Chapitre 9

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Il faisait beau,
On trottait tranquillement dans la forêt.
Quand soudain Killer me dit :
-Ça te dit de faire la course ?
Il avait un petit sourire coquin.
-Hummm, tu sais, je ne voudrais pas te faire de la peine si je gagne, d'ailleurs si je gagne, tu dois accepter que je devienne dragonnière.
-D'accords, sauf que tu ne gagneras pas bien entendus, si moi, je gagne, je veux un baiser.
-Humm, ça me semble juste.
Il s'arrêta, descendit de cheval est avec son talon créa une ligne devant nous.
-Voilà, tu sais ou se trouves le village de harnapé, de l'autre côté de la forêt ?
-Oui, je sais où il se trouve, le premier qui touche l'arbre de la place publique, celui devant l'église ?
-Sa marche.

Il se remit en selle est vin se positionner à côté de moi juste derrière la ligne qu'il venait de crée.
Je me préparais à partir au galop le plus vite possible, j'étais tout excité à l'idée de gagner la course, mais je me doutais que Killer fût un adversaire redoutable.
-PRÊTS, 1, 2, 3... PARTES !

Je donnais un grand coup de talon sur les flans de mon cheval est, il s'élança en trombe, Killer ne tarda pas à me dépasser, mais j'avais toutes mes chances. Tout à coup, je me souvins d'un passage que j'avais vu quelque jour plus tôt en venant ici. Qui ne tente rien n'a rien comme disait ma mère.
Je tournais d'un coup est parties au galop dans la forêt profonde, il y avait énormément de tronc a terre, mon cheval dû les sauter j'eu vite le mal de mer. Je débouchai sur la clairière, je devais aller très vite, car les arbres sur le côté étaient flous, je cravachai mon cheval pour qu'il aille encore plus vite, je débouchai en plein milieu d'un champ, Killer n'était plus en vue, je bifurquai sur un petit chemin de terre. Des paysans me regardaient bizarrement.
Je galopai depuis environs dix minutes puis tout à coup, je vis le village devant moi, Killer avait-il gagné ? M'attendait-il là-bas ?
J'arrivais dans le village, je débouchai au bout de deux rues sur la place, mais avant d'arriver, je vis Killer déboulé en face, on cravacha tous les deux nos montures puis par je ne sais qu'elle miracle, j'arrivai en premier en me jetant à corps perdus sur l'arbre, je tombais de cheval, mais j'avais au moins gagné.

Killer arriva à ma hauteur est me dit :
-Bien jouer, surtout pour le raccourci !
-Merci, quand commence mon entraînement pour devenir dragonières ?
-Ce n'est pas un entraînement, Demain à six heures au pied de la tour.
Je remontai sur mon cheval heureux, je devais sourire comme une dingue, car Killer sourie aussi et leva les yeux au ciel.
-Qu'elle tète brûler, tu fais !

Nous rentrâmes au château sans incidents, ne soie devant les écuries, nous descendîmes de nos montures respectives, j'allai vers Killer, il se retourna est en me prenant par surprise, il m'embrasa, je me laissai aller est, je répondis à son baiser. On s'écarta a bout de souffle est, il me dit :
-Demain, six heures sans faute !
-Oui, bonnes nuits mon prince,
-Bonnes nuits mon ange.

Le soir, j'étais à table avec mon père, partageant notre dernier repas en tête-à-tête, j'étais triste, est angoisser à l'idée qu'il parte, je voulais pleurer, mais je décidai de me montrer forte devant lui.
Nous mangeons des pommes de terre cuite, avec un petit gigot de viande rouge du pain accompagné avec un peu de bière.
C'était un repas simple, mais nous l'adorions
-Alors ma chérie comment ça va ?
-Mal papa, tu t'en vas.
-Rose, ma chérie, tous va bien se passer, croie moi. Je viendrais pur le jour de ton mariage ne t'en fait pas.
-Je sais, mais j'ai l'impression de perdre ma famille, tu étais le seul qui me restait !
-Rose, c'est a toi de crée ta famille maintenant, avec Killer. C'est une beau partie est en plus tu as de la chance, il est gentil.
Nous fissionnions de manger en parlent de tout et de rien comme au bon vieux temps.
J'accompagne mon père vers la grande porte ouvragée. Un garde l'ouvrit pour nous. J'accompagne mon père jusqu'à son cheval.
-Papa ?
-Oui ?
-Je... N'aie pas eu le temps de le dire à maman, mais voilà je ... T'aimes.
Il me regarda gentiment.
-Moi aussi, je t'aime Rose, plus que tout au monde.
Il me prit dans ses bras est me sera fort.
Il monta sur son cheval est-il parti dans la nuit sombre en se retournant un dernier foie vers moi.

Je montai dans ma chambre, me changeai est m'écroula sur mon lit en pleur

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