enfermer dans un de ces vieux immeubles de Brooklyn, avec pour seules amies des bouteilles d'alcool. Mais elle est en sécurité là dedans.
J'arrive en bas et j'entends des bruits. Non, ce n'est pas possible.
-Les cannibales !
-Oh, tais toi petit voyou !
-Pardon m'sieur Berlin.
Monsieur Berlin est le voisin du dessus. Il est tellement âgé que je l'ai pris pour un cannibale. Je suis parano...
bip bip bip.
Message de papa : "Salut Jack. C'est pour savoir comment tu vas. Tu a entendu les infos, cache toi et fais attention, bisous."
Mais pas aussi parano que mon père, apparement...

Il n'y a vraiment personne dans la rue. C'est là que je me dit que je suis fou. Mais, il faut que je trouve à manger pour ce midi.
Je vais au Market le plus proche, mais quand j'arrive, il n'y a plus rien, tout est "dévaliser", il n'y a même plus le caissier.
Je fouille comme je peux pour trouver de quoi manger, mais ce n'est pas du déodorant ou des couches qui vont m'aider.
C'est vraiment glauque. Ça ne pouvais pas mieux tomber : J'entends un gros bruit flippant derrière moi. Je me retourne et me barre en courant sans regarder ce qu'il se passe.
-Il faut vraiment que je rentre, là c'est chaud.
Je cours de toutes mes forces, et à un coin de rue, j'entends un cri. Ça doit être un homme, vu le timbre de voix.
Je trouve ce même gars allongé par terre.
-Monsieur, monsieur, vous allez bien ? Dit-je apeuré.
Il me regarde, le visage à moitié défiguré. Je tente d'appeler les pompiers, mais le réseau est brouillé. L'homme se lève très vite et s'approche de moi.
-Monsieur, vous allez bien ?
Il s'arrête, me regarde,et...
Je ne peut pas terminer comme ça, non !
Je cours, cours et cours ! Il court aussi vite que moi mais ne se fatigue pas.
Je vois ma vie défiler devant mes yeux, et je me souviens de son visage. Juliette ! Je dois la retrouver. Son image me donne l'énergie, non pas de courir, ni de me cacher, mais, de me retourner, attendre qu'il approche, qu'il me saute dessus... Puis, je vois ses yeux rouges et tous ce sang sur son visage. Je le plaque contre un mur, je prend le cailloux le plus gros que je trouve, et lui éclate le crâne avec !
Cette sensation est horrible. Je l'ai tué,même si c'est... Mais oui ! Ce n'est pas un simple cannibale, c'est un Zombie.
Je cours jusque chez Juliette, mon ex, mais que j'aimerais toujours, encore avec la peur de me faire surprendre par un Zombie.

J'arrive enfin devant chez elle.
Toc toc toc.
- C'est qui ? Dit Juliette apeuré.
-C'est... C'est Jack. Écoute moi je t'en prie. Je suis désolé pour toutes nos disputes excu...
-C'est pas vrai, Jack !
Elle ouvre la porte, me saute dans les bras, et bien-sûr, je ne refuse pas.

On mange quelques restes de son frigo.
On a ensuite passé une partie de la journée à discuter.
-T'as entendu ça Jack, il faut qu'on se protège, il y a des cannibales dans Brooklyn.
-Je repense à cet homme, ou ce Zombie... Comment c'est possible que l'être humain se soit métamorphoser comme ça ?
-Mais de quoi tu parles, là ?
Au début, je n'ai pas envie de lui répondre, mais il faut que je lui dise, parce que c'est la réalité.
-J'ai croisé un Zombie dans la rue, c'e...
-Mais qu'est ce que tu me racontes, ce sont de simples cannibales. Les Zombies, ça n'existe pas !
Je la sens froide, quelque chose ne va pas.
Et je la voie tomber par terre, en entraînant la chaise avec elle.
-Juliette, qu'est-ce qu'il y a ? Juliette, répond-moi !
Elle est évanouie, par terre, sans aucune raison.

Une heure plus tard, j'ai enfin réussi à la réveiller, mais il se fait tard.
-Ça va mieux ? Dit-je doucement.
Je vois une larme couler sur sa joue, et elle revient à la réalité.
-Jack... je veut dormir, je me sens... je me sens pas bien.
Je l'emmène alors dans sont lit. J'aurais bien aimé dormir aussi, mais, je dois nous barricader.
Je regard d'abord à la cave, en espérant trouver des clous. Je prend des planches, et tout ce que je peux pour barricader, portes et fenêtres.
Après ça, je m'endors tranquillement, dans le lit de ma belle Juliette.

Apocalypse Z    [en cour d'écriture]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant