Chapitre 16

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PDV de Kérenne

Je mis mon uniforme de soccer dans mon sac à dos.Je reçu un message sur le téléphone que David m'a soi-disant donné :*Je t'attends en bas*. Je lui répondis un "D'accord".Je pris deux bâtons de tobleron ,mis mon sac sur mon épaule,caressai M.Carl ,pris mes clefs et franchis la porte.

J'étais quelque peu angoissée en descendant les escaliers ,un câlin,un baiser sur la joue ou l'embrasser ? je ne pourrais pas l'embrasser maintenant qu'on est ensemble ,je sais c'est bizarre.

J'ouvris la grande porte ,je le vis , appuyé sur le muret en face ,un sourire aux lèvres.Il se dirigea rapidement vers moi. Il commença à approcher ses lèvres des miennes,mais je tournai rapidement la tête de façon à ce que ses lèvres percutent ma joue.

-Pas aujourd'hui.

-qu'es ce que j'ai fait?

-Rien .

-Mais ,on est ...

-laferme et marche.

Il soupira ,puis commença à marcher.

-Ce téléphone,pourquoi? .Dis-je en lui montrant le portable dans ma main.

-Je veux bien communiquer avec ma copine.
J'arquai un sourcil.

- Tu n'en avais pas de toute façon.

-oui ,aussi "de toute façon" -reprenai-je comme lui - Je n'aurai que ton numéro dans mon contact, à part...Ora si elle veut bien.

-Qui ça ?la fille avec qui tu traînes maintenant ?

-hmm.

-Tu te fais des amis maintenant ?

-Tu m'as rendu docile ou sensible,quelque chose comme ça. Repliquai-je En plaquant un bâton de tobleron sur son torse.

-Ohw je suis flatté.

- Tu devrais être content ,je ne partage jamais mes "tobleron" ,n'oublie pas que tu me dois un panier à étage de Ferrero Rocher.

Il le jeta un regard perçant,puis me plaqua contre le mur ,mit ses bras sur le mur de chaque côté de ma tête.

-David tu fais quoi ?- Dis-je affoler -Il y a des gens partout .ajoutai-je le visage rougis.

-Il y a toujours du monde dans la rue .Dit-il un sourire narquois accrocher aux lèvres ,en approchant ses lèvres dangereusement des miennes.

-David ,non!. Répliquai-je en essayant de me libérer .

-Tu es belle lors que tu rougis.

Il m'embrassa avec passion ,et je ne pu résister à le lui rendre.Il mit fin au baiser ,un sourire idiot accrocher à ses lèvres.

-Il faut faire gaffe ,on pourrait te confondre avec une tomate.Ironisa-t-il.

-Bouge de là-Dis-je en me libérant de ses bras-Je te déteste .Ajoutai-je froidement.

-Je t'aime aussi bébé.

On reprit notre marche , j'avais déjà finis avec ma barre , j'avais presqu' envi d'arracher la sienne de ses mains.

-Tu sais ,j'ai une idée.

-Je t'écoute.

-Eh bien, je veux t'aider.

-Dans quel sens ?

-À affronter tes peurs .

Un sentiment d'horreur parcouru tout mon corps ,je le regardai horrifiée.

.Malédiction Imprimée.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant