capitolo otto

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Serviette enroulée autour de ma taille j'étais prête à sortir me rendant compte d'avoir oubliée la brosse à cheveux en haut.

Quand j'entendis des voix.

Ce n'était pas très compréhensible, mais j'en avais perçu quelques mots ;

"-elle.... Depuis... longtemps ?
-je l'ai trouvée chez lui. Cela faisait un moment.
-tais-toi et... moins fort..écoute."

Vous ne trouvez pas ça bizarre que je me souvienne de ma sœur Dalia, de mon enfance mais que je ne me souviens pas de ce qu'il c'est passer hier.

Je viens d'y penser imaginons que quelqu'un ai usé de magie, pour que je ne me souvienne pas de ce qu'il s'est passé ? Se serait plutôt plausible.

J'avais l'oreille droite collée à la porte pour essayer de mieux comprendre leur discussion. Malheureusement rien ni fais, je ne comprenais toujours que quelques bouts de phrases incompréhensible pour ma pars.

Puis plus aucuns mots n'étaient sortis de leurs bouches. Comme sils s'étaient arrêtés de parler.

Soudainement sans y faire attention la porte s'ouvrit. Et je me trouvais nez à nez avec Wesley.

Ce dernier me regardait sévèrement comme s'il s'avait que j'étais derrière cette porte depuis un petit moment.

"-qu'as-tu entendue?
-rien de spéciale pourquoi ?"

J'essayais de paraître normale. Vous savez avec ce petit air moqueur que tout le monde a quand ont entends quelque chose mais que nous ne voulons pas en parler.

"-Hanna. Je ne me répète pas deux fois. Qu'as-tu entendu ?
-rien. Pourquoi cela vous importe tant. Décidement tout le monde connaît mon prénom ici."

Il ne releva pas ma dernière phrase et me poussa jusqu'au mur qui se trouvait derrière moi.

J'étais bloqué entre le mur et cet homme.

Il croyait vraiment que j'allais lui dire ce que j'ai entendue, alors que pour moi la moitié de ce qu'ils se disaientt paraissait incompréhensible ?

"-Hanna."

Il n'a pas  fini sa phrase car une femme est apparue.

"-mon amour! Je te cherchais."
Pour simple réaction, il a mit sa tête dans mon coup et a inspirer une grosse quantité d'air... comme pour lui donner du courage

Elle avait dit ceci en me regardant de haute en bas, et mis ses mains sur monsieur muscle que je ne comprends vraiment plus, un coup il s'énerve, redeviens calme s'énerve à nouveau.

Woua où ais-je donc atterrie ?

Il la regarda, me regarda. Du moins un instant, et fixa la serviette que j'avais autour de mon Corp...

Est-il pervers ?

Ho bon dieux je savais que je suis tombé chez des fous. Ce nest pas possible.

Il ne fit pas attention à la femme qui lui avait adressée quelques paroles. S'avança jusqu'à ce que je sente son souffle sur mon oreille.

" Est-ce que c'est ma serviette que je vois sur toi?"

Après avoir dit ceci, il repartie comme si de rien n'était en embarquant avec lui la jeune femme.

Je restais collée au mur pendant un petit moment, avant de réagir à ses paroles. Je me dirigeai alors devant le miroir en ayant les yeux grand ouvert et regarda la serviette que je portais.

C'est qu'en y regardant mieux et de plus près, ça avait tout l'air d'une serviette d'homme.

Bleu nuit avec des voitures. Jai dit homme ? Je voulais dire enfant excusez moi .

Je relevais les yeux et regardais mon visage, on y voyait beaucoup mieux après avoir pris une bonne douche chaude, j'ai de grand yeux aigue-Marine. Et mes cheveux sont presque sec, c'est un petit avantage d'avoir les cheveux court.

Je tournais la tête et vis à l'encadrement de porte Lylia.

L'alpha Et Son Humaine . Où les histoires vivent. Découvrez maintenant