capitolo nove

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"-Cela fait combien de temp que tu m'observe dis-moi.
-eh bien depuis que Laetitia et apparûe"

Après avoir dit ses mots, cette dernière s'approcha lentement de moi, comme si elle avait peur que n'importe quel geste brusque venant de sa part m'effrayerais où me briserais.
"- tu étais avec moi dans cette endroit morbide." Cela sonnait plus comme une affirmation qu'une interrogation.
"-pourquoi cette question?" Répondis t-elle.
"-ccrois-tu que quelqu'un ai pu user de magie ?"

Avant de répondre à ma question, elle me fixa un moment. Comme si elle essayait de sonder tout mon être.

"-ça peut tenir la route."

Je pense que toutes les personnes qui vivent ici, n'ont pas forcément envie de m'en dire plus.

Mais ils me cachent quelque chose je le sens.

"-bon sa te dirais qu'on aille manger? J'ai une faim de loup !

-oui bien sûr, mais que va t'on manger ?

-ne t'inquiète pas nous trouverons bien quelque chose à manger dans le frigo !

-très bien. »

Après avoir fini de dialoguer avec Lylia, nous sommes allées dans la cuisine, oui avec entourer que de ma serviette.
Que vous me croyez ou non cette endroit est vraiment gigantesque !

Je ne retrouverais sûrement jamais le chemin toute seule,

Du moins pour l'instant. Je ne connais rien d'ici et je compte bien y remédier.

Avec Lylia nous avions finit de manger, j'avais comme l'impression qu'elle ne voulait pas me laisser seule,

Pourquoi ? Je ne saurais vous le dire.

"-tu m'écoute?
-hein ha... heu oui tu disais ?
-tu étais dans la lune. Ne fait pas attention à Laëtitia, cest une femme en proie au pouvoir.
-d'ailleurs que sest-il passé avant."

C'est sur ma dernière parole qu'elle me regarda d'un air perdu et pensif.

Elle plissa ses yeux et entrepris de m'expliquer les choses.

"-c'est assez compliqué enfaite...un jour ou l'autre tu le saura de toute façon.
-justement pourquoi ce jour-là ne peut pas être aujourd'hui ?
-parce que tu viens de te réveiller et tu as besoin de calme et de repos et non de petites messe basses qui ne servent à rien.
-Alors pourquoi cela peut être compliqué à expliquer ?
-ma parole tu es quelqu'un de plutôt têtu !
-je sais. Quand je veux savoir quelque chose et que l'on ne me le dit pas je ne lâche pas le morceau jusqu'à ce que je sois au courant.
-je l'ai bien compris tu es quelqu'un de persistante, cela pourrait te causée des problèmes un jour.
-pour l'instant je n'en ai pas donc j'en conclue par moi-même que cela ne peut pas être forcément vrai.
-peut-être dans la vrais vie quand tu travailles tu peux le voir comme cela, mais ici ? Tu ne pourras pas ce monde-là est bien trop compliquer pour que tu apprennes à le connaître en un seul jour.
-croie moi je connais beaucoup plus de chose que tu ne le croies."

Ce qui est sûr c'est que je ne compte pas m'arrêter là, je veux des réponses, je veux entendre quelqu'un me les dires, un jour ou l'autre se qu'il se passe dans cette maison.

On se redressa toute les deux et monta les marches de l'escalier... Car je porte toujours cette serviette autour de moi.

Jentrais dans la chambre et prit la robe blanche dans mes mains.

Une fois fait, Lylia se retourna et je me changeais dans un silence apaisant.

Je me suis retournée pour voir mon reflet dans le miroir, de la coiffeuse. Mon reflet me plait nettement mieux qu'avant.

Je me suis retournée une deuxième fois pour observer Lylia.

C'est une belle blonde.

Elle a de grand yeux noisette et une bouche pulpeuse. Sans oublier un teint assez hâlée.

Je m'avance vers elle, pour qu'elle puisse comprendre que j'aimerais sortir, ce que nous fûmes. Puis elle m'emmena jusqu'au salon.

D'où je suis assise, face à une baie vitrée, je ne fais que regarder la verdure qu'est la forêt. Une forêt très calme, trop même.

Il n'y a vraiment aucun bruit qui n'en sort comme si cette forêt attendait que j'aille la découvrir.

Cette forêt vous tente jusqu'à vous brûler la langue tellement la tentation est grande, j'y jetterais un coup d'œil après, si personne ne me voit sortir bien entendus, je ne sais pas si j'en ai le droit.

Je ne veux et n'accepte pas qu'on me suive à chaque fait et geste, cela me donne l'impression d'être une enfant, alors que je suis bien grande maintenant.

Je la laissai dans la pièce avec seul prétexte que je devais aller au toilette.

Cela dit ce n'est pas totalement faut. Cette forêt me tente beaucoup trop. Je n'apprécie pas la tentation, je vais donc aller voir ce qu'il se passe à l'intérieur.

Je me trouvais dans la salle de bain et vie au loin près ou du moins au-dessus de la baignoire une fenêtre, assez petite mais je pourrais y passer, je suis assez fine pour pouvoir passer à travers une porte alors pourquoi ne pas tenter la fenêtre ?
-pfff sucidaire jusqu'au bout-

Je me mis debout sur le rebord de la baignoire en essayant d'atteindre la poignets de la fenêtre, mais bien sûr avec ma petite taille je n'y arriverais sûrement pas, j'ai pris le risque et ai sauter pour atteindre cette foutus poignets, et comme vous le savez je suis quelqu'un de très mais très adroite et je me suis retrouvé sur le sol de la salle de bain avec mes pieds dans la baignoire. Cela dit ne rigolez pas parce qu'en attendant j'ai réussi à ouvrir la fenêtre, il ne me reste plus qu'à passer par la fenêtre et je me retrouverais enfin devant cette immense forêt.

Une fois fait, je me trouve maintenant face à celle-ci. Elle m'avait tellement attirée que j'en ai oublié le temps, le ciel est bleu nuit, recouvert d'étoiles toutes plus belles les unes que les autres. Je ne vois presque plus rien, pour cause le voile sombre que le ciel dégage. Je pense aussi avoir marché sans même savoir où j'allais et sans m'en rendre compte. Mes jambes avaient décidé de se diriger complètement dans le fin fond de la forêt. Conclusion, je suis perdue.

Je me décidais alors à marcher tout droit, quelqu'un arrivera déjà pour me ramener dans ce chalet de rêve.

J'avançais et plus j'avançais plus j'avais l'impression d'être suivie, observée et surtout j'avais l'impression d'être dans la peau d'une proie.

Je me décidais alors à me tourner je regardais l'arbre derrière lequel il se trouvait un boucan pas possible,

"-il y a quelqu'un?"

Idiote me direz-vous ? Et bin oui très idiote, deux minutes après avoir parlé, j'ai cru apercevoir quelqu'un venir en ma direction.

L'alpha Et Son Humaine . Où les histoires vivent. Découvrez maintenant