3) William T Spears, le brisé

308 18 12
                                    

Pour commencer, aller a la fin de l'histoire, j'ai mis une musique pour accompagner votre lecture! ;-)

William T Spears, ne le 23 Novembre 1753 et mort le 6 Février 1753.

"Je suis William T Spears. Je suis... Un homme normal. J'ai eu une vie plutôt basique. Je suis le fils unique d'Irène et Maximilien T Spears. A mes 12 ans, mon père nous a abandonné, ma mère et moi. J'étais brisé, il nous a traiter comme de vulgaire déchet. Le plus dur pour moi a étais de voir ma mère pleurer. Consoler une personnes n'a jamais fait partie de mes talents, c'est pour cela qu'en plus de me sentir abandonné, je devais supporter de me sentir impuissant pour réconforter ma mère. Je le détestais de toute mon âme, en me disant que, si il avait le culot de se pointer après nous avoir infligé cette abandon, je l'enverrais valser. Sinon j'ai toujours étais d'un naturel solitaire et sérieux, on me l'a souvent reprocher d'ailleurs. Je ne montre que rarement mes sentiments au autres, pas même a ma mère. Je me suis concentré sur mes études, mais... J'avais beau y mettre toute la volonté du monde, je ne suis jamais arrivé a obtenir des notes a la autres de mon exigence. Je n'ai donc pas eu de très longue étude, contrairement a se que je souhaitais, mais j'ai toujours aimé apprendre et lire. Mon boulot étais bien payer, mais sans gros excès. Puis, un jour, la foudre m'a frappé: je suis tomber amoureux. Elle s'appelais Anita. C'est la plus belle femme que j'ai jamais vue: de long cheveux brin, de magnifique yeux bleu ciel, la peau parfaitement blanche et un sourire éclatant comme un soleil. Au début, j'étais désorienté, je ne savais pourquoi je n'arrivais pas a détourner mon regard de son visage d'ange. Elle travaillait dans une papeterie juste en face du bureaux dans le quel je travaillais. J'ai mis plusieurs jour a comprendre qu'il s'agissait bien d'amour, plusieurs autre pour trouver le courage d'aller lui parler. Mais jamais, non jamais je n'ais regretté la gamelle magistrale que je me suis prise sous ses yeux alors que je voulait lui parler pour la première fois. C'étais un plein milieux de la rue, il y avait du verglas et j'étais tellement obnubilé par sa présence que je n'avait pas fait attention ou j'avais mis les pieds et... Vous connaissez la suite. Tout le monde se moquais de moi, j'étais couvert de honte, mais elle, au lieu de se moquer comme les autres, elle est venue me demande si j'allais bien. Je lui ais répondue que j'avais très mal a la cheville, puis elle m'a emmené chez elle. D'un côté, j'étais terriblement gêné de m'être ridiculiser devant celle que j'aime, mais d'un autres côté, j'étais content d'avoir réussis a attiré son attention et d'être chez elle. Pendant qu'elle me soignais, nous avons commencer a discuter et nous nous sommes trouver pas mal de point commun: nous aimions lire, apprendre et nous étions tout les deux... Très maladroit. On a continué de se voir, puis nous sommes devenue ami. Mais c'étais bien plus que de l'amitié. Un jour, j'ai réussis grâce a, je ne sais qu'elle miracle, a lui avouer mes sentiments. Elle est les accepter nous sommes sortie ensemble puis nous nous sommes marié. Avec elle, j'étais comblé: elle étais la seul personne a qui je pouvais me confier, la seul a m'avoir aimais comme jamais on m'avais aimer au par-avant. On avait les même centres d'intérêts, nous étions fait l'un pour l'autre. Un jour, nous avons eu un enfant, un garçon, nommé Elio. Au début, se n'étais pas facile, les enfants n'on jamais étais mon domaine. Je travaillais beaucoup mais dès que j'avais du temps libre, je jouais avec mon fils. Malgré tout les efforts que je fessait pour être a ses côté, j'avais l'impression d'être absent, l'impression d'être un mauvais père. J'avais peur de devenir comme mon propre père. Mais un jour, lorsque je suis rentrer du travaille, quand il avait 5 ans, il est venue m'offrir un dessin de lui et moi. S'a ma tellement touché de voir que, contrairement a se que je pensais, il m'aimait et que je n'étais pas un si mauvais père, que je l'ais serré dans mes bras avant de l'embrasser sur la joue. "Je t'aime papa!" m'a t-il alors dit. Je n'ais pu retenir mes larmes. "J-Je suis un bon père..." Me suis-je alors dit. Puis il m'a dit:

- Pourquoi tu pleure, papa? Tu es triste?

- Ce n'est rien mon garçon, ne t'en fait pas, je ne suis pas triste.

Black Butler - Lanterne CinématiqueOù les histoires vivent. Découvrez maintenant