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Les jours se sont effrités. Chaque jour, j'essayais de changer ton monde. À vrai dire, je ne faisais que retarder le moment où tu en aurais vraiment marre, où tu déciderais de partir.

Sorties au parc, promenades sur le bord de la mer; aucun sourire ne s'étirait sur ta peau lisse. Pourtant, j'essayais de me convaincre du contraire.

Le soir, alors que le monde dormait, je rêvais que l'ombre d'un sourire fasse escale sur ton visage.

C'était un petit espoir que je gardais caché bien au fond de moi. Un peu comme toi et ta haine contre le monde.

Voleuse d'étoilesOù les histoires vivent. Découvrez maintenant