Chapitre 58.

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On est en voiture pour retourner à la villa des garçons se changer et repartir pour l'annive de jsais pas trop qui.

Pour tous vous dire après la scènes non prévu sur le manège, on est vite descendu parce qu'il y avait des enfants qui attendaient pour passer, la honte mais pas grave ils nous ont applaudi, je sais pas comment le prendre mais en tout cas ils ont eu le droit à des photos avec Evan.

Une canette de ice tea dans la main, ma tête posé sur l'épaule de Tim, je regarde le paysage qui défile à grande vitesse devant mes yeux.

Mes yeux se font de plus en plus lourd, la voix des garçons résonnent quelques instant dans ma tête et s'estompent une fois que je suis endormie.

Zac : Trcois elle dort cette bolosse ?

Moi : Asy nique toi bien Zac.

James : Oh putain votre langage la.

Moi : Oh ton putain il est pas vulgaire peut être ?

James : Jvais me la faire cette bouffone.

Tchad : Waa pas sur que Evan soit pour, si ?

Oh putain mais c'est pas possible, alors que j'explique un truc, je suis allongée dans la voiture sur les sièges et tout les garçons me regardent d'en haut, autant vous dire que jme sent vraiment petite.

Evan : Bouge toi un peu, non ?

Moi : Ta gueule aussi.

Tim : Va te faire belle aussi.

Moi : Jchui toujours belle, nique ta jalousie.

Je sort de la voiture et me dirige vers l'entrée de la maison.

Je regarde derrière moi, les garçons sont en train de sortir les valises et se dirigent petit pas par petit pas vers l'entrée de la maison.

Wa ils bougent leurs derrières ou c'est comment ?

Zac : Ba ouvre.

Moi : C'est une blague ?

Les garçons se lancent des regards d'incompréhensions.

James s'avance vers moi et pose ma valise à quelques centimètres de moi.

Tchad : Ah mais putain t'es encore la ?

Ouais la dernière fois que j'ai voulu ouvrir cette porte elle est resté fermé et les garçons s'étaient pas empêchés de se foutre de ma gueule.

Evan : Asy c'est ouvert t'inquiète.

Je pose ma main sur la poignée et donne une légère pression vers le bas.

Je retire ma main directement et la porte s'ouvre doucement.

Tim : Ba alors pas compliqué.

C'est ça, connard.

Je monte dans "ma" chambre, dépose ma valise par terre, je range mes affaires et le reste et je me dirige vers la salle de bain.

Une fois enfermé dans la grande pièce, je me stop et me retourne vers la porte.

Oh putain ma robe, mes shampoing et ma musique.

Je retourne dans ma chambre et prend les affaires dont j'ai besoin et part en direction de la salle de bain.

Evan : Tfais quoi ?

Je me retourne en sursaut et lâche un "putain" avant de me poser contre la porte.

Moi : Tu ma fais peur, abruti.

Hum...faux Numéro Où les histoires vivent. Découvrez maintenant