The Communauty ~Tome I~ YIELLE [TERMINE + EN CORRECTION]

~ La voiture part 2 ~

Rien que cette phrase chatouilla mon entre jambe, mais je ne pouvais pas serrer les jambes contre elle, car sinon elle l'aurait remarquer.

De toute façon, elle le remarqua quand elle te déshabilleras ! Elle doit surement lire dans tes pensées actuellement idiote ! Arrête de parler !

Hillary me regardait dans les yeux, elle ne semblait pas être gênée, même après avoir dit cette phrase. Elle avait se petit sourire sur les lèvres qui traduisait une idée maline dans son esprit, elle se mordit la lèvre inférieur avant de redresser l'une des cuisses sur laquelle j'étais assise. Prise de cour, je lâcha son pénis et mise immédiatement mes deux mains sur ses épaules pour me rattraper et évitée de tomber sur elle. Elle avait ce regard. Ce regard si étrange. Elle me contemplait comme si j'étais la plus belle chose au monde.

"Bien sûr que oui tu l'est."

Je baissa la tête mais elle me força à la regarder en me prenant par le menton.

Je remarqua à quel point nous étions proche toutes les deux et cette situation me fit avaler ma salive nerveusement. Je ne pouvais m'empêcher de regarder ses lèvres et je savais qu'Hillary l'avais remarquer car je la vit sourire encore plus. Elle m'entoura tout de suite de ses bras comme pour me faire un câlin. Je ne savais pas ou me mettre tellement j'étais gênée tout d'un coup. J'étais si proche d'elle que ma poitrine se collait à la sienne, si proche que notre respiration se mélangeait, si proche que je craqua et m'avança pour l'embrasser.

Je colla mes lèvres sur les siennes et l'agrippa par ses épaules. Je perdait complètement pied ! Ses lèvres sous les miennes étaient si délicieuses dans ma bouche. Je jamais n'aurais voulue les laisser partir et je les mordaient presque de plaisir. Je sentais ses mains se baladaient sous mon T-Shirt, elle caressait mon dos, me faisant me cambrer sous ses doigts. Elle me fit lever les bras et retira mon haut avant de le jeter derrière moi, mais son regard ne suivit en aucun cas son geste car Hillary resta figée devant mes seins. Elle ne cessait de les fixer sans dire un mot et ne bougeait plus. Je me demandais ce qui lui prenais tout à coup.

Avait-je quelque chose de mauvais sur moi ? Mes seins ne lui plaisait pas ?

Je me mise à regarder ma poitrine pour voir si quelque chose n'allait. Je me sentit soudainement idiote et la timidité finit par m'atteindre, je mit mes bras sur ma poitrine pour la caché. C'est a ce moment qu'Hillary releva la tête vers moi.

"Tu...tu ne les aime pas c'est ça ?"

Et comme un murmure : "Pas le moins du monde."

Hillary bascula et je me retrouva allonger sur la banquette. Elle prit mon jogging et l'enleva en ne me lâchant pas du regard, comme pour vérifier que j'étais bien d'accord. Quand elle jeta le jogging par terre, je ferma les jambes timidement car je venais de remarquer que j'étais complètement nu devant elle. Je la vit pencher la tête sur le coté en souriant avant de les décaler l'une de l'autre. Elle se mise entre elles et m'embrassa le ventre en remontant jusqu'à mes seins et en prit un dans sa bouche. Je gémis automatiquement. Je sentais sa langue faire des cercles imaginaire, elle les léchaient et les embrasser tout les deux pour n'en rendre aucuns jaloux de l'autres. Quand elle remonta vers le cou, je la prise par le cou pour qu'elle continue car c'étais très agréable. Elle me faisait ressentir des sensation dans tout le corps, ils y en avaient même à des endroits qui n'étaient même pas toucher par elle.

Mais Hillary ne faisait pas que ça, elle ne faisait pas que m'embrasser les seins et le cou, elle jouait clairement avec moi. Elle avait remonter une des mes cuisse pour mieux se caler sur mon entre jambe et je la regarda se frotter à moi. Je sentais son pénis se frotter contre moi, contre mon clitoris. Elle prenais bien son temps entre chaque frottement et le faisait un peu plus durement à chaque fois contre moi. Je l'entendait respirer fortement dans mon oreille, elle m'embrasser constamment la joue tendit que gémissait dans la voiture. Plus elle y allait doucement plus je devenais affreusement frustrer car j'en voulais plus de sa part. Je ne ressentais pas assez de plaisir même en la forcement à y aller plus violement en mettant mes pied sur ses fesses pendant ses mouvements.

Puis elle vint coller son front contre le mien. Je voyais ses belle pupilles verte me regarder dans les yeux, pendant que nous respirions dans le silence de la voiture. Elle décala ma jambe gauche, je la vit descendre un peu plus son jean mais pas assez pour le retirer. Et toujours habiller, elle prit son pénis dans sa main qu'elle regardait en dessous d'elle pour le positionner devant mon entre jambe.

J'étais un peu angoisser à l'idée qu'une telle chose puisse rentrer la dedans. Que cela puisse être désagréable et puisse faire mal, provoqué de la douleur comme elle me l'avais dit dans le chalet. Hillary remarqua mon malaise car elle revînt aussitôt vers moi en déposant un baiser sur ma joue.

"Je ne ferais jamais quelque chose dont tu n'a pas envie."

Elle me baisa le front et j'hocha la tête car je lui faisait confiance. Elle remonta sa main avant de mettre deux doigts dans sa bouche pour ensuite les faire redescendre. Je ressera un peu plus les jambes autour d'elle. Ses doigts descendirent vers l'endroit qu'elle voulait tant pénétré et elle les fit rentré en me fixant droit dans les yeux.

Je me braqua de douleur, me resserrant contre ses deux doigts. Mais sa ne l'empêchait pas de les retirer pour les faire rentrer de nouveau à l'intérieur. Ce n'étais pas désagréable mais je ne ressentais pourtant pas le moindre plaisir.

"Oh, ça viendras." Dit elle.

Je sentis son pénis à l'entrée de mon vagin qu'elle commençait à enfoncer. J'ouvris grand la bouche. Elle me regardait et surveillait la moindre de mes expression set quand elle me voyais grimacer de douleur, elle se retirait aussitôt avant de recommencer. Plus elle me pénétrait, plus je finassait par être plus relaxer. Je la sentais glisser à l'intérieur de moi avant de ressortir et avant même que je le remarque je m'était détendue et je suivait ses mouvement de vas et vient entre mes jambes en collant mon bassin contre elle. Nous y allions doucement et calmement et plus elle entrait entièrement plus j'avais du mal à garder mes gémissement pour moi même. Je commençais à me sentir vraiment toute drôle. C'étais comme être parcourue par de l'électricité tout le long de notre corps. Une électricité qui finit par me faire accrocher à elle la forçant même et s'étaler sur moi pour qu'il n'y est un plus de distance entre elle et moi. Pendant qu'elle me faisait l'amour je regarder la fenêtre du plafond de la voiture et je voyais les étoiles dans le ciel noir. Quand Hillary y allait moins gentiment, je les voyaient vibrer voir tournoyaient. Je savais bien que c'étais moi qui perdait la tête.

Ma gouvernante finit par devenir de plus en plus insistant et je l'entendais gémir au dessus de moi. Elle y allait de plus en plus vite un peu plus profondément à chaque fois me donnant des coup de rein frôlant presque la douleur. Elle me faisait ressentir des sensations que je m'imaginais pas.

Elle se redressa et appuia sa main gauche sur la vitre au dessus de moi en jurant.

"Putain !"

Elle transpirait et avait des goûtes d'eau sur son front. Une expression d'épuisement et était inscrit sur son visage. L'autre main sur ma joue, je l'entendait me dire à quel point c'étais bon et qu'elle n'en pouvait plus. Mes doigt s'agrippait à ses fesses, j'avais du mal à être lucide tellement je gémissait de plaisir.

Et soudain, la chaleur augmenta tellement que je ne respirais même plus. C'étais comme agoniser, être sans oxygène pendant qu'Hillary me baisait. Je savais très bien ce qui était coincé dans ma gorge mais, j'avais beau gémir, cela ne sortait pas. Elle me rendait complètement folle et ont entendait sa peau claqué contre la mienne à chaque pénétration.

C'est quand je vit Hillary trembler de plaisir que je jouit immédiatement en criant. Je me redressa et l'attrapa aussitôt dans mes bras avant qu'un immense vent violet traverse toute la voiture et rendent les phares, le klaxon et une petite boite de musique complètement fou.

E.M