CHAPITRE III

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DANS LA TÊTE DE LUNA QUAND ALEXANDRE EST ENTRÉ DANS LA CLASSE.
Lucy et moi venions tous juste de no7s assoirent quand la porte s'ouvris. Tout le monde tourna la tête vers le nouveau venu. C'était un garçon. D'abord je regarda à quoi il ressemblait juste pour savoir maisil ne me fesais ni chaud ni froid. Il était assez grand musclé et avait des cheveux brun en bataille et des yeux couleur noisette. Ses yeux,quand j'ai regardé ses yeux et que lui regarda les miens,je me senti toute bizarre. Puis un feu d'artifice éclata dans mon ventre dans ma tête et dans mon coeur. C'était une sensation que je n'avais jamais ressenti. C'était très étrange mes aussi agréable. Alors je tenta de le regarder à nouveau et...je n'arriverai plus à détacher mon regard de ses yeux. Je crois que je suis amoureuse.
- ouhouou allo Venus ici pluton on se réveille! Je sursauta et réussi à détachées mon regard d'Alexandre.
-Hmm quoi ?fais-je
- Tu es bizarre tu n'as jamais été comme ça devant un garçon. Etpuis je le trouve bizarre pas toi ? Me dis Lucy comment peut-elle dire une chose pareil alors que je commence tout juste à connaître se sentiments nouveau ?! Serai elle, aussi amoureuse de Alexandre
- Non je le trouve pas du tout bizarre. Ondirait que tu es jalouse! Lui lançais-je
-Non luna c'est pas ce que je voulais dire...
-SILENCELA BAS AU FOND !!! cria monsieur Bidochon.
Lorsque la cloche sonna je me diriga vers Alexandre. On se parla de tout et de rien dans les couloirs. Puis je l'arreta net.
-Alexandre il...il...il..faut que je...te..dise un truc. Balbutiais-je.
- Oui dis moi tout. Me répondit-il avec douceur et gentillesse.
-Euh...alors voilà en fait...en gros...quand j'ai croisé ton regard tout à l'heure je...j'ai senti comme un feu d'artifice dans tous mon coeur chose qui...jusqu'à aujourd'hui ne m'étais jamais arrivé. Je...euh..j'ai..non...je crois..que...euh...que.........JE SUIS AMOUREUSE DE TOI !! voilà c'est dis!!
J'étais soulager d'avoir pu le dire.
-Ah bon ? Et bien figure-toi que je t'aime. Dit-il. Puis il se rapprocha de moi même si je ne compris pas tout de suite. Puis nos lèvres se frolerent il ouvrit les yeux pour avoir mon accord,je hocha la tête pour lui direque oui. Et il m'embrassa. Je n'avais jamais ressenti une telle sensations s'était inuit.

 Je n'avais jamais ressenti une telle sensations s'était inuit

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La Malédiction Des Dix Où les histoires vivent. Découvrez maintenant