Not today

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(en média Stella)

Pdv de Juliane (Juju).

Je sais plus combien de temps c'est écoulé, depuis que les filles ont disparus. Nous n'avons jamais été séparé, jusqu'à aujourd'hui.
Je commence à pleurer ça ne jamais arrivé auparavant.
Je ne peux plus m'arrêter.
Les filles j'ai peur. Je voudrais que le boss n'est jamais appeler Ammandine. Sa ne serai jamais arrivé. Pourquoi ??
Pourquoi???
Les filles je sais pas quoi faire.
Commence par te calmer.( conscience ).
Merci consience.
Je reprends mais esprit. J'appel la seule personne qui pourrai m'édais.
"Chef c'est moi Juliane je suis désolé mais....... je .... je..."
"Ok, calme toi et raconte moi tous." Répondit-il.
"Les filles on disparus elles étaient dans la salle de contrôle. Mais sa fait une heure que je n'ai plus de nouvelles." Dis-je en senglotant.
"Ne t'inquiète pas j'arrive avec Laura et Ammandine."
Il raccrocha tous de suite, sans me laisser le temps de lui demander pourquoi Laura et Ammandine étaient avec lui.
Si seulement on les avaient appelé plutôt que de tentaient une infiltration. Je me mis à pleurer pourquoi ça nous arrive à nous je pensais que nous étions invincibles. Mais apparemment pas.

Je vois soudain dans le rétroviseur,ombre noir qui s'approche de ma voiture.
Ces yeux sont rouge comme des lasers, qui vous transpercent et qui vous évaluent, pour connaître la moindre partit de votre vie.
Un frisson me parcour le dos.
Il me veux quoi ??

Je ne savais pas à çe moment que j'aurais du partir, dans ma voiture.

Je sors de ma bagnole, et prends mon pistolet dans ma main.


Je m'approche de la silhouette.
Je dégaine mon arme.

Je le met en joue, ma main se met à trembler. Je n'arrive pas à tirer.
Je tremble de tous mon être. Je me met à sangloter.
"Où sont les amis ?" Lui demande-je entre qu'elle que sanglots.
"Dans la cachette est tu ne vas pas tardée a les rejoindre." Me dit-il.
Je n'ai jamais entendus une voix pareille.
Je commence à frissonner de peur.
Vas temps, cours, pars, enfuis toi. Il veut t'as mort !!
Me cris ma conscience.
Mais je ne l'écoute pas. Les jambes tremblent mais je ne me laisserai pas faire.
La personne se jette sur moi, proffitant de çe moment de faiblesse. Je m'acroupis à temps.
Il tombe derrière moi. Je me relève et lui met un grand coup de poing dans la figure.
Je me jette sur lui et le bourre de coups. Il ne respire plus. Croyant qu' il est mort je m'arrête mais grave erreure. Il se redraisse et sors un couteaux de sa poche qu' il me plante dans le molet (j'ai un molet blindé).
Je cris de douleur.
La silhouette se rapproche de moi et me donne un violent coup de pied dans le ventre.
Mais je résiste et me retourne, je suis façe à son dos je lui donne un coup de boule dans le coquecise, avant qu' il se retourne.
Je croise alors c'est yeux rouge lasers.
Je n'ai pas le temps de répliquer que son couteau s'enfonce dans ma cuisse.
"Ne meurt pas tout de suite, je n'en n'ai pas finit avec toi." Lançe-t-il.
Je repère mon pistolet que j'ai fait tomber pendant le début du combat. Il se trouve à l'extrême gauche de moi.
Je ne pourrais pas l'atteindre pour le défendre. Il sors son couteaux de ma jambe et me l'anfonce dans le bras droit selui qui me sers pour tirer.
Je pousse un cris strident. Mais personne ne viendra m'aider.
Soudain, la silhouette noir vassille.
Je peut voir un trous de créer au niveau de ca poitrine.
La sillhouete tombe à la renverse.
Derrière elle se trouve une autre silhouette. Oh putain c'est mon jour de chance avec les silhouette ou quoi, j'ai pas passer de casting. Je suis à terre. L'autre silhouette ou si vous préférez la gentille silhouette, s'approche de moi. Paniquée je n'ose plus bouger.
Mais quand elle me prend dans ces bras musclé je me sens en sécurité. La fatigué de fait ressentir. Après tout je n'ai pas dormis de la nuit. Je m'endors dans ces bras protecteurs.

Pdv de ??????:

Au coin de la rue, j'entends des bruits de combat.
Je tourne et me mets à courir vers c'est bruits louche. Je me cache derrière le murs, et regarde le spectacle sous mes yeux.
Une fille est entrain de se faire poignarder à la cuisse par un mec chelou, habillé en noir.
Je dégaine mon arme qui était cachée dans mon dos, prêts à l'aider.
Je tire.
La balle l'atteind en plein coeur.
La fille me regarde perdue.
Elle est blaissée.
Bravo, t'es trop fort personne n'aurait deviné.
Lançe ma consience ironiquement.
Ouais bah je l'analyse c'est tout. Répondis-je à ma conscience.
Je sais je me parle à moi même, mais qui n'a jamais fait de débat avec elle.
Je la prends délicatement dans les bras.
Elle s'endort, je peux l'observer plus facilement que tout à l'heure.
Elle est splendide.

Pdv de Laura.

Je cours sens m' arrêter avec Ammandine sur les talons.
A bout de souffle, nous sommes enfins arrivées au parking.
Je vois que nous sommes arrivées trop tard. Mais curieusement je peux apercevoir la sillhouette qui nous poursuivait Ammandine, et moi et qui nous avait assommé.
Elle était allongé par terre et ne bougait plus. On pouvait voir du sang couler sur son dos, qui sortait d'un trou béant.
Elle était morte.
Le boss qui avait couru avec nous, nous posent la question.
"C'était lui ?"
"Ouais." Répondit Ammandine.
Inquiète je cherche du regard mais rien. Juliane n'est plus là.

Pdv de Méline.

J'ouvre les yeux doucement, la lumière de la pièce est douce.
Je me réveille en sursaut. Où est passer Marilou ?
Qu' est-ce que je fait là?
Je me pose trop de question se qui réveille en moi un mal de crane horrible.
La pièce est simple, un lit, une table de nuit, un bureau, et un tableau qui représente la forêt.


La porte s'ouvre sur un mec portant un masque noir, encore.
Je lui saute dessus par pulsions.
Désolé, mais si il a fait du mal à ma pote il va le regrétait.
Je me mes à califourchon sur lui, pour l'empêcher de bouger.
Il se débat mais je lui cris a la figure.
"Où et Marilou?"
"Elle va bien tu peux te sortir je ne te ferais pas de mal, et puis cette position et gênante." Lançe-t-il.
Je rougis à l'entente de ces mots.
POURQUOI??
Je me relève.
"Dîtes, pourquoi vous avez un masque." Lui demande-je.
"Parce que je fais se que je veux poulette."
"Je pourrais voir Marilou ?" Demande-je.
"Bien sûr."
Il m'entraîne vers un couloir, et ouvre la porte d'une autre chambre. Il y a Marilou, et les autres.....




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