VII

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Tu commençais tranquillement à me contaminer.

Tous les soirs, je pensais à toi et ton accent allemand. À tes lèvres et ton corps lisse.

Je repensais à la courbe de ton sein que ton soutien-gorge avait laissé deviner l'autre jour.

Il m'arrivait même à chasser, un peu honteux, les images de toi nue dans mes bras.

Cela m'avait pris tellement de temps à remarquer toutes les qualités que tu cachais. Toutes ces petites choses qui me mettaient dans tous mes états.

Il ne passait pas un jour sans que je ne pense à toi.

Voleuse d'étoilesOù les histoires vivent. Découvrez maintenant