Chapitre 48.

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Je me réveille et sort de mon lit.

Je me dirige vers dans la salle de bain et entre.

Je prend une longue douche.

Je prend mes air force et je part dans la chambre de mon frère.

Il est debout, une chaussure dans chaque main et du nutella sur la joue.

En voyant la scène je me suis mise à rire mais tellement j'arrivais plus à m'arrêter.

Mon frère sort de la chambre quelques minutes après sans oublier de me bousculer et il descend dans le hall.

Tim : Ta finis de rigoler ?

Moi : Pas vraiment non et toi ?

Tim : Ta gueule.

Moi : Ils sont ou les garçons ?

Tim : Et mais attend et hier ?

Moi : Hier ?

Tim : Evan ?

Moi : Ah ouais, ba jpense je vais passer. Ta raison j'aurai fais pareil pour Lola. Puis si tu dis qu'il n'était pas avec des filles alors c'est bon ça passe.

Il me fait un sourir et me prend par la main.

On sort dehors et déjà j'ai chaud.

Je suis mon frère qui s'arrête devant un 4×4 noir.

Je monte suivis de mon frère.

Les garçons ne sont pas la.

Moi : Tim ils sont ou les garçons ?

Tim : Demande à Evan ?

Moi : Non c'est bon.

Tim : Tu lui en veux toujours c'est ça ?

Moi : Mais enfaite je comprend pas pourquoi il me la pas dit lui même ?

Tim : Parce qu'il voulait pas te deranger avec Lola et moi non plus.

Moi : Me déranger pour quoi ?

Tim : On savait que vous etiez en froid.

Moi : C'est pas une excuse, désolée.

Tim : Et la fille lui a pas vraiment laissé le temps.

Moi : Ok.

Tim : Envoie lui un message au moins, non ?

Moi : Pour lui dire ? Ouais ta fais quoi hier ? Ou jprefere qu'on arrête la ?

Mon frère fit deux gros yeux avant de se rapprocher de moi.

Tim : Tu veux arrêter ?

Moi : Quoi ? Non.

Fin... il est connu, il a tout pour lui, et les filles lui courent toute après. Je comprend pas tout.

Tim : Il a tout ce qu'il veut.

Moi : On est pas à plaindre non plus.

Tim : C'est pas ce que j'ai dis.

Je tourne la tête et vois un grand centre commercial.

Le 4×4 se gare sur une place en face de l'entrée et mon frère sort suivis de moi.

On entre dans le centre commerciale et j'ouvre grand les yeux en voyant tout ces magasins.

Moi : Putain il est immense leur magasin.

Je prend un un paquet de balisto et le met dans mon sac après avoir payer bien-sûr.

Tim : Ouais. L'année prochaine on y reste ving-six mois.

Hum...faux Numéro Où les histoires vivent. Découvrez maintenant