The Communauty ~Tome I~ YIELLE [TERMINE + EN CORRECTION]

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J'étais toujours par terre. Son histoire était vraiment fabuleuse et surtout intrigante, mais je ne l'aimais pas du tout ! Elle me faisait juste peur. Elle n'était pas comme la merveilleuse histoire de la Belle et la Bête. Ce n'était ni un compte ni une légende, non. C'était bien vrai. Enfin je crois..

Mais tant qu'il on était, je ne l'aimais vraiment, vraiment pas du tout.

J'étais complètement paralyser. Je ne bouger plus et la fixais juste droit dans les yeux. Elle fronça les sourcils avant de me questionner :

"Qu'y a t'il Camerone ? Tu ne comprend pas ?"

Je secoua la tête négativement.

"Et bien retient juste que ce que tu vient de voir, n'était pas une hallucination. C'était un souvenir. Chaque Pulsionniste à certains fragment de souvenir de cette époque en elles. Enfouie, loin, en profondeur dans ton subconscient. Cette sculpture n'est la que pour les faire ressortirent."

La chose qui me perturbais, était que ce "souvenir", était beaucoup trop "vrai" pour l'être. J'avais tout ressentis : la peur, l'angoisse, la curiosité, incompréhension, l'odeur, la chaleur...

"Je...Je ne sais pas ce qu'est une Pulsion...je comprend rien..."

Je ne comprenais pas. Je ne comprenais rien. Et je n'aimais pas être ici.

La directrice se leva et me tendit la main pour que je la reprenne.

"Ce n'est pas à moi de t'expliquer le reste. Tu l'apprendra en classe avec tes professeur. Moi je suis juste la directrice et l'infirmière jeune fille."

Justement !

"Justement, en tant que directrice, ne devriez vous pas tout m'expliquer ?"

Elle ne répondit pas et resta dans la même position qu'elle avait adopter. Je compris tout de suite, qu'elle était une copie de mes parents. Toujours à ne pas répondre à mes questions pourtant simple. À croire, que toute les personnes que j'avais rencontrer jusqu'à maintenant étaient toutes  pareil. Tous à ne rien vouloir me dire, à me laisser me débrouiller toute seule. C'était alors peine perdu, je devais attendre mon premier cour pour pouvoir tout comprendre. Rien que cette idée me stressais. Je pris sa main et me releva. Elle me tira le bras tout le long du couloir. Elle marchait drôlement vite, et je n'arrivais même pas à suivre. Bizarrement, elle me rappela Emilia, quand celle-ci me tirait le bras dans la forêt. Vous rappelez vous ? Elle avait la même poigne et surtout la même façon de marcher. 

Peut-être...Peut-être se connaissent elles ? Non absurde !

Je préférais ne pas lui poser la question et la garder pour moi. 

"L'école fut fonder en 1745, par cette femme."

Elle s'arrêta si brusquement devant moi, que mon corps rebondit sur le sien. Je trouvais que ma main droite avait des gestes beaucoup trop déplacer sur le corps de la directrice.

"Veuillez m'excusez je-"

"Tu t'excuse trop Camerone. Je disais donc, que cette femme avait fonder cette école en 1745." Elle pointa du doigt la peinture d'une vielle femme, dont le visage était remplie de vielle rides et au cheveux gris, qui ne souriait pas du tout, loin de la.

"C'était une vielle conne. Elle ne sourier jamais, je la déteste même ne l'ayant pas connue." Elle rigola."Mais elle eu l'excellente idée, vu qu'elle était une excellente Dominante, de créé cette école. Tu te doute bien, que ces imbéciles de misogyne d'homme à l'époque, n'apprécier guerre les manières de cette jeune femme. Elle était extravagante, pleine d'assurance, elle se vetissait même en pantalons d'homme. À plusieurs reprises, on avait voulue l'assassiner pour cela, la traitant de sorcière. Quand elle créa cette école, elle la cacha et l'école devint clandestine. Les filles, pour je ne sais qu'elle raison après tout, n'avaient  pas le droit d'étudier. Quelle bande de dégueulasse ses hommes.  Elle cacha les bâtiments dans une immense grotte en profondeur, dans une immense montagne. Mais bien vite, elle trouva que ce n'était pas l'environnement idéale pour développer et maîtriser un quelconque pouvoir."