Un amour impossible (Terminée) En Correction Et Réécriture

Chapitre 2

Le petit groupe avançait joyeusement en discutant, tandis qu'un autre était en arrière, réfléchissant à la proposition d'une certaine personne. Alexander pensait : devrait-il accepter ? Devrait-il refuser ? Pourquoi a-t-il l'impression que cette demande semble erronée ? Qui pourrait être intéressé par lui ? Les questions se créées sans qu'il soit capable de le contrôler, sans qu'il puisse répondre. Puisque toute sa vie n'a été transformée que par ses leçons et non par sa situation amoureuse, son idée d'accepter le rendez-vous avec Magnus semble donc être irréaliste et impossible. Izzy, qui a vu le visage d'Alec se baisser, a décidé de ralentir et d'être à côté de son frère aîné.

« —Je pense que nous avons une discussion à finir mon cher frère. Commence sournoisement Izzy, ce qui ne plaisait pas à l'aîné de la patrie. Tu connais les sentiments de Magnus.

—S'il te plaît, je ne veux pas en parler, pas maintenant. Souffle le jeune homme, émerveillé par la persistance d'Isabelle.

—Accepte ce rendez-vous qu'il te donne, vous pouvez sortir, profiter du beau temps qu'il fait actuellement, et seul Raziel sait qu'à New York, le beau temps est rare ici. S'exclame Isa en bloquant le passage d'Alec pour l'empêcher de marcher plus loin.

—Laisse-moi ... je ne veux pas en parler. Murmure faiblement le jeune homme, ne voulant pas relâcher sa colère de sa sœur. »

^Comme elle connaît mes sentiments à propos de Magnus, je ne peux pas respirer à cause de ça. Surtout maintenant qu'il m'a offert un rendez-vous que Clary, inévitablement à dit à Izzy, j'ai la sensation atroce d'être dans un trou de souris sans sortie.^

« —Tu m'a dit des choses sur lui pendant le petit déjeuner mais, je ne suis pas sûr que tu m'aies dit la vérité sur ses sentiments, j'y ai pensé et je pense que tu m'as menti. Anxieux Alec veut accélérer le pas pour se libérer des griffes de sa petite sœur mais elle le retient avec un geste si rapide qu'il fut surpris.

—Non, Alec, je dois vraiment te dire que c'est Magnus lui-même qui me l'a dit pendant que tu regardais son appartement de fond en comble, tu crois sincèrement que je t'aurais dit ses sentiments sans savoir ? Il me l'a dit. Si tu ne veux pas que je te parle, d'accord, mais je t'assure que je dis la vérité. Elle s'avance légèrement avant de se retourner. Je te conseille vivement d'accepter ce rendez-vous, Alec Lightwood, tu ne rencontreras jamais une personne comme lui, plus tard. Isa est arrivée à côté de Clary avant de rire. »

^Dois-je vraiment écouter mon cœur ou les lois de l'enclave ?^

Ils arrivent à la porte de Magnus qui les ouvrit avec un large sourire aux lèvres. Le groupe entre un par un avant que le regard de Magnus ne se modifie lorsqu'il aperçoit Alexander, qui ne voulait pas le regarder dans les yeux, regardant le loft du grand sorcier de Brooklyn. Jamais, Alec l'admettra, mais l'appartement de ce sorcier est magnifique, il se sent mieux ici qu'ailleurs. L'institut où la formation règne, les missions sont les maîtres pour donner une bonne réputation à l'Institut des chasseurs d'ombres. L'appartement lui, a une odeur particulière, cette décoration, tout ça détend le jeune homme qu'il regarde depuis l'entrée.

« —T'aimes ma décoration, Alexander. Demande Magnus à l'oreille de son chasseur d'ombre préféré, qui frisonne et qui sursaute légèrement. »

Pour une réponse simple, l'aîné des Lightwood acquiesce avant d'ignorer à nouveau le sorcier, dont son regard devient légèrement triste sur son beau visage. Quand Alec vit ça, il s'en veut de réagir aussi bêtement, il veut maintenant le serrer dans ses bras, le rassurer, l'aimer, mais ne fait rien et commence à regarder le grand sorcier de Brooklyn qui lui-même avait un regard intense poser sur lui. Le brun se sent terriblement gêné, un regard aussi pénétrant ne pouvait que lui faire perdre la tête et, quand il baisse les yeux, il tombe sur la chemise entrouverte et entrouverte sur l'épaule gauche, laissant apparaître l'os de son omoplate. Un regard intense apparaît dans ses yeux jusqu'à ce qu'il le détourne ayant senti celui Magnus. Le regard qu'avait employé le grand sorcier de Brooklyn, qu'Alexander avait senti le rend si étrange et désorienté. Ses joues, qui pourtant si pâle, prirent une couleur rougeâtre, son cou chauffe par la gêne, d'avoir compris que Magnus l'avait vu le regarder.