Je resta un long moment derrière la porte dans le couloir à me demander ce que je dirai à Hillary et surtout comment je le lui dirai. Quand je vivais encore au manoir avant l'arrivée d'Hillary, ma voix était plate et monotone. Il n'y avait ni note haute et ni note basse dans la façon dont j'avais de parler. Mes parent furent peu présent, même en l'étant, et n'ayant aucune autre personne avec qui bavarder, je n'avais pas eu comme vous cette mélodie dans ma voix. Cette mélodie qui donne à un enfant tout son éclat, qui fait partie de sa personnalité et qui fait donc de lui un enfant mignon ou un enfant insolent. Étrange à dire, mais cette fameuse mélodie que j'ai maintenant c'est Hillary que me la donner. Au début je ne l'aimais pas vraiment, en tout cas pas les premier mois. C'était une étrange femme et je n'avais pas cette immense besoin d'être constamment près d'elle comme aujourd'hui. J'étais toujours en retrait et ne parler que peu à cette intrus. Plusieurs fois moi et Hillary, nous avions eu des dispute. Soit parce que je ne voulais pas de son aide pour mettre mon pyjama le soir, parce que je ne rangeais aucun des livres que je lisais dans la bibliothèque de père, ou simplement car je ne lui disais jamais merci. A force de lui crier dessus et d'argumenter pour des choses que je ne voulais pas, j'ai finit par adopter un timbre de voix que je ne soupçonnais pas. Cette mélodie à réussit à se faufiler dans ma gorge et à créé un ton que je ne lâcherai pour rien au monde. Et en y réfléchissant bien, au moment ou ma voix arrêta d'être si plate, Hillary cessa instantanément de m'embêter pour des détails futile.
Je me demande même si elle ne la pas fait exprès...
Je me mise à avance jusqu'à arriver en haut des escalier qui donnait sur l'ensemble du salon. Je vit ma gouvernante le canapé, ces jambes étaient replier vers elle et je la vit les serrait comme si elle eu peur de les perdre. Devant elle il y avait une tasse avec ce que je pensait être du thé vu la couleur verte. La télé était pour la première fois allumée et les image ce mirent à gigoter dans tout les sens...
Ces yeux firent le tour de la pièce avant de se poser sur moi et je la regarda. Elle me fit signe de venir m'asseoir en tapotant la place à côté d'elle. Je descendit les escalier et m'avança calmement avant de venir m'asseoir. Son parfum était doux, c'était celui qu'elle m'était juste après avoir pris sa douche. Ces habits n'étaient plus les même. Elle avait un débardeur ample beige qui ne moulait pas son corps, et elle avait enlever son tailleur pour porter un jogging gris qui avait l'air trop grande pour elle. Était il a elle ?
Mais s'il n'est pas elle, de qui peut il bien venir ?
Elle s'était replonger dans les images devant elle et malgré le faîte que je n'avais jamais vu de télé auparavant, je ne tourna aucunement la tête et ne pu m'empêcher d'admirer ma Grande Sœur. Même en aillant les cheveux mouillé, elle restait sans imperfection. La voir de profil donnait une tout autres allure à son corps qui semblait plus mûre qu'il ne l'était. Et elle parla.
"A tu faim ?"
"Non...ça va. Je...j'ai fait cela pour toi. C'est un cadeau."
Elle tourna la tête pour regarder le paquet que je lui tendait, elle l'attrapa et me regarda amuser. Puis elle déchira le morceau de scotch qu'il y avait dessus et qui servait à fermer l'ouverture du paquet, elle l'ouvrit et en sortit un petit sac en toile noir et je la vit sourire.
"Camerone qu'est ce que..."
"Ouvre le."
Elle me fixa d'un air curieux et tira sur le fil qui fermait le tout petit sac en le serrant. Elle le renversa et un petit bracelet au tissus marron tomba, pour atterrir dans ça main. Il gardait précieusement en son centre une pierre lumineuse qui ne cessait de changer de couleur.
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The Communauty ~Tome I~ YIELLE [TERMINE + EN CORRECTION]
ParanormalThe Communauty est un roman fantastique qui raconte l'histoire de Camerone une adolescente de 16 ans qui vit enfermé dans un manoir depuis sa naissance car ses parents ne la laissent pas sortir pour des raisons mystérieuses. Elle à pour seul contac...