Chapitre 11: Je t'appartiens.

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- Jamais je ne serai ta distraction. Tu penses vraiment que j'ai envie de devenir ton jouet ? Lui expliquai-je.

- Alors rien ne m'empêche de faire sa, me répondit Natsu.

  Ses mains toujours sur mon train arrière me soulève. Il presse son bassin contre mon donut, vous pouvez pas vous imaginer à quel point c'est gênant. Je dois actuellement rougir puissance mille, une réincarnation en tomate.

  Ses mains décrochent mes fesses vu que son bassin me maintient sur la paroi de la douche. Elles viennent serrer mes poignets et ils les placent au dessus de ma tête. Il fixe d'un regard d'envie ma poitrine, je ne peux m'empêcher de me laisser de grimacer lorsqu'il pose des lèvres sur celle-ci.

  Je pense que son envie était trop grande, il retire ses lèvres pour me regarder dans les yeux. J'atterris violament au sol, j'ai les yeux larmoyant, il s'accroupit face à moi et m'étrangle en forçant dessus. Je sens ma tête "gonfler", il m'embrasse de force en insérant sa langue après avoir forcé l'ouverture. Je peux plus respirer, j'essaye vraiment de retirer sa main. J'ai beau enfoncer mes ongles dans sa peau, mais plus les secondes passe et je perd petit à petit connaissance.

  Il lache sa prise de mon cou, je tombe allongé au sol de la douche.

- Tu m'appartiens Lucy.

- Je t'appartiens, dis-je avant de perdre totalement connaissance.

~

  Je me réveille dans la douche, l'eau coule toujours mais à un degré gelé, j'ai extrêmement froid. Natsu à changé la température, elle est à 0°C. Ma tête tourne, j'entoure une serviette contre moi et longe le mur jusqu'à ma chambre.

  J'enfile avec grande difficulté un jogging et un pull. Je file dans mon lit mais avant ceci je règle mon radiateur sur 20°C. J'ai les yeux qui se ferment tout seules.

  Je me réveille par des bras qui me secouent.

- Enfin tu quittes le monde des licornes.

  Je me retourne pour identifier l'individu.

- Je veux pas te parler ni te voir, adieu ! Braillai-je.

- Qu'est ce que t'as mon coeur ? Dit-il innocent.

  Je me redresse en reniflant comme un porcelet. Non, sérieusement il en a aucune idée ?

- Tu as laissé ton manche à ballet me rugir à la figure, tu n'as pas pris ma défense. On aurait pu me noyer tu n'aurais rien dit. Puis normalement tu ne te tapes pas des cuites d'habitude, tu me mens sur autre chose ou c'est bon ?

- Désolé j'ai trop bu, puis pour l'autre aussi je suis désolé, se pardonna Sting.

Je me recouche dans mon lit après avoir toussé et mouché.

  Sting pose sa main sur mon front, je sais que j'ai de la fièvre.

- Tu es brûlante ! Je reviens.

  Je dis rien, je le regarde s'éloigner de la pièce. Je remonte la couverture jusqu'à mes oreilles, j'ai mal à la gorge à force de tousser.

  Mon meilleur ami revient quelque minutes plus tard. Il positionne le thermomètre auriculaire dans l'oreille.
Après le "bip" il me menace du regard, ce qui signifie :" tu ne bouges pas de ton lit ou je te zigouille ", je lui affirme son regard par un hochement de tête.

Je ferme les yeux sans néanmoins dormir. J'entends la porte de l'entrée claquer - Sting a laissée la porte de ma chambre au cas où j'aurais besoin d'aide -. La personne ayant claquée la porte escalade les escaliers rapidement.

- Jude ! Lucy fait une dépression à cause de moi, qu'est ce que je fais ? Pleura Oul dans le cadre de la porte.

  Elle s'agenouille au pied du lit et me pris dans ses bras.

- Je suis désolé, vraiment vraiment vraiment désolé. Je voulais pas te crier dessus, continua t-elle de dire pleurant comme une brosse de toilette que l'on secoue, mais depuis que j'ai ce petit bébé en moi je change d'humeur constamment.

  Je vais avoir un demi-frère ou demi-soeur de plus ? Au moins maintenant, je comprends ses sauts d'humeurs.

- Félicitations ! Depuis combien de temps ? Demandai-je.

- Presque quatre mois.

- Tu n'as pas de ventre, rigolais-je avec ma voix exquintée.

- Malheureusement oui... Quand j'ai eu Grey j'étais énorme. Tu sais pour une femme avoir un gros ventre est assez chaleureux malgré tous les inconvénients, dit-elle en regardant son ventre plat, bon je te laisse dormir.

  Elle quitte la chambre plus heureuse qu'à sa venue.

  Natsu débarque dans la chambre avec un sourire moqueur collé à son visage.

- Tu es malade ! Quel dommage...

- Pourquoi tu t'acharnes sur moi ? J'ai accepté.

- Je voulais jouer un peu, rigola cet idiot, si je suis venue ce n'est pas pour discuter mais me dépenser.

   Je suis devenue sa poupée, son jouet à domicile.

  

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Encore plus court que la dernière fois 😢😥....

Mais j'espère qu'il vous aura quand même plus 💟💞

I Loved You...Natsu [TOME I]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant