Bonjour ! C'est Lightning Michaelis ! Désolé, j'ai mis un peu de temps à écrire ce chapitre mais le voilà ^^ C'est qu'en ce moment, j'enchaîne examens, révisions et autres évènements alors je perds forcément un peu de temps. Mais j'essaierais toujours de faire quelques insomnies pour vous proposer mes chapitres ^^ Allez,
Bonne Lecture ! :)
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Enfin, le moment de partir pour Bruxelles est arrivé. Toujours très organisés, nous avons préparé nos bagages une heure seulement avant le départ. Tai a en plus dû me commander un billet à la dernière minute, ayant pris le sien bien avant mon arrivée dans sa vie. En ce moment, nous fermons, non sans peine, nos deux grands sacs de voyage et nous précipitons hors de l'appartement. Éteignant tout juste l'eau et l'électricité, tournant à la va vite la clef dans la serrure. Ce n'est pas que nous sommes en retard pour le Thalys, mais bien pour le bus qui doit nous y emmener. Une fois dedans, nous ne trouvons qu'une place assise, Tai me prend alors sur ses genoux. J'adore lorsque ce genre de situation arrive, nous sommes tous les deux gênés en essayant de le dissimuler, ce qui m'amuse de la même façon que je riais de l'ennuyer quand j'étais invisible.
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Nous sommes à la gare, notre mission désormais : trouver le bon quai et le bon train. Au bout d'une demi-heure de questionnements aux usagés, de chemin erronés, de panneaux effacés, de tours en rond et même d'une fois où nous nous sommes assis dans le mauvais train, nous trouvons finalement nos places et nous y affalons. Altaïr et moi soupirons avant de nous regarder, nous explosion de rire : Quel marathon ! C'est ce qu'il y a de génial entre elle et moi, nous n'avons pas besoin de parler pour nous comprendre.
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Je me suis ensuite fixé le but de déstresser Altaïr, la jeune femme se ronge les ongles de peur et de nervosité par rapport à ce qui va arriver. Je la rassure en lui disant que les Voxs seront tous heureux de l'accueillir, qu'elle se fera de nouveaux amis et que je suis sûr que la convention et ses visiteurs lui plairont. Je finis par entourer ses épaules de mon bras et la serrer contre moi. Elle pose sa tête sur mon torse et au bout de quelques minutes, bien que le voyage ne soit pas si long, elle s'endort. C'est que nous ne nous sommes pas beaucoup reposés ces derniers temps et que la convention n'est pas prometteuse pour ce genre de chose... Après une heure et demi nous arrivons à Bruxelles. Nous prenons ensuite le métro pour enfin nous retrouver à l'Atomium. Et, évidemment, impossible de retrouver le reste du collectif. Je vérifie le message de Thomas.
