Chapitre 5 - je suis là, juste pour toi

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Marquand : vient avec moi Paulo. On va allé voir maman et la faire rigoler, tu vas voir mon grand.

Marquand s'approcha de chambre d'Alice. Quand il ouvrit la porte, il vut l'état de sa belle. Fred s'approcha d'Alice pour la prendre dans ses bras sans se poser de question.

Alice : Fred... ne me laisse pas... je ne peux plus vivre sans toi !
Marquand : chut, je suis là maintenant. Tu ne crains plus rien... on se calme, tout va bien... je ne te laisse plus seule.

Alice pleurait de toutes les larmes de son corps. À ce moment là, elle était à bout et Fred le savait. Il l'a serra fort contre lui pour lui montrer qu'il était là pour elle.

Alice commençait à se calmer dans les bras de son commandant.

Alice (se calmant) : Fred ?
Marquand : oui ?
Alice : je m'en veut de t'avoir parler comme ça... je suis vraiment désolé. Je n'aurais jamais dut te...
Marquand (la coupant) : on en reparlera plus tard, tu veux ?
Alice : oui (elle serra Fred au plus près d'elle) ... je t'aime Fred (puis elle pleura à nouveaux, ses nerfs commençaient à lâcher)
Marquand : chut... je suis là, je ne pars plus. Je te le promet.

Puis Fred l'embrassa tendrement.

Petit Paul était quelque peu chamboulé par les émotions de sa mère. Marquand, voyant l'état du petit, l'invita à s'approcher de sa mère pour faire un câlin collectif. Une fois ce petit moment d'émotions passé et petit Paul récupéré par Jacques, le couple put avoir une discussion des plus sereine.

Marquand : Alice, tu veux bien m'expliquer pourquoi tu es dans cet état. Je voudrais t'aider mais si je ne sais pas ce qu'il se passe, je ne pourrais pas t'aider.
Alice : je ne sais plus où j'en suis pour nous. Je suis folle amoureuse, ça c'est une certitude. Mais après, je suis sure de rien par rapport à moi. J'aimerais pouvoir te dire tout ce que je récent mais j'ai peur de te décevoir.
Marquand : tu ne me décevra jamais Alice, tu es ... tu es la femme de ma vie et jamais je ne pourrais te laisser tomber. Je t'aime depuis le premier jour Madame le Juge. Maintenant ai confiance en moi et surtout en toi pour que l'on puisse avancer ensemble.
Alice : tu as toujours le don pour trouver les bons mots, pour me rassurer même dans les pires situations.

Marquand prit le visage d'Alice entre ses mains et l'embrassa tendrement pour lui faire comprendre qu'il serrait toujours là pour elle.

Deux semaines étaient passées depuis leurs retrouvailles. Marquand avait prit Alice sous son aille pendant que petit Paul était en vacances chez son grand-père à Dijon. Nos deux amants pouvaient profiter du calme sans leur petit Paulo.

Un beau matin, chez la juge. Son bel homme dormait paisiblement pendant qu'Alice le regardait tendrement dormir. Au bout d'une petite heure, elle décida de le réveiller.

Elle se mit au dessus de lui, puis commença à lui embrassait le cou tout en descendant dans le dos.

Marquand : hum...
Alice : on se réveil commandant.
Marquand : pas déjà ?...
Alice : si mon commandant... à moins que vous préfériez que je continue...
Marquand : continuez Madame le juge... continuez.

Puis il se retourna vers sa belle et la regarda avec insistance.

Alice : qu'est ce qu'il y a Fred ?
Marquand : je me rend compte du bonheur que j'ai d'avoir la plus belle des femmes dans mon lit. Jamais je n'aurais cru cela possible un jour. Pouvoir te serrer dans mes bras, t'enlacer, t'embrasser, te consoler...
Alice : j'adore tout ce que tu me dis Fred... mais petite rectification quand même... tu es dans MON lit.. (elle avait bien insisté sur les derniers mots avant de l'embrasser à pleine bouche).
Marquand : ouais bon... un jour tu sera dans mon lit, je te le promet !
Alice : promis ?
Marquand : oh que oui ! Et tu pourrais t'y retrouver plus vite que tu ne le pense...
Alice : vous savez qu'outrage à magistrat peut vous coûter chère commandant ?
Marquand : mais rien ne vaut la plus belle des femmes dans mes bras, même menotté !
Alice : lèves toi au lieu de dire des bêtises !

La juge se leva et se dirigea vers le salon. Quand elle arriva au niveau de la porte de sa chambre, elle se retourna et dit :

Alice : je vous aime commandant Frédéric Marquand ! Ne l'oubliez jamais !

Puis elle repartie pour une belle journée de travail, la juge vers le palais tandis que le commandant fila au 36.

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⏰ Dernière mise à jour : Jun 06, 2017 ⏰

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