Chapitre 67

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Cachée derrière un mur, musique à fond, je cherche mon frère dans cette grande pièce, impossible à distinguer quelqu'un avec cette fumée.

J'avance petit pas par petit pas, jme retourne toute les deux minutes mdrr, à croire on me suis.

J'continue mon chemin jusqu'à c'que jme retrouve par terre.

Jpeux vous dire que sur le coup j'ai pas rigolé longtemps.

Jme suis relevée et je vois -1 point - touché par Evan.

Lui jvais mle faire, jrigole même plus.

Moi : EVAN LA VIE D'MOI QUE TU VA PAS RIGOLER LONNTEMPS.

Evan : OE BÉBÉ T'INQUIÈT.

Autant dire qu'il m'a foutue encore plus la haine mdrr.

Jcalcul personne, limite je jouais plus, pas parce que j'aime pas perdre non, parce que depuis que jsuis tombée ba j'ai mal à la cheville.

Jme suis tout dis pourtant, que ça allait passer, que c'était sur le coup, que c'est parce que jmarche que j'ai encore mal et enfaite jme suis souvenue d'une ancienne fracture que j'avais eu du coup j'ai commencé à me faire des film genre plâtre pendant 1 mois, béquille à New York c'est quel bail et jme suis rappelé que demain c'est l'anniversaire à Evan et que c'est complètement impossible et impensable d'avoir des béquilles le jour de son anniversaire.

Alors autant dire que ça fout le moral à zéro.

Parce que pour le moment j'ai grave mal.

En plus j'ai aucun cadeau pour lui demain alors comment vous dire que la maintenant, tout de suite, je veux juste être en séminaire au Mexique.

Evan : Bébé ?

Tellement je suis dans mes pensée j'ai zappé que j'avançais plus.

Moi : Tu ma fais peut putain.

Evan : Tranquille wesh.

Moi : Oe.

Evan : Ta quoi ?

Moi : Rien pourquoi ?

Evan : T'es énervé ?

Moi : Non.

Evan : T'aime pas ?

Moi : De quoi ?

Evan : Le lazer game ?

Moi : Ah ba si si.

Evan : Il y a quoi alors ?

Moi : Rien tranquille.

Evan : Dis wesh.

Moi : Non mais il y a rien.

Evan : Tu fais quoi si jtembrasse la ?

Moi : Jte nique sans pression.

Evan : Mdrr c'est moi jte nique. Retiens ça.

Moi : Non frère chacun ces bails.

Evan : Quel bail même ?

Moi : Toi t'embrasse, ba moi jnique.

Evan : Asy essaie on va voir.

Moi : Non tranquille.

Il me plaque contre le mur et pose ses lèvres sur les miennes.

Il place ses mains sur mes hanches et commence à les remonter quand il s'arrête d'un coup.

Evan : La vie faut qu'on s'arrête la.

Moi : C'est mieux.

Evan : Asy viens on va rejoindre les autres.

Hum...faux Numéro Où les histoires vivent. Découvrez maintenant