Une Découverte Inimaginable

XVI] Bataille

(PDV Ethan)

Je me réveillais aux côtés de ma princesse. La soirée d'hier et cette nuit ont été...merveilleuse. Je suis enfin passé à l'acte avec Estère et je l'ai enfin revendiqué. Elle m'a changé, véritablement en bien. Avant, je ne savais pas ce qu'était l'amour, les sentiments d'aimer et d'être aimé. Je ne connaissais pas et je regrette de ne pas avoir sentis ce sentiments avant. Mais ce que je ne regrette pas, c'est d'avoir connus cette émotion pour la première fois avec Estère.
Ma princesse resserra son emprise sur moi, c'est à dire qu'elle avait mis sa tête sur mon torse, ses bras étaient autour de ma taille et ses jambes étaient entremêlées aux miennes. Dans son sommeil, elle gigotait légèrement mais souriait. Grâce à la revendication, le lien est plus fort. Je peux entendre ses pensées et je ressens ses sentiments comme ci c'était les miens. J'adore cette sensation, d'être lié à la femme de ma vie à tout jamais.
Je mis ma tête dans le cou d'Estère pour pouvoir la sentir et constatais avec grand plaisir qu'elle portait mon odeur. Je lui fis des petits bisous comme elle aime, ce qui la réveilla avec un grand sourire sur sa petite bouille toute mignonne.

_Bonjour princesse.
_Bonjour mon prince.

Je souris sur ce surnom et l'embrassa passionnément. Elle répondit rapidement à mon baiser mais se détacha trop rapidement à mon goût pour se lever. Elle prit bien sûr un drap pour se couvrir de sa nudité donc je grognais. Elle se retourna et fronçait les sourcils, surprise de mon intervention.

_Ne te cache pas devant moi, je te l'ai déjà dis. Enlève moi se draps.

Elle souriait et je savais que sa réponse n'allait pas me plaire.

_Non. Dit-elle tout simplement.

Je me levais en vitesse grand V mais quant elle comprit que j'allais l'attraper, elle courra jusqu'à la salle de bain. J'étais à deux doigts de l'attraper mais elle s'enferme dans la salle de bain. Manque de peau pour elle, j'eus le réflexe de mettre mon pied juste avant qu'elle ne ferme la porte. Elle essayait de la fermer en poussant dessus tout en rigolant, ce qui ne donna pas un grand exploit. Je fais une simple pression et elle lâcha prise. La porte s'ouvrit mais elle recula dans un coin de la pièce, toujours morte de rire. Elle était pliée en deux et moi je la regardais amoureusement, c'est une vraie beauté. Je la pris dans mes bras et la porte sur mon épaule, mode sac à patate. Elle est hyper légère. Je la ramenais dans la chambre et la balança sur le lit, où elle rebondit dessus. Elle rigolait toujours. Je me mis au dessus d'elle, à califourchon. Je pris ses bras et les mis au dessus de sa tête. Là elle ne rigolait plus mais gloussait. Elle avait néanmoins toujours son petit sourire moqueur au coin des lèvres.

_Pardon? Dis-je pour lui faire croire que je n'avais pas compris ce qu'elle avait dit.

_J'ai dit , NON! Dit-elle toujours avec ce sourire. Je ne sais pas si je vais pouvoir me retenir si elle continue cette magnifique bouille.

_Tu es sûre de toi?

Elle hochait la tête pour réponse et donc à mon tour j'esquissais un petit sourire moqueur. Je tenais maintenant ses poignets d'une main et de l'autre je commençais à la chatouiller. Elle commença à rire fortement mais la voyant qu'elle n'en pouvait plus, j'arrêtais. En se tortillant dans tous les sens, le drap avait légèrement descendu mais laissait quand même voir la naissance de ses seins. Je sentis mon sexe commencer faire son apparition non pas pour me déplaire. Toutes fois, tellement il était dur et tendu, sa me faisait mal. Et Estère dut le remarquer à cause de ma grimace. Elle explosa de rire, tellement qu'elle en pleura.

_ Ce n'est pas drôle. Ralais je

Elle explosa de rire encore plus et je me mis à rigoler avec elle. Quelques instants après, on se calma puis elle me poussa pour pouvoir se lever. Je grognais, ne voulant pas qu'elle me quitte. Pourtant, je la laissais faire.
Elle alla dans le dressing se choisir des vêtements puis alla prendre une douche. Je décidais de la laisser tranquille une petite demie heure car après l'annonce que je vais lui faire, elle va être stressée et invivable. Je commençais sinon à m'endormir, n'ayant pas eu beaucoup d'heure de sommeil après cette nuit agitée...