La Boîte De Pandore. (Terminée)

chapitre 17

Suite

Un beau jour, alors que je travaillais, j'ai entendu parler des facultés , des universités des écoles où l'on pouvait apprendre des choses ou approfondir nos connaissances.

J'étais très excité par tout cela, je voulais savoir ce que c'était, es ce que cela ressemblait aux cours vampirines ou pas. Je voulais un moyen de comparaison, par dessus tout, je voulais apprendre, m'instruire toujours plus. Et cela me rendait heureux.

Après mettre suffisamment renseigné je mettais inscrit dans une université pour être professeur d'histoire, elle m'avait être dans celle ci. C'est là que je la rencontra de nouveau.
Cette fois, on se lia d'amitié, elle s'appelait Christelle Reinach, c'etait une sublime femme, elle était chercheuse. C'est seulement après deux mois passés avec elle que j'appris qu'elle essayait de trouver les trous noirs.
C'etait la première fois que j'entendais un humain parler des mondes parallèles. Elle en savait drôlement assez. À chaque fois que nous avions du temps, nous essayions de se voir, de se parler. Je voulais voir la lueur dans ces yeux quand elle parlait de ses recherches, de ses progrès. Elle y croyait dure comme fer.

Et un jour, ce que je craignais arriva, alors qu'elle m'avait simplement effleurer les lèvres. Mon envie d'elle me monta, et sans réfléchir j'avais posé mes crocs dans le creux de son cou.

Elle avait poussé un cris de douleur et de surprise qui m'avais fait prendre conscience que je venais de faire une bêtise.
Je m'étais reculé rapidement toujours sous le choc de mon acte.
- tu es un vampire ?
- non du tout ! Je ne crois pas aux vampires.
- tu m'as écouté, tu as trouvé mes recherches intéressantes, tu viens de me mordre et tu dis ne pas être un vampire. Qui es tu alors ? Tu es un vampire j'en suis persuadé proclama t' elle une lueur malicieuse dans son regard.

- si j'en étais un tu ferais quoi ?
- mais c'est super !

J'avoue que cela m'avais surpris, je ne m'attendais pas à cette réponse. Je croyais qu'elle m'aurait crier espèces de monstre. J'étais tellement content que je l'embrassait avec beaucoup de fougue me retenant de la mordre de nouveau sans pourtant y parvenir. Cela semblait au dessus de mes forces.

Puisqu'elle m'avait répondu que cela ne changeait rien au faite qu'elle était éprise de moi, nous avions décidé de vivre ensemble.

Quelque temps après, elle tomba enceinte, je lui proposait de venir dans le monde des vampires. Et elle accepta avec plaisir.
Cependant, mes parents ne voulaient pas d'une humaine comme femme pour leur fils. Ta mère accoucha, elle était très fatiguée, elle resta enfermée des jours dans la maison et un jour, alors qu'elle allait enfin mieux, elle disparu le soir venu.
Il y avait juste un mot qui disait:

" je suis désolée, mais je dois partir, ne me cherche pas, tu ne me trouveras pas cependant, un jour promis je reviendrai !"

Voilà tout ce qui me restait de la femme que j'aimais, juste un mot. Et bien sûr, toi Aïna, tu es mon trésor, ma vie, je t'aime encore plus que je l'ai aimé. Tu as grandis, tu te posais des questions sur elle, mais peu de temps après, tu n'en a plus parler. Je me suis alors dit que cela ne servait à rien de réveiller des mauvais souvenirs et puis j'avais peur que tu pense que ta mère t'avais abandonné parce que ce serait faux. Ta mère n'a pas supporter l'atmosphère de ce monde, elle disait que ça dégageait une odeur bestiale et qu'elle se sentait en constant dangers mais elle voulait tout supporter pour t'avoir. Elle était faible mais tu comptais plus que tout.

- donc maman n'est pas morte ?

- non je ne crois pas mais cela fait 17 ans que je ne l'ai pas revue et pour les humains en dix sept ans beaucoup de choses peuvent se passer et la mort les guettent constamment.

- je comprendrais que tu aïs envie de la voir. Je suis désolé de te l'avoir caché depuis toute ces années.

- ma mère est une humaine, donc je suis une moitié humaine et moitié vampire ?

- oui ma chérie !

Tout ce récit était véridique mais c'etait la version du père. La mère en avait une autre différent. Et la véritable histoire sans point de vue, exactement comme elle était, était elle aussi différente des deux autres. Un même récit raconté trois fois peut changer du tout au tout.
La preuve...

***
Si je me souviens bien, Naël avait parlé d'une idée, un stratagème, une solution qui lui permettrait de vivre sans problème son histoire d'amour avec, Aïna. Je paris que vous ne vous doutez pas de la solution à laquelle, il pense. Et bien, c'est très simple, il suffit de revenir quelques chapitres avant, je crois l'avoir laisser sous entendre. Inutile d'aller chercher aussi loin, je vous la donne.
Vous vous souvenez, au monde magique pendant que Naël essayait par tout les moyens de battre Line jusqu'au point d'obtenir le sort ultime, un sort réservé aux personnes ayant atteint et surpassé la magie initiale. Cependant, il n'était pas le seul, le sage Fidèle avait prétendu qu'avant lui, une certaine personne avait réussit à atteindre ce sort tant convoité. Mais, ce qu'il avait omis de dire, c'est que cette personne avait formulé son vœu. Son vœu consistait à vouloir un monde nouveau, qui n'existait pas encore. Cette dernière voulait créer son propre monde en y soumettant ces idées de ce qui était vraiment sa conception du monde parfait.

Depuis cet instant quelque chose avait changé dans la vie de Naël, il voulait à tout pris voir cette personne enfin d'être sûr qu'il pouvait bel et bien obtenir la vie qu'il espérait.

Mais ce qu'il ne savait pas encore, c'est que comme toute chose, il fallait une contre- partie, équivalent à la demande ou à son souhait. Ce sentait il vraiment prêt à tout pour cela ? Voulait il risquer de tout perdre uniquement pour cela ? Il n'en avait franchement pas conscience mais il était persuadé qu'il fallait simplement y croire comme il l'avait déjà fait pour arriver là. Seulement les choses étaient différentes, très différentes.