-Voilà, on y hais... Encore une touche par là.
Egrette était penché sur moi etdepuis trente bonnes minutes s'appliquait à me maquiller avec lesproduits préparés le matin même.
Egrette se tourna est parti vers le fond de la pièce pour apporter les miroirs accrochez au mur. Quand je découvris ma tête, je m'aperçus que je trouvais cela pas mal,toutes les couleurs étaient en harmonie sans être trop vulgaire.
-J'aime beaucoup, je trouve que je suis toujours naturel.
-Temps mieux, c'est le but rechercher. Je parlai du mariage encore longtemps avec Egrette puis fut l'heure de partir. Je me dirigeai vers la porte, je pris ma cape est la noua autour de mon cou. Egrette ouvrit la porte et nous nous dîmes au revoir, en cadeau elle m'avait offert les petits.pots de maquillages, je les avais mis dans mon sac en bandoulière.Je partis vers la charrette, grimpa dessus, Ethel monta à l'arrière.Je fis claquer les rennes et les chevaux partir au petit trot.
Cela faisait trente bonnes minutes que nous étions sur la route quand je m'aperçus qu'aucun des gardes nous suivait.
-Ethel ! Ou se trouvent les gardes
-Les gardes ? Mais...ou sont'il ?Je me retournai est vis l'étonnement sur son visage et un soupçon de peur. Je fis ralentir les chevaux est me mis debout pour voir l'horizon, peut-être que l'un des chevaux avais perdu son fer et qu'ils avaient dû s'arrêter. Ou alors ils avaient perçu une menace et devaient être en train de la neutraliser. Le doute s'installa en moi comme une mauvaise herbe. Je me rassis et décidai de rentrée au plus vite. Je claquai les rennes et fouettai les chevaux pour les mettre au galop. Ils répondirent à mes ordres et nous nous élançâmes dans la campagne.Dix minutes plus tard on entendit des galops de chevaux derrière nous, je me retournai et vis quatre, Non, cinq personnes arrivaient sur nous. Je claquai les rennes plus forts et criai sur les chevaux. Ethel de son côté jeta le contenue de la charrette pour nous alléger. Mais rien n'y fit les cinq hommes nous rattrapèrent. L'un des brigands arriva à hauteur d'un des deux chevaux et se jeta sur l'encolure, il rua et la charrette fit une embardé avant de ralentir et enfin s'arrêta brutalement. Je réussis malgré tous à garder l'équilibre.
- Enfin, cela n'avait pas été aisé de tuer vos deux gardes, on a bien cru que vous nous aviez remarqué à un moment.
-À qui avons-nous affaire ?Dis-je.
-Je vous l'avais bien dit qu'elles n'étaient pas de simples paysannes !L'homme qui parlaitavait un œil en moins, une énorme cicatrice se trouvait sa place.
-Bon qu'allons-nous faire de ses deux là ?
-D'abord déterminons qui est la maîtresse est à quelle famille elles appartiennent.L'un des hommes sauta dans la charrette, me pris par le bras et me leva violemment puis me jeta par terre comme un vulgaire sac en toile de jutte. Ethel fut traité de la même sorte.On nous relevait et je m'aperçus que n'a qu'un œil était le cerveau du groupe. Il sortit une dague de sa ceinture est la pointa vers ma gorge en appuyant légèrement pour qu'une goutte de mon sang y perle.
-Qui êtes-vous mes jolies ?
-Nous sommes de simples fermières
-menteuses ! Si bien habiller sans salissures, est sans chaperons !-Si nous avions des chaperons que vous avez lâchement tués et si nous sommes bien habillés c'est que c'est jour de marché cria Éthel.
-Nous on doit faire le sale boulot pour vivre, est comment ce fait-t-il que votre charrette est pleine ?Je commençais à avoir peur, ce bandit serait prêt à tout pour gagner quelques écus, je me mis à espérer la venue d'Azur, faite qu'il m'entende, je vous en supplie. N'a qu'un œil appuya encore un peu plus sur ma gorge, la douleur commençait à venir petit à petit.
Voila enfin! Désoler pour le retard, j'avais beaucoup de travail :) Bonne lecture

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Une nouvelle page
FantasyQuand votre vie bascule sans que vous vous y attendiez, quand vous ne pensez pas que sa existais, quand sans le vouloir vous tournez une page. Je me nomme Rose est ma vie va changer. Tout droit réservé!