Deux clans, deux histoires, deux amours, ils sont différents mais ils se retrouvent dans leurs poèmes. Une fille, un garçon et des poèmes nocturnes.
Une soirée qui se passe mal, deux ados, deux monde. Esmera et Aaron se cherche et se trouve malgré l...
Ma mère me regarde et me dit du ton calme et serein que je lui est toujours connu :
- Aaron tu ne devrais pas être ici.
Elle est calme de l'extérieur mais je sais pour avoir vécu avec elle qu'elle est tendu comme un arc. Soudain l'homme qui se tient derrière elle s'adresse à moi :
- Bonjour Aaron je peux t'aider ?
Il veut m'aider lui qui nous a jamais aidé, tout se mélange dans ma tête et ma seule réaction c'est de rire. Un rire que je ne peux pas contrôler, comme celui de ce méchant sur Terre, le Joker. Ma mère intriguée me demande si je vais bien et la seule chose que je peux dire, en rigolant bien sûr, pour lui répondre c'est :
HA,HAHA Si je vais HA HA HA vais bien.
Puis sans vraiment me contrôler je répond d'une voix glacial empreint de ma haine :
- Non je ne vais pas bien. D'abord je combat ce salopard d'Ahmed, ensuite j'apprends que je pourrais plus goûter la liberté, et enfin j'apprends que mon père est vivant. Vous savez ce que c'est de grandir sans un père. Et maintenant je voulais voir le chef et il se trouve que c'est mon père et que tu savais que cet enfoiré est le dirigeant. Et avec ça je dois aller bien. Maintenant c'est simple je ne veux plus vous revoir ni vous, ni le clan.
Je ne me sens pas bien j'ai la tête qui tourne et j'ai l'impression que d'avoir un poids sur le cœur. Mes jambes me lâchent et ce n'est que le choc avec le sol qui me fait perdre connaissance.
PDV : Alina
Il tombe. Sa tirade m'a fait mal. Mais quand je le vois tomber j'oublie tout. Je me précipite et j'attrape sa main il est froid. Je demande à Aulord de m'aider. Nous le retournons et la su ses ailes immaculées une couleur me frappe, le rouge. Le sang. Je me revois l'intervention d'Aaron pour sauver Lahisa et soudain cela me fouette, la parade. Il a parer une attaque d'Ahmed avec son aile. La blessure fait a peut prêt trente centimètres de long je peux le faire.Je confis au vent un message d'amour pour Aaron. Il me répond . J'utilise toute mes forces dans un dernier espoir. Les ailés ont le même pouvoir que les élémentaires d'eau ils peuvent soigner. Je n'ai jamais soigné une aussi grosse blessure mais Aaron est mon fils. Une boule blanche apparaît au-dessus de mes mains tenu en coupe et j'entends la voix d'Aulord :
- Alina tu ne peux pas faire ça, ça peut te tuer.
- C'est mon fils et c'est aussi le tien.
- Je sais.
Joignant le geste à la parole il met ses mains en coupe une boule blanche y apparaît. Nous appliquons délicatement nos boules sur l'aile d'Aaron. Son aile absorbe les boule et la blessure réduit de quelques millimètres. Je mets encore de la puissance tandis qu'Aulord y met toute sa force. La blessure est encore de quelque centimètres et pour enfin la guérir complètement nous y mettons une puissance sans limite l'amour. Et se sera sûrement comme ça que nous retrouvera le clan, c'est cela que je souffle à Aaron et Aulord avant qu'Aulord et moi même retrouvons notre fils.
(C'est Aulord.)
Oups ! Cette image n'est pas conforme à nos directives de contenu. Afin de continuer la publication, veuillez la retirer ou mettre en ligne une autre image.
PDV :Esmera
J'ouvre les yeux pour les refermer aussitôt. Zéliot est mon cousin mais c'est aussi mon meilleur ami à la forteresse des plantes de Aquanta.Téhon doit faire attention à ses pouvoirs, ils sont très puissant,mais là, maintenant, j'ai envie de tout,sauf de voir quelqu'un.Encore moins ma famille. Je respire un grand coup et fait en sorte que mon côté animal choisisse quoi faire. Le sourire qui se dessine sur mon visage en dit long sur ce que je vais faire. De toute mes transformations, la jument est celle qui me rend ma liberté. Malgré tout ce que je penses, une seul personne mérite d'être, pour moi,une personne de confiance. Mon portable vient prendre sa place habituelle dans mes mains.
ESMA :
''Peur de partir,
De choisir,
Ma voie. ''
Je me sens mieux, même si c'est un ailé, il me fait du bien. Comme si le vent était d'accord avec moi, la fenêtre s'ouvre et je suis soulagé de voir que je suis au premier étage. Je me lève et cherche dans l'armoire mes vêtements. Une fois changer, non plus dans ma tenu de chambre, mais ma tenu de cuire, je vais vers la fenêtre et, alors que j'allai descendre par la gouttière, la porte s'ouvre en grand sur mon père, Kahau. Il court vers moi et j'ai juste le temps de sauter et de me transformé en lionne pour attérir sur mes pattes. J'ai juste le temps de voir mon père arrivé à la fenêtre avant de partir dans la forêt. Ma journée ne fait que commencer.
PDV :Kahau (père de Esmera)
Je décide d'aller voir ma fille car le conseil m'énerve à un point que vous ne pouvez imaginer. Je me dirige vers l'infirmerie et rentre dans la chambre ou on l'avait déposer après qu'elle soit tombé dans les vapes. Je rentre dans sa chambre quand je la voie sur le balcon. Elle me voie et, avant que j'ai pu l'atteindre, saute dans le vide. J'arrive sur le balcon et la voie devenir une magnifique lionne blanche avec le bout de la queux rouge vif. Elle court se réfugier dans la forêt et la regarde franchir la lisière de cette dernière. Je veux lui laisser ses dernières heures de liberté avant que le conseil ne la lui prenne. Fichu conseil ! Elle ne le supportera pas bien longtemps...
PDV : Inonnu
- VOUS NE POUVEZ PAS FAIRE CA !!
- C'est l'héritière, on peut tout faire pour que son peuple et elle même se sente pour le mieux !
- Je m'occupe d'elle depuis son plus jeune âge ! Vous ne pouvez pas ! dit-je, toujours en criant.
- Elle le fera !
- Liekki n'est pas une poupée ! Elle ne fera pas le tour des mondes !
- Je crois que c'est à moi de choisir ! dit la concerner en faisant irruption dans la pièce.
- Liekki ? Que fais-tu donc ici ?!
- Je demande au conseil une faveur ! Si le conseil me dit le nom de mes parents, mes vrai parents, je ferai le tour des mondes. Si je n'ai pas de renseignement avant demain soir, vous irez tous pourrir en enfer !
Elle ressortit en claquant la porte de la grande salle.
