Re-coucou, c'est (toujours) Lightning Michaelis ! Voici le troisième chapitre de "Les étoiles ne parlent que de toi" (ou plus simplement (ou pas) LENPQDT). J'ai encore une petite chose à préciser que je n'ai pas dite avant, évidemment je ne connais pas personnellement Starrysky ou VoxMakers (Altaïr n'en fait pas partie, elle a les traits de Sasha mais ce n'est pas elle). J'essaie de reconstituer leurs caractères à l'aide de ce qu'ils veulent bien montrer dans leurs vidéos. Tout ce que je dis n'est qu'interprétation, adaptation et exagération. Je vous souhaite une bonne lecture, vous me retrouverez à la fin du chapitre, j'ai quelques questions et explications pour vous. Encore une fois, bonne lecture ! :)
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Je me réveille après une série de cauchemars. Une fois c'était Okko qui chantait puis au fur et à mesure, sa voix devenait grave et elle-même devenait translucide, jusqu'à ne plus devenir qu'un fantôme. Une autre fois, j'étais seul sur scène, uniquement accompagné de ma guitare désaccordée. Je commençais à jouer et tout ce que j'entreprenais sonnait faux. Puis je voyais Cyrix, Ermite, mes parents, Chris et une jeune fille aux cheveux rouges dans le public. Cette dernière lançait la première tomate et les autres suivaient. Je me retrouvais ensuite devant mon ordinateur et les tomates fusaient depuis les commentaires d'un Tai Reflections. Enfin, le dernier rêve était le plus étrange : J'errais dans le noir, seules quelques étoiles m'éclairaient. J'errais avec comme seul ami le morceau
🌟Capsule🌟 qui tournait à l'envers et au ralenti. J'avance, j'avance, jusqu'à ce que j'aperçoive Altaïr, de dos. Je m'approche d'elle, la prends par l'épaule, la retourne et observe son visage. Il est flou. Comme en chargement. Mais, petit à petit il se précise... Jusqu'à devenir celui d'Okko.
Et c'est là que je me suis réveillé en sueur. D'habitude je ne rêve pas ou ne me souviens pas de mes songes mais je dois vraiment être stressé pour faire des rêves aussi angoissants. Mais j'ai mieux à faire en ce moment que de la psychologie. Et en plus, je dois m'occuper de cette fille. D'ailleurs je n'aurais jamais dû la laisser seule. J'entends de drôles de bruits et sens de drôles d'odeurs qui viennent de la cuisine. Je m'y précipite, enfilant un T-shirt en même temps. Altaïr est au milieu de la pièce, hésitante, une poêle avec des œufs dans une main, une orange écrabouillée dans l'autre. J'observe le sol, jonché par des coquilles et des jaunes d'œufs étalés, des couverts en bois et de la pulpe, mais aussi avec une éponge, une serviette et du liquide vaisselle, sans doute dans un espoir vain de nettoyer ce bazar. Je soupire, elle se tourne vers moi avec un regard anxieux. Je tente de m'exprimer :
"Altaïr...
- Excuses moi ! Je ne voulais pas ! Je connais la théorie pourtant ! Excuses moi !
- Altaïr...
- Je suis désolée ! Je voulais juste faire le petit déjeuner !
- Altaïr, ce n'est pas grave. Je vais m'en occuper.
- Mais..."
D'un geste du bras, je la pousse doucement vers la sortie. Je vois qu'en effet, elle connait la théorie, au minuteur est affiché un compte à rebours décent et le nombre d'ingrédients semble correct. Mais la pratique... Sa maladresse y est pour beaucoup et sa précipitation aussi. Je m'attelle alors à ma tâche, je nettoie avec le matériel qu'elle a déjà sorti, elle aura au moins fait quelque chose d'utile... Une fois mon devoir fini, je me redresse et regarde la jeune femme. Elle culpabilise. Pour lui faire plaisir, je lui propose alors :
