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Chapitre 4

Mes paupières était lourde, très lourde. J'avais un de ces maux de crâne affreux.
-Elle se réveille Votre Majesté.
-C'est vrai ?
J'entendis des pas, puis je sentit une main ce poser sur la mienne. Elle était lourde et calleuse.
J'ouvris les yeux après plusieurs essais peu concluent.
-Bon retour parmi nous mademoiselle.
-Bonjour, AH...J'ai la tête en plonds !
-C'est normal c'est l'effet des plantes médicinal qui font effet.

-AH......... !

-C'est bien les femmes de se plaindre.

-PARDON, tu es sérieux là ! Non mais tu vas voir, je vais-tu-en plantes une de flèche dans la cuisse et te l'arracher comme un porc !
-Oh la tigresse se réveille.
-GRRRRRR !
-AHAHAHAH
-Méchants !

Ramus était un homme d'une soixantaine d'années, petite et trapue.
-Merci beaucoup de m'avoir soigné.
-De rien.
-Bon mange et je vais te faire visiter le château.
Ramus et moi regardions Killer choquer. Il fit une drôle de tête et compris que j'avais une blessure à la cuisse et que sa m'enpècherait pendant quelque temps de marcher correctement.
-Avant de me regarder comme ça essaye de marcher.

-Les hommes.
Après avoir mangé, Ramus débarrassa mon plateau de nourriture et Killer installa un para-van pour que je puisse me changer, protégé de leurs regards.
Je m'assis, relevai la couverture en peau d'ours et examina le bandage qui ce trouver autour de ma cuisse. Puis je pris le vase d'eau et le versai dans la grande jarre puis procéda à ma toilette intime.

Pendant que je mangeais, une servante m'avait apporté de quoi m'habiller. Je pris le sous-vêtement en laine en haut de la pile, C'était une sorte de chemise de nuit mais un tous petits peu plus fine.
Je la passai puis pris la jupe en laine aussi et la mis. Ensuite je mis le petit corser et le serra du mieux que je pus seule. Je me retournai et constatai qui me manquait l'habit qui clôturerait ma toilette.
-Il manque la robe.

-C'est moi qui l'ai, on vient de me l'apporter, J'arrive je te la donne vite fait.
J'écarte le paravent tous en me cachant derrière, il arriva les yeux fermer munit d'une grosse boite.
Je le lui arrachai des main et remit le paravent en place .
Je posais la boîte, l'ouvris et découvris une magnifique robe couleurs prune en velours, avec sur les bordures du col et des manches des filigrane dorée, rouge sombre et prune, la ceinture était assortie. J'enfilais la robe, mis la ceinture autour de ma taille, elle me tombait jusques en bah de la robe, j'étais enfin prête.

Je tournai lentement sur moi-même en regarde la robe et je la trouvai très jolie, je pris une grande inspiration est sortie de derrière le paravent.
Il se retourna, me regarda de haut en bas sans afficher la moindre émotion.
Je boitais légèrement, ma jambe me faisait déjà moins mal que la dernière fois.
-Bon allons-y.
Il partit dans le couloir, je me retournai est dit au revoir à Ramus et suivi-t-en bien que mal Killer qui étais déjà loin devant moi. Il se retourna et vie que je peinais, s'arrêta et m'attendit pour que je puisse le rattraper.

Au bout de deux heures de visites nous nous arrêtons devant la porte du salon de l'ancienne reine.
-La reine, ma mère est morte il y a longtemps maintenant mais j'ai fait réaménager ce salon pour toi, il y a une petite bibliothèque personnelle aussi.
-D'accord, merci.
Voilà je vais te laisser tranquille tu as le droit d'aller où tu veux mais sauf dans la grande tour ni dehors sans moi et les écuries te serais interdite.

-Oui compris, est vrai... enfin au village il y a une rumeur qui dit que vous possédiez des dragons, c'est vrai ?
-Est des licornes aussi pendant qu'on y est. C'est faux, ce n'est qu'une simple rumeur, oublie.
Je vis son visage tiqué est compris qu'il ne me disait pas toute la vérité.
Il partit et je sentais seule dans les couloirs livrée à moi-même.
Killer m'avait expliqué que j'avais rendiez-vous ce soir à la salle du trône pour l'y retrouver et rencontrer son père Henri et le mien sain est sauf. J'étais un peu angoissé à cette idée.
J'ouvris la porte du petit salon, y entra et découvert une somptueuse pièce, remplie de lumière et de plantes vertes sans parler des quelques centaines de fleurs de toutes les couleurs magnifiques . Leurs parfums me firent du bien et me réconfortèrent, il y avait aussi des canapés et une table basse ou dessus reposé le livre de médecine de ma mère. Je partis vers la petite bibliothèque et découvris quelque ouvrage dont je prendrais plaisir à lire. Il y avait aussi un balcon et de grande fenêtre qui faisait entrer la lumière.

J'étais en train d'arpenter la pièce quand un cri affreux se fit entendre dehors, ce n'était ni humain ni animal, je me précipitai à la fenêtre mais ne vis rien. Je me demandais si j'avais rêvé.
Je sortis de la pièce en claudipant est courue dans les couloirs, je dévalai les marches et me ruai dehors. Je courus-t 'en bien que mal vers les sortes de gros bâtiment et le crie se fit entendre à nouveau. Je me rapprochai, j'allais ouvrir la porte quand deux bras musclés me tirèrent en arrière énergiquement et méchamment.
-C'est moi ou tu es dehors .
-J'ai entendu un cri affreux.
-Est alors . Je te ramène à l'intérieur !
Un foie à l'intérieur.
-Bon sang, je peux pas te faire confiance !
- Je mésuse, je voulais voir d'où venait ce cri.
-Il s'approcha de moi, mis ses mains sur mes joues, et me dit :
-ne remet jamais le pied dehors quoi qu'il arrive.
-Oui, d'accords. Je croisais les doigts derrière ma dot
-Promis ?
-Oui, c'est bon lâche-moi !
Il me l'achat est dit :
-un jour tu comprendras.