Tu commençais tranquillement à me contaminer.
Tous les soirs, je pensais à toi et ton accent allemand. À tes lèvres et ton corps lisse.
Je repensais à la courbe de ton sein que ton soutien-gorge avait laissé deviner l'autre jour.
Il m'arrivait même à chasser, un peu honteux, les images de toi nue dans mes bras.
Cela m'avait pris tellement de temps à remarquer toutes les qualités que tu cachais. Toutes ces petites choses qui me mettaient dans tous mes états.
Il ne passait pas un jour sans que je ne pense à toi.

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Voleuse d'étoiles
ContoAlors que nous rêvions de vivre, tu rêvais de mourir et devenir une étoile. Peut-être qu'au fond, nous étions tous pareil, essayant de trouver un sens à la mort. Et peut-être que toi, tu l'avais simplement trouvé avant. Février 2017 || Février 2017 ...