Chapitre 7

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PDV : Esmera

Ma plante se retourne contre moi ! J'en revient pas. Bon, là il faut que je me ressaisisse avant que MA plante ne me tue. J'ai juste le temps de prendre ma forme de renarde blanche avant que MA plante me transperce le corps de par et d'autre. C'est bon, j'ai comprit, je vais y aller moi même. Je reprends forme humaine et je sors mon arc de mon coffre. Le frisson que j'éprouve à chaque fois que je prends me traverse et si Zéliot n'avais pas crier je crois que je serais rester à regarder mon arc de guerre si bien tailler. Mais ce n'est pas le moment de rêvasser. J'encoche une flèche et amène l'empennage de cette  dernière jusqu'à ma joue. Je sursaute et je lâche ma flèche car Téhon m'a regarder. Ses yeux, ils sont noir, il est posséder. Je me ressaisit et j'encoche une deuxième flèche. Téhon vit mon geste et relâcha Zéliot pour s'occuper de moi. Je la lâche et elle se plante dans la cuisse de mon cousin sans qu'il bouge d'un centimètre. Non, je ne rigole pas ! Il continue son chemin vers moi sans broncher. Je me baisse lentement et prend, toujours lentement, tout les poignards à disposition. Je mets mon pouvoir le plus loin possible dans mon esprit. Soudain sa vitesse prend de l'ampleur, il avance vers moi à une vitesse impressionnante, mais je ne me laisse pas démonter je saute sur le mur et du mur de pierre mouchetées je me retrouve derrière Téhon. Je l'attrape délicatement par l'épaule et d'un gest souple le mets par terre. Il se retourne et passe sous ma garde il me mord la main, le sang coule mais je ne m'en occupe pas. Ma vie est en jeu ! Je dessert machinalement la pression sur son épaule. Mais d'un coup sec je sort une dague et lui envoie dans l'épaule. Enfin essaye il s'est déplacer plus vite que le vent mais moi aussi j'ai d'autre tour dans mon sac. Je fouette l'air de mon pied pour me faire balancer et me retrouve à terre, c'était l'intention, je me glisse avec agilité sous lui puis derrière lui. Je lui pose mes mains sur les hanches et me transforme à demi mes doigts deviennent griffes qui s'enfoncent dans sa chair 1 centimètre à peu près. Il pousse un cri de douleur et je le plaque contre un mur face à moi avec mes poignarts je l'y accroche par ses vêtements. Soudain je sens une présence dans mon dos. Eh merde ma plante. Je me retourne et vois Zéliot poussé dans un coin encerclé par les lianes de ma plante. Je sors une dague de ma botte droite ( oui elle en cache partout sur elle ) et d'un lancer transperce le cœur de la plante. Je cours vers Zéliot et le prends dans mes bras. Je sens un pique au niveau de la jambe gauche, je n'y prête aucune attention. Je me retourne vers Téhon, il est évanoui il reprendra peut-être ses esprits plus tard je lance l'alerte, dans le château en cas de catastrophe nous avons une alerte pour prévenir les autres. Ma tante la mère de Zéliot arrive la première. C'est normal elle est spécialisée dans la localisation. Je lui tends Zéliot et je regarde Téhon il est accroché au mur comme un vulgaire volatile. " Esmera ! Esmera où es-tu ? " crie mon père. En le voyant ma vue se brouille, je me sens molle,je me sens comme une petite fille fragile qui a besoin de son papa. Mais les ténèbres me prennent avant mon père et je m'en gouffre dans la nuit.

PDV : Aaron

J'ai l'impression d'être une proie. Je n'ai pas de difficulté à prendre l'avantage, sauf quand mon cousin y met son pouvoir. Je suis donc cacher au plus haut des arbres et j'écoute le vent qui m'indique la position d'Ahmed. Il est juste en dessous de moi, je sors mon couteau. Je dois le blesser le plus possible car je n'est pas le droit de le tuer ! C'est l'héritier quand même ! Je ne veux pas mourir moi ! Il bouge, la lame de ma dague attends d'être lancé et ça me donne des frissons. Je ne bouge qu'au ralentit. Mon bras se plie et se tend à une vitesse hallucinante. Ahmed est touché sur tout le flan gauche, mais pas assez pour arrêter le combat. Il se pli de douleur. C'est le moment d'attaquer. Je saute et j'amorti mon atterrissage avec le vent. C'est un ami fidèle qui ne me laissera jamais tombé. Comme pour répondre à mon affirmation silencieuse, je sens une caresse au niveau de la joue. Je m'avance jusqu'à être derrière Ahmed. Soudain, il se retourne avec un couteau. Ledit couteau vint se coller sous ma gorge. Je suis tomber dans son piège comme un bleu. Il me regarde et déclare :

Poèmes nocturne ( En pause partiellement)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant