CHAPITRE IV

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Tao se figea instantanément. Il s'était préparé à tout sauf à ça. Son meilleur ami était entrain de l'embrasser comme aucune femme ne l'avait fait auparavant et il aurait bien souhaiter réfléchir au pourquoi du comment mais son ventre était bizarrement envahie par des papillons volabt en tout sens. Le blond cligna une première fois des yeux. Son coeur cognait si fort en lui qu'il était presque sur que Kris l'entendait. Il frissona de plaisir. C'était si doux, si chaud, si humide. Ses lèvres se mouvèrent contre celle du plus vieux. Leurs baisé prit enfin forme et Kris osa poser une de ses mains sur le bassin de Tao. Ils ne voulaient pas arrêter. Ils ne voulaient pas penser au conséquence de leurs acte. Tao allait-il mettre un point définitif à leur amitié à cause des sentiments évident de Kris ?

Ce fût le plus vieux qui finit par reculé légèrement la tête. Ils étaient encore assez proche pour que Tao sente le souffle chaud du grand blond s'échoué sur ses lèvres et toujours sans comprendre, ça l'excitait vraiment.

Kris quand à lui, ne savait que faire. Aucun ne bougeait depuis de longue minutes comme s'ils étaient paralysé ou bien que s'ils osaient casser le rythme, rien de leur relation ne pourrait être réparé. Il leva enfin les yeux vers Tao et vu. Il vu dans son regard que ce dernier ne comprenait rien, il vu qu'il l'avait blessé, il vu qu'il n'avait plus aucune chance. Il le lâcha presque trop brusquement et sorti des toilettes.

Assit dans sa voiture de sport, Kris frappait ses mains et sa tête successivement contre le volant. Il avait embrassé Tao et il avait horriblement aimé ça. Comment allait-il se passer de leur saveur fruité à l'avenir ? Et comment oublié la réponse si douce et délicate du plus jeune. Parce qu'il avait répondu.. et il ne l'avait pas repoussé.

Tao était collé au mur depuis au minimum 10 minutes. Son cerveau fonctionnait à tout allure mais il avait l'impression d'être vide. Une nausée le prit et il entra précipitamment dans une cabine pour se pencher au dessus de la cuvette mais rien ne sortit. Dépité, il retourna au buffet, attrapa un verre d'eau et le porta à ses lèvres. Après réflexion il troqua son verre contre un rempli de vin et aspira les longues gorgée brûlante. Il voulait oublié.

Un étage en dessous, Kris démarrait enfin après avoir reprit un semblant de calme et rentra chez lui. Il avait besoin de repos et surtout de ne plus jamais voir Tao. Le pauvre avait dut être traumatisé pour le plus vieux. Le blond hurla sa peine couvert par la feraille de sa bagnole. Il avait osé s'en prendre à son Tao, son panda, son ami.

Au coin de ses yeux des perles brillaient.

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