Chapitre 4 : L'énigme

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Fabulant entre rêves et cauchemars, Andrew revu alors le paysage qu'il vit pendant que lui et Christelle furent assis sur ce banc, tout lui paru soudain clair.

Dans le park, où ils étaient posés, un abricotier était là. Planté dans la terre. Bien évidemment cela n'aller pas être aussi simple que ça. Une énigme aussi complexe ? Si dûre et en même temps si facile. Ils décidèrent donc de s'y rendre le lendemain endroit en sortant de l'hôtel. Ils y partirent le lendemain, en payant bien sûr leur séjour à l'hôtel, d'ailleurs ce fut de très bon clients, je vous les conseille. Toute la journée, il la passèrent à chercher une réponse a cette énigme de malheur mais rien y fait. Creusé sous l'arbre, aucun résultat. Chercher dans les branches, aucun résultat. Aucun résulat quoi qu'il arrive.

Rien à faire avec cet abricotier. Epuisés, ils s'assièrent sur le banc. Et s'endormirent encore une fois. À leur réveil, le ciel était teinté d'un dégradé d'orange et de bleu. Ainsi on pouvais voir une montagne au loin, dans la même trajectoire, l'abricotier laisser apparaître l'ombre de la montagne derrière elle, éclairée par une boule jaune. Sur le sommet de la montagne se trouvait une maisonette carré, délabrée, rustique.

Ils décidèrent donc d'aller à cette maisonette. Voir ce qu'il s'y passe et essayer de trouver des réponses à leur questions.

Mais avant celà retour à la case hôtel. Où ils retrouvèrent l'hôtesse, qui leur donna les clés. Tout était planifié, mais ce périple n'était pas possible sans équipements.

Ils cherchèrent dans toutes les cacailleries de la ville pour trouver un matériel nécessaire : Une lampe, un appareil photo, un ectoplasma-radar (Andrew était très superstitieux), un aspirateur, un détecteur de métaux.

Nos deux héros, passèrent "chez Bill", ils ouvrirent la porte et :
"Bill - Bonjour mes 2 tourtereaux ! Que puis-je faire pour vous ?
Andrew - On est pa...
Christelle (en le coupant) - Laisse ça Andrew ! Bonjour, nous aurions besoin d'une lampe, d'un appareil photo, d'un aspirateur et d'un détecteur de métaux.
Bill (en rigolant) - Bah dites-donc vous savez ce que vous cherchez ! Je pense avoir ça, attendez"
Bill alla dans un recoin du magasin, et disparu. Complètement, il disparu sans laisser de traces. Quelle était cette sorcelerie ? Aucune réponse. Andrew et Christelle furent subjugués, d'abord par le temps que prenait Bill à revenir et aussi par le fait qu'il avait disparu.

En tant que gentlemen, Andrew préféra ne pas voler l'arsenal dont il avait besoin, ce n'était pas altruiste.

Ils se baladèrent donc dans la ville, la nuit. La pluie qui était passé pendant la journée trempait encore le sol, l'eau se faufilait entre les pierres qui ornait le sol, faisait glisser la route, remplissait les égouts. Les lampadaires éclairèrent leur têtes grises.

Ce n'était pas aujourd'hui qu'ils allaient pouvoir s'attaquer à cette maisonette.

Mais Andrew ne baissa pas les bras, il y metta toute son âme, son âme, son ââââme... Après tout, il avait rien à perdre. Tandis que Christelle, elle, préféra rentrer à l'hôtel.

03:00 AM : La ville était sous anesthésie, aucun bruit.
La lumière des lampadaires usagés se balançaient entre teinte de jaune et de rouge. L'hululement des hibous se faisait entendre dans toute la ville.
Les épiceries et les bars étaient marqués d'un panneau "CLOSED".
Les nuances d'odeurs flottaient entre les parfums des fleurs qui se trouvaient dans la rue, entre le parfum des verres de thé qui ont étaient abandonnés sur les balcons, dans tout ça ils y avait aussi l'odeur d'alcool des bars fantômes.

Tout seul, errant dans la ville Andrew fini par faire une nuit blanche.
Utopique pensées. Il n'avait rien à perdre, sauf une chose... du temps.

Est-ce qu'il aurait le temps de trouver son équipement ?
Seul, il s'assoupi sur un banc et s'endormi.

Battre son désir ? Son ennui ?
Est-ce que sa détermination aller pouvoir l'aider ne serait-ce qu'un petit peu ?
Les parfums des fleurs qui se trouvaient dans la rue, agirent comme du sable.
Le seul sable capable d'endormirent en peu de temps,
Et pas seulement les yeux, son esprit tout entier était submergés par cet étrange parfum.

À suivre...

Les histoires de Mme FallOù les histoires vivent. Découvrez maintenant