5) Undertaker, une vie de mort

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Adrian Crevan, née le 4 Avril en -2536 avant J.C., et est mort le 14 Mai -2570 avant J.C:

"Mon nom est Adrian. Adrian Crevan. Je suis je suis née, comme on l'appel aujourd'hui, en Angleterre. J'ai eu une vie plutôt normal, mais, au fond de moi, je n'ai jamais été comme les autres. Toute ma vie, quelque chose n'a cesser de m'intriguer et de me passionné, quelque au quel nous sommes tous commandé, mais pourtant, nous semblons tout en ignorez. C'est la mort. J'ai vu la mort de mes propres yeux emportez ma mère, a 10, c'est a partir de se jour ou je me suis intéressé a elle. Elle peut surgir et emporter n'importe qui n'importe quand, même les plus grand guerrier, même le nouveaux née. Elle est froide et sans pitié et vous prive de tous ceux que vous aimez, petit a petit, et personne ne peut rien n'y faire. On essaye de lutter contre, de la retarder, mais on sais qu'on a beau faire tout pour l'évité, elle viendra forcément, sans exception, frapper a notre porte. Elle m'a tellement passionné que je me suis mis a trouver les être mort plus intéressant que les vivant. Au file des années, je me suis isolé, coupé du monde, pour consacrer ma vie pour elle. Tout mon entourage se mis a me rejeté et a me trouver bizarre, mais je m'en moqué, il n'étais plus rien pour moi. Pourtant, une seul et unique personne continua a venir venir me voir, malgré mes pratiques repoussantes. Elle s'appelait Lily. C'était mon amis d'enfance, et toujours mon amis, d'ailleurs. Elle refusait de me laisser tombé, malgré mes gouts particulier. Puis, un jour, elle me dit:

- Adrian, bon sang! Qu'est ce que ses cadavres on de plus que nous, ta famille?! Pourquoi t'isole tu ainsi?! Pourquoi me rejette tu?!

Je soupir et lui répond:

- Ne comprend donc pas, toi, mon ami? Dis-je en prenant avec moi et en lui montrant le cadavre d'une femme. N'est-elle donc pas magnifique? Cette peau parfaitement blanche, et cette bouche qui, désormais, ne pourras plus jamais dire de grossièreté ni de mensonge?

- Alors quoi, tu préférerais que je sois morte, c'est sa?! Et puis, un cadavre, sa ne parle pas! Et sa fini par se décomposer, aussi!

- Tu sais, je ne t'ai jamais forcé a rester a mes côtés, Lily.

- Je sais, mais malgré se que tu peut bien aimer ou non, je reste ton ami, et j'aimerais avoir, ne serais-ce qu'un peut de reconnaissance!

- De la reconnaissance pour quoi?

- Mais pour être a tes côtés alors que tout le monde te tourne le dos, de continuer a croire en toi alors que plus personne ne le fait, d'essayer de te faire voir autre chose que des cadavres!

- Je ne t'ai jamais rien demander, tu sais?

- Tu es vraiment idiot! Dit-elle au bord des larmes. Tu ne comprend donc pas se qui t'arriverais si je te laisser seul? Les sacrifices que je fait pour toi?!

- De quoi tu parle?

- Rahhh, mais c'est pas vrai! Si je te laisse ici, seul enfermé dans ta maison, tu deviendra fou a force vivre avec des cadavres! Et les gens, ils savent que je continue a te fréquenté, donc il me trouve aussi bizarre et moi aussi, petit a petit, je me retrouve toute seul! Adrian, essaye de comprendre! Fait un effort, s'il te plait...

Mais, malgré cette discutions, j'ai continué a ne m'intéresser qu'aux cadavre plus qu'à elle, mais pourtant, elle continuait régulièrement de venir me voir. Et, a force d'étudié la mort et tout se qui l'a touché, je fini par devenir quasiment incollable, tellement qu'il ne me restait plus qu'une seul chose a faire pour en apprendre plus: vivre ma propre mort. Toute mes théorie sur se qui se passé après le mort, il fallait que je les confirme. Il fallait que je choisisse ma mort, et j'ai décidé une mort lente pour mieux la voir arrivé. Il y avait un pont dans le village, qui passait au dessus d'un profond fleuve. J'ai décidé de mourir par la noyade. Je suis alors monter sur le rebord du pont et est regarder l'eau profonde en dessous de mes pieds. C'est ici que j'allais mourir. Mais avant de sauter, je regarde le village autour de moi: c'est l'aube, il est encore endormis. Je sourie en pensant a Lily, qui n'habite pas loin d'ici. Puis je saute et me laisse couler. Puis je continue de penser a elle: je me dit, que sans moi, elle auras un fardeaux de moins, elle n'auras plus a se sacrifié pour moi et pourras se consacrer pleinement a sa vie. C'est une jolie jeune fille, elle n'aura pas de mal a trouver un marie qui l'aimera et ainsi fondé une famille. J'ai atteint le fond de la rivière: je me vide petit a petit de mon oxygène et de mon énergie. Se n'est pas très agréable, mais je sens la mort m'emporter petit a petit. Avant de fermer les yeux, je regarde a travers l'eau le soleil en train de se lever avant de les fermer définitivement."

Black Butler - Lanterne CinématiqueOù les histoires vivent. Découvrez maintenant