Poèmes nocturne ( En pause partiellement)

Chapitre 13

PDV : Aaron

Enfin un peu de calme. Après être aller chercher mes parents, qui étaient enfaite dans le bureau de mon père et étaient entrain de se disputer- mon père m'avait nommé héritier et ma mère était contre- je ne me suis pas incrusté car je n'avais aucune envie de me retrouver à la forme de steak haché , je suis allé m'endormir sur mon lit tranquillement et j'ai dormi toute la journée. Bien sûr je me suis fait allumer par mon grand-père car je n'étais pas à ma place etc. Je suis allé prendre des nouvelles de Lahisa, elle va bien mais on lui à mis des calmants pour qu'elle puisse dormir et enfin je suis allé au lit pour la nuit même si j'avais dormi la journée je m'endors facilement. Quand je me réveille le lendemain je suis au calme pour une fois. Je me lève et je vais manger. Quand j'arrive dans la salle à manger (qui ressemble plus à un self qu'à une salle à manger) je vois ma mère je vais vers elle et je lui dit bonjour elle me regarde et et elle puis elle dit d'une voix calme et simple :

- Bonjour Aaron comment vas-tu ?

- Bien et toi maman ?

- Un peu fatigué. Ça doit être une séquelle des sédatifs.

- Sûrement.

- C'est laconique.

Elle est drôle elle, que veut elle que je dise d'autre ? Je regarde ma montre. Il est neuf heure moins le quart, il faut que je me dépêche sinon je vais devoir assister au jugement d'Ahmed en replay, sans parler de mon père et mon grand-père qui vont me crier dessus. Je mange vite et je vais à la salle du conseil je m'assois à coté de mon père et je regarde Ahmed entrer sans regret de l'avoir dénoncé. Il me regarde et son regard est rempli de haine. Je déteste Ahmed depuis bien longtemps enfaite je le déteste depuis que le conseil l'a nommé héritier, pas que je voulais sa place mais il a commencé à se prendre pour le chef et la j'ai commencé à le détester. Mais maintenant il va être jugé. Quand mon père prend la parole le regard de mon cousin se pose sur mon paternel :

- Ahmed, ancien héritier, va être jugé pour avoir fouetté un membre de son clan  et pour avoir drogué deux des siens, tout cela pour assurer son pouvoir. Je donne la parole au conseil.

Un membre du conseil se lève et pose des questions à Ahmed. Il y répond avec aisance, tellement d'aisance que je me demande si il n'a pas  préparer ses paroles. Mais je crois que je deviens parano pour penser ça. Il faut que je prenne l'air. Mon grand-père et mon père ne me laisseront jamais passer sauf si je mets une illusion. Problème, je n'ai pas le pouvoir nécessaire pour le faire. Soudain une idée germe dans ma tête. Le vent peut contrôler les illusions je lui demande discrètement de me rendre invisible et de passer une illusion. Ça marche et je me dirige discrètement vers l'extérieur. Quand je suis enfin dehors je fais apparaître mes ailes. Je vole calmement quand j'aperçois une tache argenté à l'horizon, et elle se rapproche quand enfin elle est assez près pour que je discerne ce que sait ma mâchoire se décroche. Un dragon c'est un dragon. Je vole vers la bête mais elle disparaît soudain. Je vole encore plus vite. Quand j'arrive vers l'endroit des faits je remarque des trace de sabots. Je suis les traces, je déteste voler à ras du sol mais je n'ai  pas le choix. Je remarque que la direction empruntée et celle  de la forteresse. Je remonte et prends la même direction. Je ne peux pas voir si je croise le cheval car les arbres cachent ma vue sur le terrain. J'arrive avant le cheval et je me mets en garde devant la forteresse. Quand le cheval arrive il est monté par une jeune fille aux cheveux blancs comme la neige. Elle descende du cheval avec aisance. Quand elle fût descendu l'image du cheval se brouilla et à sa place se tiens maintenant une jeune fille aux cheveux noirs et aux yeux tout aussi noirs. Mais elle me rappelle quelqu'un. Je les regarde tour à tour elles n'ont pas l'air agressives mais je suis quand même sur mes gardes. La brune montre ses mains nue en signe de paix. La blanche ne voulant pas se faire oublier dit d'une voix calme :