Les agents parfaits du A.T.P (Agent.Talent. Potentiel ). Ils doivent effectuer la mission suivante.
CAPTURER LES MEMBRES DE BTS.
Comment cela va-t-il tourné ?
Les BTS sont-ils se que l'on croit ?
L'èvront-ils enfin leurs masques ?
Je cours. Je cours. Dans un couloir noir, je ne vois rien et n'entends rien mais je cours. Derrière moi il y a quelle que chose ou plutôt quellequ'un qui me cours après. J'entends les batements de mon coeur qui tape dans ma poitrine comme un tambour. J'ai peur je veux me réveiller, si c'est un rêve. Le couloir s'arrête je suis bloquée. Je fais quoi ? Il se rapproche. Je tremble, je vais pleurée. Je cris. "C'est la fin. C'est ça." Je ne veux pas mourire. Il faut que je retrouve les autres. Je tape contre le mur en métal. Je veux sortir. Je veux sortir. Pense-je très fort. Il est la. Derrière moi. Il marche. Il prend son temps, de toute façon je n'ai nulle par ou aller. Je cherche une manière dans venir à bout. Je sais. J'espère que se n'ai pas encore une de t'es idées tordues. Ouais elle te pose un problème mais idées. Bah la dernière fois tu as tous fais exploser. Mais c'était avant, je me suis entraînée. Ou la. Vachement rassurant. Bon tu vas la fermée j'essaye de nous sauver. Trop tard il m'envoie un coup dans les côtes. Je crache du sang. Je me relève difficilement. Grave erreur. Il m'attrape par les cheveux, et les tire. Je cris de toute mes forçes. Mais il ne me lâche pas. Il veut se battre, il vas être servit. Je fais glisser la jambe par terre, et lui décroche un bon croche patte. Il tombe à la renverse. Je ne lui laisse pas le temps de se relever. Je lui mets pleins de coups dans le ventre. Je ne m'arrête plus. Je ne sais pas si c'est mon instinct annimal qui à prit le deçu, ou la peur. Mais je frappe. Je continus. Je transpire beaucoup. Les larmes commencent à couler. Je ne sais plus quoi faire à part tapper. Je m'arrête sous la fatigue. Je cours dans le sens inverse du mur en métal. Je ne me retourne même pas pour savoir si il est encore en vit. Un bête. Je me sens seule et enfermée dans une cage de mur en métal, avec un mort. Je frappe sur tous les murs qui m'entoure. SORTIR. La. Je repère une porte pas loin de la où je suis, à ma gauche. Mais à ma droite j'entends des bruits de pas. Qui se rapproche lentement mais sûrement. Ils sont trois. Habillés de la même manière que celui que j'ai tuée.
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Il marche pareil à des robots. Étrange. Pourquoi ils ne courent pas pour me ratrapper. Alors que j'ai trouvée la sortit. Tanpis, pour eux je vais pas les attendre sagement. Je cours vers la porte rouge en métal aussi. Arrivée à son niveau. Ma main ne veux que je tire la poigné. Elle tremble un moment. Mon instinct me cris de courir. De m'éloigner de cette porte. Elle sens la mort à plein nez. Pourquoi ? Je veux sortir et puis il n'y a pas d'autre porte. Je ne sais plus quoi faire. Je me retourne vers les sillhouettes aux yeux rouges. Elles se sont arrêter. Je ne comprends plus rien. Un des trois. Me lançe d'une voix mécanique. "Dépôt. La porte de la mort." Hein, quoi ??? Il se met à courir vers moi. Je recule, mais par accident j'ouvre la porte. Elle se referme derrière moi. Je suis dans le noir complet. Je tente de m'appuyer sur quelleque chose. Cette pièce put un max. Mais j'appuie sur un intérupteur. Il allume toute la pièce d'un coup. Aveuglée par la lumière, je cache mes yeux. Avant qu' ils s'abitue. Je distingue des corps étalés par tous, sans vits. Non, non, c'est pas possible. Le corps de toutes les amis y sont. Je cris jusqu'à m'en déchirer les timpents. NON. NON. NON.
Pdv de Marilou.
Sa fais 20 minutes que je suis dans la chambre avec les filles endormits. Mais il n'y a pas Laura et Ammandine. Je me demande ou elles sont. Stella bouge beaucoup dans son someille. Elle lançe de tous petit cris parfois, et se débat dans le vide. Je me demande à quoi elle rêve. Jusqu'à çe que elle cris très fort cette fois si mon prénom. Je décide de la réveillée. Je la secoue. Mais pas de réponse, rien. J'essaye de manière plus forte cette fois ci. Elle ouvre lentement ces yeux. Elle est toute collante. Ces yeux son rouge. Elle me jette un regard inquiet. Je lui explique lentement que les autres vont bien, que nous ne sommes pas chez, nous mais chez des personnes, gentilles je pense. Je lui propose de prendre une douche. Elle acquiesce. On sort de la chambre pour demander au garçons où est la salle de bain. "Au trou du cul elle est où la salle de bain ??" Cris je. Pleindevomit me lançe un regard noir. Je fait la même chose. Je sens Stella se rédire contre moi. Normal elle ne l'es connaît pas encore. Pleindevomit s'approche près de moi, même trop près. Toujours son regard braqué sur moi. Je peux apercevoir ces yeux noir dessiner finement en ammande. La longue courbe de ces cils parfaits. Oui j'aime les cils c'est pas ma faute ! Sens que je puisse m'y attendre il s'empare de mon bras, et me tire en courant dans le long couloir vers une porte. Il l'ouvre et la referme praticemant aussitôt. Inquéte, je me rue vers la porte le cœur battant à cent à l'heure. Il me veut quoi. Je sais que j'ai du dépasser les limites de ça gentillesse. Mais trop tard, il m'attire vers lui et me plaqué contre le mur d'a côté. Projetée je me prends le mur en plein dos. Un petit gémissement sors de ma gorge. Je deviens rouge de honte. Je ne sais plus ou donner de la tête. Il prend mon visage dans ces mains dousse comme de la sois et aussi fraîche que la neige. Ces yeux splendides me fixe. Je ne sais plus quoi dire aucun son ne sors de ma bouche. Les mains sont devenus toutes moites. Je transpire. Mon coeur bat à toute alure.
"C'est bien la dernière fois que tu me parle sur çe ton. C'est claire !" Me lançe t-il la voix aussi froide que ces yeux de glaçe.
Ces yeux m'envoie des éclaires.
Il me lâche et part en prenant soin de refermer la porte derrière lui, à clé.
"Se soir tu dors dans ma chambre et ce n'est pas une demande mais un ordre." S'exclame-t-il. Je n'ai pas le temps de protester que on me ferme la porte au nez.
