Après l'appel de Levy, je m'avachis sur mon, m'étirant les muscles engourdis. Je ne sais quelle position j'ai fait cette nuit. La position du flamand rose, de la limace ou de l'autruche ?
La tête enfoncée dans ma peluche XXL d'une licorne, je l'avais gagné aux pinces dans une fête foraine, ce jour là Levy m'avait fait une crise en réclamant en voulant une elle aussi.
Prendre une grande inspiration et souffler. Je me redresse, le point contre la poitrine cherchant des ondes de motivation aux alentours.
Je décide de m'habiller après tant de réflexion sur la motivation, pourquoi elle ne vient jamais à moi ? Pourquoi dois-je la chercher ?Par flemme de regarder la météo sur mon téléphone, je me fixe sur la vue du ciel. Blanc comme neige, pire qu'à Hargeon ici. Je m'explique -ouverture du dossier vacance dans ma petite tête - je suis partis avec ma mère à Hargeon, il y a de cela 5 ans, il me semble, donc vers 12 ans. Nous sommes allées à la plage, le soleil chauffait mon corps, et le sable brûlait mes pieds découverts. Un temps normal pour aller à la plage et se baigner dans l'océan bleuté transparent. Et c'est ce qu'ont fis, mais vers le milieu de l'après-midi, le soleil toujours autant éclatant, il se mis à pleuvoir des cordes. Personne ne bougeait, à croire que c'était normal. Pour vous dire que si vous avez l'occasion d'aller à Hargeon, ne vous inquiétez pas, si il pleut avec un soleil brûlait, c'est normal.
Revenons à Magnolia, je ne suis pas destinée à voir un beau soleil avant demain... Quel triste destin.Étalée comme un crêpe sur la dernière marche de l'escalier suite à une chute qui a pour cause de l'huile versé dessus. Quant à lui, cette idiot de première, plié en deux en train de rigoler comme un âne. En plus d'être homosexuel avec Natsu, il est bipolaire, d'un côté c'est mieux ainsi qu'une atmosphère tendue entre nous, Grey.
Il me tend sa main que j'accepte.- Tu aurais dû voir ta tête, dis Grey toujours avec son rire d'âne.
Je m'agrippe à sa taille, mes petits bras ne parviennent pas à l'entourer entièrement. Les pieds tout graisseux m'empêche de bouger sans faire du patin sur huile et atterrir au sol. Grey me prend sur son épaule pour m'emmener dans la cuisine. Il croît que je vais me laver dans le lavabo ?
À ce que je croyais, il prend deux chaises. Je sais que ma petite taille est légère mais de mêmes à pouvoir transporter deux chaises et une naine ensemble, bravo !- Tu fais quoi ? Demandai-je.
- Je t'invite au spectacle, rien de plus.
Mon âme est partit, je ne comprend rien à rien. Quel spectacle ? Il veut me montrer des éléphants debout sur des ballons ? Ou encore un cochon qui twerk ? Je m'éloigne un peu trop...
Il me pose sur une des deux chaises installées à quelques mètres de l'escalier.
Il tente le diable s'il compte faire le même sort que moi à Natsu.
Grey tapote sur son téléphone pour faire destination d'un message à quelqu'un.Il n'aura pas fallu attendre longtemps avant que Natsu pointe le bout de son nez. Grey m'informe de bien être attentif à ce qui va suivre. Le regard persistant sur l'escalier, Natsu descend les marches nonchalant. Et la voilà ! La jambe partit en l'air, et être atterri sur les fesses. Grey ces laissé tomber par terre, en train de rouler au sol et acclament son rire d'âne. Je ris derrière ma main. Je sais parfaitement qu'il ne faut pas se moquer du malheur des autres mais le rire qui voulait sortir était trop grand.
Il est en colère, les traits tirés sur son visage, ce regard auquel je prends peur.
Placé devant moi, seule face à cette situation, Grey toujours à rigoler. Natsu prend les deux pied de devant de la chaise et de les ramener vers lui faisant basculer la chaise en arrière. Je me penche vers lui pour m'accrocher à son jogging mais il s'écarte, ce qui me fait faire la position du chien, à quatre pattes .
Il repris son chemin en écrasant ma main au passage, un petit gémissement de douleur sortit. Je ne sens plus ma main ni mes doigts, cette force qu'il a...
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I Loved You...Natsu [TOME I]
FanfictionDrogue, alcool, amour et violence. Voilà à quoi résume ma vie depuis. J'ai essayé de t'en faire sortir. Je t'ai aimé, tu m'as brisé, frappé, humilié. Je t'en ai voulu. Mais j'arrive pas à t'oublier. Tu m'as trompé, mais j'ai continué à t'aimer. Tu m...