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Des bruits courraient partout dans la cité , que j'étais toujours vivante , pourtant O-gun avait pretendu le contraire à son chef ; depuis que je m'étais enfuite, je n'avais plus eu de nouvelles de lui ! Fantom ordonna a ses hommes de partir a ma recherche et que je crève ! Quiconque m'aidait à me cacher subira la même peine que moi. Je commençai à paniquer malgré que les gosses interdits essayaient de me calmer en me promettant qu'ils ne laisseront personne me faire du mal et que je devais faire confiance à leur chef .
Comment pourrais-je faire confiance à quelqu'un que je n'ai jamais vu , ni parler ; quelqu'un dont j'ignore son sexe ,sa couleur et son nom . J'étais foutue ; seule et sans espoir ; mon optimiste s'était evaporisé ,pour faire place à un vide énorme , une tristesse et une solitude chronique . j 'étais ainsi perdu dans mes reflections,lorsque j'entendis le bruit sourd d'une arme à feu ; je me dirigeai vers ou le bruit provenait ; j'entendis la petite Lolita pleurer et lorsque j'apparu, la scène était horrible, par terre,le corps de Paolo et de Lize beignait dans leur sang , iraz se tenait debout près des corps ,un sniper à la main et tirait contre ses adverssaires qui n'étaient pas de taille contre son apparence maigrichon :

Iraz : kloé mets toi à couvert !

Victor ,Max , Raoul et jean essayaient tant bien que mal de couvrir Iraz avec leur M1 , les detonnations des cartouches me perforaient les tympans ! Je me mis a ramper sur le ventre en prenant la petite Lolita avec moi; quelques minutes après , nous étions cachés sous une vieille camionette ...les coups de feu avaient cesser et des pas approchaient ...

Moi : Lolita ,sauve toi ..traversse le petit couloir

Elle : je veux pas partir sans toi

Moi : vas ...un jour on se reverra ..part!

Elle resta un long moment silencieux à me regarder,lorsque les pas se firent plus proche ,elle disparaissa à travers le couloir étroit que seul son petit corps était capable de traversser !
Je m'accrocher à ma cachette en priant un Dieu ,à laquelle je n'y croyais pas ,de venir à mon secours ..si les hommes de Fantom me retrouvent ,ils me descendront sans pitié , une larme ou plusieurs larmes d'amertune coulèrent ..un chien salle qui n'avait que la peau et les os commença à me renifler; je fis le mort ..mais ils continuaient en me lechant les orteils ,je le bousculai d'un coup de pied ,ce qui provoqua un aboiement pleintif de sa part et simultanément l'agitation de la vieille automobile. Ce geste imprudent de ma part , attira l'attention de mes traqueurs , ils firent le tour du vehicule , regardèrent á l'interieur ,puis firent le geste que je voulais qu'ils évitent ; ils se penchèrent pour verifier le dessous et la j'ai su que j'étais dans la merde!

Ma Cité Mon RoyaumeOù les histoires vivent. Découvrez maintenant