La vision

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( en média Méline )

Pdv de Marilou.

Je me réveille brusquement avec un horrible mal de crâne, et un envis de vomir.
Je suis dans une pièce entourée de mes amis endormies sauffe Mel, Laura Ammandine et Juju qui ne sont pas avec nous.
Je suis couchée sur un lit en hauteur.
J'entends des bruits de pas, derrière la porte
Je me dépêche à me cacher sous les draps, et à faire semblant de dormir.
La porte s'ouvre.
Je me déplace pour voir dans faire de bruit, la personne qui est arrivée.
Mais c'est Mel et une personne avec un masque.
Sans rélichir, je me jette sur la personne. Mais à çe moment apparaît une autre personne dans l'entrebaillement de la porte et le plaqué directement au sol. Je me débat, mais elle est plus forte que moi.
Je suis affaiblie par mon mal de tête et mon envis de vomir, que je laisse prendre le dessus sur moi.
Ma tête tourne.
Je n'ai qu' une envis vomir.
Je me lâche et vomis sur la personne abondément.
Elle se met à crier.
Mel et la première personne qui est entré me regarde fixement, avant que je ne retombe dans les pommes.

******

J'entends des bruits de reniflement.
J'ouvre lentement les yeux priant que c'était un rêve.
Mais à mon réveillé je suis toujours dans la même chambre, mais cette fois ci il n'y a pas les filles ni les autres personnes.
Je suis seule.
Je crois que je vais exploser si ils leurs on fait mal.
Je décents du lit, et me précipite vers la porte qui est entrouverte.
J'entends des voix, mais elles proviennent tous d'hommes. Je crois que je l'ai et déjà entendu mais où.
Je ne sais pas.
Je me rapproche des voix pour écouter.
Je suis dans un couloir et me rapproche petit à petit.
Je les entends très bien mais je ne l'ai vois pas.
"Il faut à tout prit qu' elles ne découvrent pas notre identités.
Je pense que c'est les Red eyes qui sont sorit enfin de leur cachette." Lançe une voix grave.
"Je vais voir comment va la fille de tout à l'heure." Dit une voix sensuel.
"Ouais celle qui t'as degueulée dessus." Rigole un autre.
Je pense que je n'aurais jamais du écouter cette conversation.
Au moment ou je m'apprête à partir en direction de la chambre.
Je me prends la commode en pleine face.
Je cris:
"Putain de merde espèce de crotte de cul. Pourquoi je me prends une putain de commode qui ressemble à un ourson en peluche. J'en peux plus merde."
Je me retourne et aperçois les 7 personnes qui m'observe.
Ils sont mort de rire mais essayent de le cacher.
Je leur cris en pleine face.
"Oursin de connard je suis remontée contre cette commode et vous et puis shite. Je vous préviens si vous nous faites du mal je vous arrache vos cheveux même si je ne l'ai vois pas car Vous portez une capuche bien sûr.Vous aurez la BOULE À Z. Bande d'oursins à cause de vous je divague, la preuve je fais un monologue pour moi même. Vous trouvée ça drôle. Allez vous faire voir. Fuck, fuck."Je lâche toute essoufflée.
Ils me regardent intrigués.
Celui sur qui j'ai déguelée me regarde et me fixe. Même si je ne peux pas voir ces yeux je le sens.
Je rougis à cette pensée.
Il insiste maintenant et me détaille de la tête au pied. Tu vas voir, je vais lui en foutre une. C'est pas des magnaires de matter une fille aussi belle que moi.
Bonjour la modestie.
Je crois pas t'avoir causer donc ferme là.
Sans m'en rendre conte je viens de parler à voix haute.
Oups!!
Je croise le regard de Pleindevomit.
Oui, je l'ai appelée comme ça et alors. Sa lui vas bien.
Ils se mirent à rire pour la deuxième fois.
Je n'en peux plus et frappe sur la commode. Un bon coup de boule sur la commode et tous le monde se calme. J'ai trop dotorité.
"Désolé mais la commode ma regardée." Sors-t-je.
Pour rendre plus crédible.
Je sais je suis parfois violente. Mais bon c'est pas ma faute c'est celle de mes pulsions dirait Stella.
À d'ahieur je l'ai avais presque oublier.
Un des clown s'approche de moi.
"Fait gaffe cette commode c'est mon bébé." Dit il.
"A ouais, et bah je m'en fous. C'est pas ma faute si t'es commodeofile." Répondis-je en rigolant.
"Bon c'est pas que je vous aime pas mais je voudrais retrouver mes potes, donc svp vous allez fermer votre geule et me dire ou elles sont. Comprit les trous du culs. Ou vous voulez que je me répète." Cris-je à bout.
Non, mais ils croient que je vais leurs faire confiance d'un coup comme ça.
Faut pas de faire de faux espoirs.
Monsieur Pleindevomit s'approche de moi et me dit:
"Swag, dans la vie sa va t'aider. Et CALME TOI." Finit il par crier.
Je me tais d'un coup pourquoi ces propoes on plus défait sur moi que l'ai autre.
Ils me conduisent à la chambre des filles.
Je trouve Juju et Mel très amochées et les autres dans un état de someille. Mais je ne vois pas Laura et Ammandine.
Je commence à sangloter ( oui je suis bipolaire comme mon chat c'est pas ma faute ).
Comment elles on finit dans cette état ?
J'essaye de me remémorer les images, avant que je sois assommée.
Mais à chaque fois je commence à trambler de peur, et les sanglots reviennent et prennent le dessus. Je ne peux pas, surtout pas, voir mes amis se faire tabasser. Je vais retrouver le gars qui à fait ça et le tuer de mes propres mains.
"Ils étaient deux." Sors Pleindevomit.
Pas possible à deux, ils nous on mit dans un sale état.
"L'un deux et mort, c'est moi qui l'ai tué." Renchérit un autre.
Je sais plus quoi dire. Autant tout à l'heure j'allais les tapper.
Mais maintenant je ne veux plus.
Lol t'es pas bipolaire pour rien.
Un peut de soutiens très chère amis la conscience.
Je demande:
"Où sont Laura et Ammandine."
"Je suis désolé mais je ne vois pas de qui tu veux parler." Répondit Pleindevomit.
"Ouais c'est pas grave, elles ont dues sans sortir." Dis-je.
Pour me convaincre.
Je suis super inquiète pour elles. Si deux gars à suffits pour nous métriser je sais pas si elles sens sont sortites.

Pdv de Lola.

Je me réveille doucement, avec un gros mal au crâne, et la vision de Stella debout dans la salle, petrifiée par la peur. Alors que je lui dit de courir de toute ces forces.
J'ai pleurée dans mon someille et je suis toute colante.
Je suis dans un lit bas. Personne autour de moi le vide. Pourtant il y a d'autres lits mais défait, et en bazzard.
Tranpée je me dirige lentement vers la porte. Quand j'entends des cris étranges provenant de derrière.
Je sursaute, par peur je me refuje dans le lit dans façe.
Je me cache et attends.
La porte s'ouvre sur une homme caché par un masque blanc.
Il porte des vêtements noir et un sweat à capuche rabattu sur ça tête.
Ces yeux noir en forme d'ammande me fixe.
Son regard est doux.
Je ne sens rien de louche en lui, pas comme la personne au yeux rouge qui m'a assommer.
Mais je me méfie et fait semblant de dormir.
Il se rapproche de moi.
Le lit se creuse quand il pose ces fesses.
Il me secoue et me souffle à l'oreille :
"Je sais que tu es réveillée. Je ne te veux aucun mal. T'es amis t'attendes avec impatience."
Je rougis. Mais au moment ou il prononce le mot amis je me sens soulagée.
Elles vont bien.
Mais ou est passer le psychopathe.
A cette pensée ke le redis.
Il semble l'avoir remarqué et me réconforte en me prennant dans ces bras.
Je rougis comme une tomate.
Mais à çe moment quelle qu' un l'appel.
Il m'abandonne et part.
Je me retrouve encore toute seule, mais pas pour longtemps. Un poids s'écrase sur moi, et cris :
"Putain, tu m'as fait une de c'est peur."
"Stella." Demande-je.
"Non c'est le pape."
"Très drôle, mais la tu m'écrase."
Lançe-je.
Elle s'assit sur le lit et me dit que nous sommes en securitées. Mais je ne la crois pas.
Je fais toujours attention, même si la personne de toute à l'heure m'inspire confience.
Je rougis encore.
Putain! Pourquoi je rougis ?
Stella la remarquée et me demande pourquoi.
"Pour rien."
"Mouais c'est ça." Dit elle.
Elle me prend par la main et me tire du lit.
"Tu devrais prendre un bain."
"Je n'ai pas envie." Répondis je.
"Fais pas t'on bébé. En plus tu pus." Rigole-t-elle.
Putain, je vais la tuer.
Je me laisse entraîner vers la salle de bain qui ne nous appartiens même pas.
Elle fait couler l'eau, et me dit :
"Désabille toi."
"Tu veux que je te fasse un sprit tiz tant que l'on y est."
Elle rougis.
"Désolé. Je te laisse."
Elle ferme la porte.
Je me retourne et enlève les vêtements.
Je me jette ensuite dans le bain, que m'a fait couler Stella.
L'eau et chaude et me change les idées. Pendant un moment j'oublie tous.
Je m'endors petit à petit.
Je suis dans une pièce étrange.
Il y a très peut de lumière. Attachée à une chaise. Je cris et m'agitte dans tous les sens.
Je pleure. C'est la que je la vous la sillhouette au yeux rouge qui me fixe.
"Mort au traitre"
Il me regarde me fixe et s'approche de moi dangereusement.
Je me réveille en sursaut. Ce rêve avait l'aire totalement réelle.
Débousolée je me lève et me rabille.
J'ai besoin de prendre l'aire. Je sors en trombe de la salle de bain bousculant tous sur mon passage. Je ne me soucis pas des personnes qui me cris de m' arrêter. Je cours. Les larmes commencent à couler. Bientôt je ne pourrais plus me retenir. Je veux sortir. Mon instinct animale prends le deçu. Je me rue dans les couloirs comme une enragée. Où est la sorti.
Prendre l'aire.
La seule pensée qui occupe mon esprit. Une porte enfin.
Je me jette deçu.
Je l'ouvre dans un fraca assourdissant. Enfin je suis dehors.
Bon c'est un balcon mais je me sens déjà mieux.
Je n'avais pas vu que je n'étais pas seule.
Accoudé à la barrière. Il me regarde avec ces yeux d'ammande.














Et si c'était vous ?? Où les histoires vivent. Découvrez maintenant